Chapitre 1

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Kiara

- Oui papa je sais tu dois rentré tard ce soir.
- Écoute trésor, on en parle demain matin. Ok ?
- Oui de toute façon Lilly m'appelle je te rappelle plus tard si j'ai un problème.
- D'accords, je t'aime.
- Moi aussi je t'aime.

Je raccrocher, mon père n'était pas le pire mais pas non plus le meilleur il était là sans être là, plonger dans les affaires... Mes copines me parlent de leurs père comme si c'était leur héros alors que moi je ne peux même pas dire ce qu'il fait dans la vie.

Ma petite sœur Lilly en vérité ne m'appelais pas j'avais juste besoin de trouver un motif pour moi aussi raccrocher. Mais j'oublie les détails je suis bête. Bonjour et bienvenue dans ma vie de fille de mafieux, je m'appelle Kiara Wilson, et là vous allez vous demandez pourquoi je ne porte pas Scott ? Et bien mon père préfère que je porte le nom de ma mère pour éviter tout danger, Lilly aussi le porte et Léo lui en revanche porte Scott, parce que monsieur à 21 ans il peut donc aidé papa avec les affaires. Ma mère est morte il y a bien longtemps j'avais 6 ans et Lilly venais de naître, mon frère l'a mal vécue il est devenue rebelle. Enfin bref revenons, j'ai 17 ans, j'ai un petit ami Carl et des supers amies... je vous les présenterais en temps venue.
Mon père veux que je fasse des études d'économies pour les affaires mais mon rêve à moi c'est d'être biologiste marine, j'aimerais protéger beaucoup d'animaux, vu que j'habite à L'os Angeles c'est simple pour moi d'avoir la mer à côté. Mais bon ce n'est pas moi qui décide.

Il est maintenant 22h je décide donc de lire un peu et de dormir demain j'ai une grande journée, mon père organise une soirée, qu'elle idée franchement un gros samedi où je comptais passé ma soirée devant Netflix.

                                            ***

Samedi 8h

Je me réveille avec la lumière du jour en pleine tête.
- Ohhhh j'ai encore oublié de fermer les volé ! Ahhhhh ! Dis-je avec ma voix encore fatigué
- Purée Kiara pense à ça avant de dormir.

Je me lève et me cogne le petit doigts de pieds dans un carton souvenir que j'avais laissé là hier.

- Non mais c'est pas vrai ! Aïe !

Je me tords de douleur et tombe sur mon lit.

- Ok quand c'est comme ça on respire et on prends du courage la journée ne pourras pas être pire. Quoique.

Avec la tête dans le choux je défends des escaliers et manque de tomber.

- Bonjour jeune fille.
- Bonjour Olivia. Vous allez bien ?
- Oui et vous ? Vous avez l'air fatigué.
- Oui ça va ne t'en fait pas.
- Si ton père apprends qu'on se tutoie il va vous faire une leçon de morale jeune fille.
- Oui excusez moi...
- Vous voulez quelque chose à mangé ?
- Non merci, dites vous savez où est Martin ?
- Oui je crois qu'il est dans le jardin.
- Merci Olivia, et si vous croisez mon père, demandez lui si lui et moi pouvons déjeuner ensemble cette après midi.
- Oui mais je crois qu'il est occupé av-
- Encore, merci quand même.

Olivia est une femme de ménage engagé par papa depuis la mort de maman. En vrai je sais que ma mère n'est pas morte mais je préfère me dire ça que " elle est partit avec un autre homme et d'autres enfants " c'est plus facile à accepter et à mes yeux elle est morte.

Je vais dans le jardin et trouve Martin le jardinier qui est aussi garagiste, il s'occupe de l'extérieur et comme nous avant un grand terrain je n'ai pas envie d'aller marché de bon matin.

