trente-quatre

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Jeunesse.

Cette jeunesse, effacée par les sanglots
Mille pensées profondes en un seul mot
Un désespoir soudain effacé par un sourire
Une acerbe dépression entrecoupée de rires
Toute la journée ces yeux vides mais beaux
Oui, la jeunesse est belle, mais tuée
Par la langueur infernale de ces journées
Toutes les mêmes, tous semblables
À la dernière, à la suivante, infatigables
Je ne peux plus penser à l'avenir
Sans que mes larmes tombent, les pires
Mon esprit est en morceaux
Un puzzle indéchiffrable sauf pour les maux
Cette jeunesse, je fais partie d'elle.

27/02/2023

Encore une vieux poème mais que j'aime bien tout de même.

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