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Kaïra

Le lendemain, j'arrive en retard au boulot à cause du métro où il a eu un léger problème au niveau des horaires, sans compter que je dois m'inscrire pour la soirée qui a lieu cette semaine, j'ai vraiment pas envie d'y aller mais si je n'y vais pas ça va sûrement parler, alors je me dirige vers le secrétariat du PDG pour signer le fichu document de l'inscription, je vois le dossier des filles jusqu'à à côté du miens qui sont déjà remplie alors que le miens et vierge de toute écriture.
La secrétaire qui est comme toujours les cheveux super tirées vers l'arrière pour y faire un chignon, une chemise et une jupe à crayon, toute souriante comme si travailler ici c'était son rêve ultime et elle me tend mon dossier et m'indique de m'assoir afin de le remplir. Je note mon nom, mon prénom puis n'ajoute rien à la partie accompagnateur s'est sans compter sur le regard accusateur de la secrétaire. Mon égo prend le déçu et je note Frank Jenkins avec son numéro de téléphone en vitesse avant de lui rendre complètement et de tournée les talons sans lui laisser le temps de me dire quoi que se soit.
C'est arrivée devant mon bureau, que les filles me sourient en coin toutes les deux, je m'installe comme si je n'avais rien vu de leurs part et remarque que quelqu'un a allumé mon ordinateur pour moi, donc on ne verra pas mon retard électriquement parlant.

- je sais pas c'est laquelle des deux mais merci. Soufflais-je en pianotant sur le clavier.
- il a pas de soucis. Me répond Léane.

Je devine que c'est elle qui a eu l'initiative. Je lui ai mal parler hier soir et elle arrive encore à me rendre de service, je m'en veux encore plus maintenant. Alors j'écris sur un post-it « je suis désolé pour hier soir » avec un coeur, ce qui ne me ressemble pas de base mais pour mes copines je suis capable de tout même à enterré un cadavre pour elle si il le faut et je lui glisse sur le bureau.
Elle le regarde, sourit et écrit avant de me le rendre de la même manière « arrête de dire que tu es désolé vu la situation je ne t'en veux pas, je t'aime aussi ». Je l'accroche sur mon ordinateur, un de plus parmi d'autre.
Jess me regarde avec insistance, je sais qu'elle voudrait que je parle de ce qu'il sait passer mais ce n'est pas lieu, ni le moment et puis il faut aussi que je leurs dise que malgré la rancune que j'ai envers lui je l'ai inviter à ce fameux événement de malheur et quand plus je ne l'ai même pas prévenu.
Puis je repense au parole encore une fois «bienvenu dans mon monde, princesse » et j'en frissonne, je me demande encore ce que cela peut bien dire et à la façon dont il me l'a dit, c'est sensée me faire repousser mais non limite j'ai envie d'en savoir plus.
Un collègue s'arrête devant mon bureau, le gentil Jordy du rez-de-chaussée, mais il ne semble pas dans son état normal.

- Kaïra, tu aurais une minutes ?

Je lui répond d'un hochement de tête en me levant pour le rejoindre, il rougit instantanément et triture ses doigts.

- en faite, il a un homme en bas qui souhaite te parler... je lui ai dit que c'était pas possible mais vu son insistance... je... enfin je me suis dégonflé.

Je souris, Jordy est très gentil trop gentil même que sans est malheureux mais je le suis sans faire d'histoire, il semble encore plus timide une fois que nous sommes seuls dans l'ascenseur et il est soulager une fois que nous sommes arrivée à destination.
Je me fige instantanément, c'est Frank, avec ses yeux hypnotique, habiller seulement d'un t-shirt noir, d'un jean bleu nuit taché au niveau du genoux droit avec mais pourquoi il est là? Non la première question c'est d'où il sait où je travaille? En faite, il a trop de questions là.
J'avance lentement, trop lentement pour lui apparement pour voir son plissement de sourcils, je le prend par le bras un peu méchamment et l'emmène dehors, je veux pas d'histoire ici.

- je peux savoir ce que tu fou là ? Et comment tu sais que je travaille ici? Putain Frank, tu es un tordu!

Il se contente juste de mettre ses mains dans ses poche et de me regarder sans répondre pendant un moment alors je prend la parole.

Une flamme ardente Où les histoires vivent. Découvrez maintenant