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Kaïra.

J'ai mal un mal de tête horrible, j'essaie d'ouvrir mes yeux mais c'est compliqué avec la lumière du soleil, je m'étire les bras avec un grognement, avant d'avoir le courage de me redresser pour découvrir qu'hier j'ai fait une fête improvisée chez moi, je râle entre mes dents car je dois débarrasser tellement de chose seule. Un foutoir sans nom a eu lieu, des mégots de cigarette partout sauf dans les cendriers sur la table, si on a besoin de verre ou de bouteille vide nous sommes à la bonne porte (car faut rêver pour en trouver une pleine) et parce que c'est bien connu je suis quelqu'un de soigneux (ironique vu la situation), je retrouve mon téléphone décharger sur le sol de mon salon, ma tête me tire quand je l'attrape du sol, je grimace une nouvelle fois quand je me relève doucement.

Ma tête ne va pas m'aider aujourd'hui, au contraire je crois qu'elle va me faire vivre un enfer

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Ma tête ne va pas m'aider aujourd'hui, au contraire je crois qu'elle va me faire vivre un enfer. La fête était énorme hier. Mais pas le temps de se plaindre davantage, il faut que je nettoie et débarrasse. Je prend le dernier antidouleur qu'il me reste de la petit boîte au dessus d'un placard de cuisine, charge mon téléphone et parce que chez moi faut combattre le mal par le mal je mets de la musique sur mon téléviseur (C'est aussi pour me motivé) et je commence les corvées.

Un sac poubelle dans mes mains pour tout y mettre dedans et nettoyer par la suite mais même un paresseux doit être plus rapide

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Un sac poubelle dans mes mains pour tout y mettre dedans et nettoyer par la suite mais même un paresseux doit être plus rapide. Évidemment, vu que je suis encore dans le brouillard, je remarque seulement en me faisant une queue de cheveux avec un élastique trouvait à terre, que je me retrouve avec un suçon énorme dans le cou en regardant mon reflet dans le miroir du salon puis mini flash se mets dans ma tête et surtout dans les toilettes avec un gars inconnu au bataillon mais plutôt bien bâtie entrain de le chevaucher sur la cuvette des toilettes.

- putain... marmonnais-je en reprenant le ménage.

C'est seulement 2 bonnes heures plus tard que j'ai enfin fini, complètement lessivé de cette mâtinée qui commence fort.

Quand j'entends quelqu'un toquer à ma porte, mon premier réflexe est de baisser le volume de ma télé comme si, la personne n'avait pas déjà entendu. Mais la personne recommence plus fort cette fois.

Une flamme ardente Où les histoires vivent. Découvrez maintenant