- Bonjour Martin!
- Bonjour Kiara, comment ça va ?
- Bien et toi ?
- Bien. Dit moi Carl passe te voir à 10 h c'est bien ça ?
- Oui samedi. Pourquoi ?
- Et bien très cher nous sommes samedi et il est presque 9h.
- Attends quoi ?! Oh zut de flûte de crotte ! Je vais y allez j'avais une question à vous poser mais ça peut attendre.
- Très bien vous savez où me trouvé.
- Oui oui.

J'avais oublié que mon copain passé me voir, la honte. Je monte en courant dans les escaliers, et part dans la douche, d'ailleurs je ne me suis jamais douché aussi vite. J'enfile mon pantalon baggy, et mon top Ferrari préférée, puis ma veste Ferrari qui complète ma tenue, avec des chaussettes rouge et mes jordan noir ma tenue est enfin prête. Et il est maintenant 9h 30.

- Kiara il y a quelqu'un pour toi !
- Oui oui j'arrive ! Mon sac, j'allais oublié mon sac.

Je descends les escaliers, et je vois mon chérie Carl :

- Coucou toi ! Dis-je en me ruant dans ses bras.
Il me serre dans les siens.
- Coucou, comment tu va ma belle ?
- Super bien et toi ?
- Mieux depuis que tu es là.

Ça va faire bientôt 2 ans que Carl et moi sortons ensemble. Son téléphone sonne.

- Tu décroche pas ?
- Oh non t'inquiète c'est rien, elle rappellera si besoin.
- Elle ?
- Oui heu c'est peut être ma mère.
- Ah bah regarde pour savoir. C'est ta mère tu dois la répondre.
- Mon t'inquiète pas je te dit.
- Donne moi ton téléphone.

Il mets son bras en l'air avec son téléphone pour pas que je le prends mais il est chatouilleux donc je le reprit facilement. Et je vis que c'était un numéro qui n'étais pas enregistré.

- C'est sûrement une blague.

Je décide de fouillé un peu ses derniers appelle.

- Une grosse blague la personne t'appelle tout le temps et tu réponds en plus. Je vais l'appeler.
- Mais dit pas n'importe quoi c'est peut être une pub.
- Justement je vais leur demandé d'arrêter.

À peine finit ma phrase j'appelle le numéro :
- Halo ?
- Ah bah enfin dit bébé t'es avec ta meuf là ? Je sais que t'es là juste pour son argent et son corps mais j'aimerais passé plus de temps avec toi, tu va me dire que ça fait que deux mois qu'on est ensemble mais bon. T'es toujours là ?

Je raccroche encore sous le choque.

- Attends t'es sérieux ?
- Je peux tout expliqué.
- Non pas besoin elle a tout dit. La "pub". Pour mon fric et mon corps.
- Mais non j-
- Pendant deux mois ?!
- Je sais je suis désolé mais j'avais besoin d-
- J'en ai rien à foutre, dégage d'ici.
- Non at-
- Vas t'en ou j'appelle mon père plein de fric.

J'étais triste et en colère, j'avais les larmes aux yeux. Martin qui je pense a entendue notre conversation est venue.

- Monsieur je crois qu'il est temps pour vous de partir.
- Non j'ai pas finit.
- Très bien.

Martin sortie son arme, un pistolet et le pointa sur Carl.

- Et maintenant ? Vous voulez bien sortir ?

Contre toute attente, Carl sortie aussi son arme, je ne savais même pas qu'il en avait une.

- A vous de posé votre arme sinon c'est elle qui prends.

Le temps d'un battement de cil je me retrouver avec un flingue sur la tempe.
Martin déposa son arme et à peine déposé, mon père entra, je suppose que Martin avait appuyé sur le bouton qui envoie un signale à mon père.

- Jeune homme vous avez moins de deux secondes pour vous éloignez de ma fille à moins que vous voulez que je m'occupe personnellement de votre cas.
- Vous n'êtes pas en position pour négocier.
- Oh que si à la minute où le coup de feu retentira des milliers de balle vous traverserons vous et rien que vous.

Carl s'éloigna, et déposa son arme. Et sortie de la maison sans aucun mot avec mon père derrière lui je comprends.

Eyes Don't Lie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant