Chapitre 2: Méphisto

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Le son des coups de feu résonne dans mes oreilles tout comme les cris de douleur des ennemis que nous sommes charger d'abattre. Pistolet à la main, j'appuie sur la détente sans aucune hésitation. Cacher derrière un véhicule, je sors de ma cachette pour foncer dans le tas. Je n'ai pas peur, je n'ai jamais connu la peur.

 C'est un sentiment que je n'ai jamais éprouver et pourtant je l'inspire partout où je passe ou quand on entend mon nom. Mon coéquipier me couvre pendant que je saute sur nos ennemis en sortant mon couteau. Je tranche le gorge du premier qui arrive en face de moi avant d'esquiver une balle. L'homme qui a tenter de m'abattre, s'écroule raide mort, tuer par la balle de mon coéquipier. Je n'y prête pas plus attention et fonce sur les autres. Je les poignardes sans la moindre once de culpabilité et très vite, tous nos adversaires sont tendu sur le sol, tous baignant dans leur sang qui est probablement mélanger à celui de leurs camarades. L'extérieur est fait maintenant il ne reste plus que l'intérieur de ce garage à nettoyer. Ce dernier grouiller sûrement d'ennemis près à nous abattre à l'instant où on rentrerait dans cet endroit. J'essuie le sang sur mon visage d'un revers de main et recharge mon arme.

-Bon reste plus que l'intérieur, on fait comment ?

Mathis est mon coéquipier depuis toujours mais aussi le seul homme de la mafia à qui je fais entièrement confiance. On se connaît depuis qu'on est petit alors on sait toujours entraînés ensemble, on connais les forces et les faiblesses de l'autre et on a appris a fusionner nos forces. Et maintenant nous sommes le duo le plus redouté de la mafia.

-Non mais regarde moi ça, ces enfoirés on recrutés des gamins.

J'observe le visage de la personne que j'ai probablement tuer et en effet il est plutôt jeune. Mais malheureusement, jeune ou pas, se sont mes ennemies, ils ont empiété sur nos terres et tuer nos camarades alors qu'ils ne comptent pas sur moi pour être clément. Comme la peur, je n'ai jamais éprouver de culpabilité à tuer. Comme beaucoup le dirait, c'est dans ma nature et sa coule dans mes veines. 

J'ai fais ma première victimes à 7 ans, depuis j'ai arrêter de compter. Notre mission aujourd'hui est de détruire un gang qui s'est crée sur nos terres et qui s'amuse à vendre de la drogue sans notre autorisation. Ils s'en sont prit à nous il y a peut et le parrain nous a envoyer car cette histoire commencer à prendre trop d'ampleur.

-Méphisto, tu m'écoutes ?

-Non absolument pas, tu disais ?

Mon regard se pose sur mon ami d'enfance qui mon opposer, autant mentalement que physiquement. Blond, yeux bleu, calme, patient. Alors que j'ai les cheveux noir, les yeux gris, je n'ai aucune patience et j'adore la violence. Il soupire et répète ce qu'il venait de dire.

-Ils sont un vingtaine à l'intérieur.

-Seulement ?

J'ai soudain du mal à croire que c'est eux qui ont rétamé une équipe entière de la mafia. Mais ce qui m'agace le plus c'est de savoir qu'on m'a fait déplacer pour ça. On est arrivé il y a dix minutes à tous cassé et en un rien de temps on les a tous buter. Mais si en plus d'être faible, ils sont en sous effectif ça va être encore plus chiant que prévu. J'en toucherai deux mots au parrain. Je sors une bombe du sac de munition qu'on a embarquer avec nous et me dirige vers la porte du hangars. 

On se positionne devant la porte avant de l'ouvrir de manière à ce que ce qui se trouve à l'intérieur ne nous voie pas. Le son d'arme a feu retenti et si une personne se serait tenu devant la porte, son corps aurait probablement été déchiqueté par toutes ces balles. Après quelques secondes, le bruit cesse. Ils se sont rendu compte qu'il n'y avait personne et j'en profite pour lancer ma bombe à l'intérieur. Celle-ci explose, créant un souffle important qui vient faire danser mes cheveux. Je les plaques en arrière à l'aide de ma main et rentre suivis de Mathis, arme à la main.

Un mariage d'apparence risquéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant