Chapitre 12: Méphisto

207 11 2
                                    

J'entrelace nos doigts et ouvre la porte pour retourner à l'intérieur où tout le monde à assister à cette scène du baiser. La main poser sa hanche, il me fait comprendre qu'il a besoin d'aller au toilette donc je le libère de ma prise et le laisse partir. 

Quant à moi, je me dirige vers le buffet et prend une coupe de champagne que je viens finir d'une traite avant d'en reprendre une autre. Quelques personnes viennent me parler et je dois m'efforcer de faire la conversation avec eux alors que je n'ai qu'une seule envie c'est de partir très loin d'ici ou de prendre mon arme et de tirer sur mon enfoiré de géniteur qui fait tranquillement la cossette avec une homme que je n'ai jamais vu qui part lui aussi au toilette à son tour. Mais les minutes se font de plus en plus longue et toujours pas de Ace en vu et je n'ai pas vu l'autre type revenir.

-Je m'excuse mais j'ai une envie pressante. Permettez moi de me retirer.

D'un sourire hypocrite, je me sépares de ces gens et me dirige vers les toilettes. Je m'avance d'un pas discret mais la voix de Ace parvint rapidement à mes oreilles et vu le ton qu'il emploie, il a l'air plus que remonter. J'ouvre la porte à grand coup de pied et je tombe sur une scène pour le mois surprenante. Ace tient par le colle de la chemise l'autre type qui parler avec mon géniteur un peut plus taux. Il a d'ailleurs le visage cabosser de plusieurs bleu.

-Qu'est ce qu'il se passe ?

-Il se passe que ce type à essayer de me toucher sans mon consentement et que j'étais en train de lui faire comprendre ce qu'il en coûté de faire ce genre de chose.

Une veine de colère pulse au niveau de ma tempe alors que je viens écraser mon poings contre le crâne de cet enfoiré de violeur. Et sans plus il s'écroule au sol telle la merde qu'il est.

-On en fait quoi ? Demande Ace en le dévisageant.

Il lui mit un coup de pied au visage avant de se tourner vers moi. J'attrape ce tas de merde et le balance dans une cabine de toilette avant de fermer la porte tout en mettant devant panneau rénovation qui était destiné à une autres cabine.

-Un de mes hommes viendra le chercher. Je n'ai pas de silencieux, je ne peux donc pas l'achever ici. Et le tuer à coup de poings serait trop salissant.

-Dommage. On y retourne.

-Je te suis.

Je dois avouer que je suis quand même assez surpris. Il avait l'air tellement serein que j'ai eu l'impression pendant quelques seconde de parler à un type comme moi, totalement à l'aise avec le sang et à l'idée de tuer. Décidément, il y a beaucoup de chose que j'ignore encore sur lui. Mais surtout, je ne le pensais pas capable de maîtriser un type de cette taille sans problème et sans ce prendre aucun coup car à première vu, il n'a subis aucun dégât.

-Ce type à était envoyer par le parrain de la mafia. J'en suis sur.

-Ça ne m'étonnera pas. Mais bon, il a voulu le violer, il mérite la mort. Même si il était sous les ordres d'une autres personnes.

-Je suis tout à fais d'accord. Surtout que mon géniteur à du simplement lui dire de s'occuper de toi.

-Des belles ordures.

-Je suis du même avis.

Je suis Ace jusqu'au buffet où il se set une nouvelle fois de champagne et je fais de même. On va bientôt passer au repas et après ça, sa sera l'heure du fameux discours que j'attends avec impatience. Je dépose ma main sur la hanche de mon petit ami qui observe avec une très grande attention la foule qui se tiens devant nous alors qu'on vient m'aborder pour faire la discutions encore une fois. 

Un mariage d'apparence risquéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant