As salem Aleykoum mes vies.🤍
Devant la porte j'entends une grosse embrouille je rentre et je voie...
Ilyès et .....
Maïssa...
Je suis restée choquée.
- Ilyès : TU REVIENS ICI AVEC UN GOSSE ET TU DEMANDE PARDON, TU NOUS A TRAHIS IL EST ARRIVÉ QUE DES MERDES A TA PROPRE PETITE SOEUR, TON SANG ACOSE DE TOI PUTAIN TES QU'UNE GROSSE PUTE VOILÀ CE QUE T'EST UNE GROSSE SALOPE.
Il allait la frapper mais j'ai courue arrêter sa main.
- Moi : Ilyès arrête maintenant.
- Ilyès : BOUGE IBTI SINON MES NERFS VONT RETOMBER SUR TOI.
- Moi : Arrête tu voie bien que elle a un gosse dans ses bras je t'interdis de la frapper devant son enfant.
Hassan intervient.
- Hassan : Ilyès vient on sort
- Ilyès : (sec) Je sort pas moi.
Les deux s'assoient je me dirige vers Maïssa je me met a croupie pour me mettre à son niveau elle était par terre avec un coquard à l'œil.
- Moi : Ilyès ces toi tu lui a fait sa ?!
- Ilyès : Non mais ces bien fait pour elle.
Je me retourne vers Maïssa.
Je lui sourie et caresse les cheveux.
- Moi : Selem ma belle ça va ?
Et elle se met à pleurer et on se fait un câlin sa restera ma grande soeur pour toujours quoi qu'il arrive.
- Maïssa : (en pleure) Ibtissam... pardon... pardonne moi s'il te plaît.
- Moi : Je t'ai pardonner depuis longtemps arrête de pleurer et dit moi plutôt comment s'appelle ta fille ?
- Maïssa : Excuse-moi. Elle s'appelle Leyan.
- Moi : Elle est belle elle a qu'elle âge ?
- Maïssa : Merci elle va avoir deux ans le mois prochains.
- Moi : Elle est très belle je peut la prendre dans mes bras ?
Maïssa ce décale de moi elle ce relève je me lève aussi et elle me la met dans mes bras.
- Maïssa : Ma chérie ses ta tata je t'ai beaucoup parler de elle tu te souviens ?
- Leyan : (Hochement de tête.)
- Moi : Elle te ressemble tellement ma shaa الله.
- Maïssa : Elle ressemble plus à son père...
- Moi : Ces qui ?
- Maïssa : Celim...
Petit rappelle Celim ces celui qui a voulue prendre Maïssa le fou qui m'a « kidnappé ».
- Moi : Yemma sait que t'es là ?
- Maïssa : Non pas encore.
- Moi : Ta un travail ? Un appartement ?
- Maïssa : J'avais mais je suis partie Celim frapper Leyan et me frapper souvent mais je suis partie à la deuxième reprise où il a frapper Leyan je peut supporter les coups mes pas mon enfants.
Elle a regarder fixement Ilyès en disant sa.
- Moi : Ilyès je peut te parler ?
Ilyès prend mon bras et m'emmène dans sa chambre.