Chapitre 5

10 2 1
                                    


Il fait noir où suis-je ? Mes mains sont attachées pourquoi ?

«-Enfin réveillé gamin. »

Cette voix à la fois douce et glaciale et ce surnom il y a qu'une personne qui me le donne.

«-Monsieur Ackerman.

-Oui, bonne déduction gamin.

-Où suis-je ?

-Ça, tu n'as pas besoin de le savoir.

-Mais...»

Avant que je puisse dire un mot de plus, il scelle mes lèvres avec les siennes. Je sens ses mains parcourir mon corps qui est nu. Il attrape mes bouts de chair rose qu'il commence à la pincer m'arrachant un petit gémissement.

«-Tu as une magnifique voix quand tu chantes, mais celle-ci est encore plus magnifique. »

Je me sens gêné de cette situation que des rougeurs apparaissent sur mes joues. Je mords ma lèvre inférieure pour éviter de gémir.

Il me lèche le cou descendant sur mes bouts de chaire qu'il suce. Ses mains continuent de se balader sur mon corps et finissent par arriver à mon entre-jambe.

«-Tu es déjà dur, je dois te faire de l'effet ? »

J'essaye de masquer mon visage à sa remarque puis je l'entends se déshabiller. Quand je relève la tête, c'est un corps d'Apollon qui se trouve devant mes yeux.

Il me tend trois doigts pour que j'humidifie avec ma salive. Une fois fait, il en rentre un dans mon intimité m'arrachant un nouveau gémissement de douleur, mais aussi de plaisir. Après quelques va-et-vient, il en insère un deuxième faisant des mouvements de ciseau ainsi qu'un troisième.

Il les retire tous les trois avants de pencher vers moi.

«-Ce qui va suivre risque de faire un peu mal. »

Il place son membre dur devant mon intimité avant de rentrer d'un seul coup de reins puissant. Me faisant crier de douleur qui est vite rattrapée par le plaisir. Il enchaîne les vas et viens me faisant gémir de plus en plus fort.

Plus il les enchaîne plus il va loin en moi cette sensation est purement magnifique que je m'agrippe de plus en plus fort aux chaînes qui attachent mes mains.

Lors d'un de ces coups de reins, je me suis mis à gémir plus fort que les autres fois.

«-Je l'ai trouvé Eren.

-Heinn ?

-J'ai trouvé tout point sensible. »

Il continu de frapper se point sensible dont il a parlé me procurant un plaisir insoutenable.

«-Ah.... M-monsieur... je..je ...ne peux...plus...

-Eren...

-Oui...

-Ditle. Dit mon nom, appelle-moi, s'il te plaît Eren.

-Li-li...»

Ses coups de reins deviennent plus violents et le dernier encore plus me faisant crier son nom.

«-Livaï !!! »

Il se déverse en moi et moi sur nos torses. Il se rapproche de mon visage.

«-C'était magnifique Eren. »

Je m'apprête à l'embrasser quand...

Vrvrvrvrvrvrvrvrvrvrvrv

Le vibreur de mon portable me réveille en sursaut. Ceci n'était qu'un rêve, je transpire de partout. Je me lève et prends mon portable.

Riren Le chant de la tentationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant