Tout feu tout flamme, une romance à la caserne.

Sain et Sauf

Dans l'ascenseur qui la menait au deuxième étage, Juliette se sentait fébrile et presque sur le point de tombée... Il fallait que ce soit lui, ce pompier inconnu, il le fallait s'était son seul espoir ou presque de retrouver sa trace... S'il n'était pas là dans cette chambre. Alors cela voulait dire qu'il était très probablement encore sur les lieux de l'accident... Peut-être mort ? Le vertige la prenait rien qu'à songer qu'il pourrait être décédé ! Non pas son Roméo ... comment pourrait être vivre sans la douceur de ses yeux verts sur elle, sans son humour piquant, sans ces baisers de braise, sans sa tendresse ?

La porte de l'ascenseur s'ouvrit et elle reprit une contenance, le suspense n'allait pas être encore très long ! l'heure de vérité était arrivée... Elle se dirigea vers le bureau des infirmières et après avoir frapper à la porte entra pour expliquer son cas.

-Je suis de la caserne de pompier d'Angers, un de mes collègues qui est également mon fiancé à disparut dans l'incident du barrage et tout nous porte à croire que c'est le pompier inconnu que vous soigner dans la chambre 230 !

-Comment s'appelle votre fiancé ?

-Roméo Rossini. Caporal Rossini ... il est porté disparut depuis 2 jours entier.

-L'homme qui nous a été amener avait une fracture ouverte au bras gauche il a été opéré d'urgence hier à son arrivée, il dort, il est sous morphine... il a beaucoup souffert.

Juliette hocha la tête la gorge nouée.

-Je vous en prie est ce que je peux le voir,juste le temps de m'assurer que c'est bien lui ? pour rassurer mes collègues et ses parents ?

-Bien sûr venez, je vous accompagne ! si vous l'identifié, il faudra me donner quelques éléments essentiel sur lui.

L'infirmière une femme de la cinquantaine la devança jusqu'à la chambre du pompier non identifié.

Elle ouvrit la porte et la devança dans la chambre.

-Monsieur Rossini ? vous avez de la visite Monsieur.

Juliette resta sur le pas de la porte maintenant que le moment de vérité était arrivé, elle se sentait pétrifiée d'angoisse.

Un gémissement lui parvint néanmoins et l'infirmière se retourna

-Il ne dort pas très profondément, vous pouvez entrée mademoiselle !

Elle avança d'un pas lent et arrivé près du lit croisa des yeux verts qu'elle aurait reconnut entre mille

-Rom !

A peine avait elle prononcer son prénom que toute les larmes qu'elle avait retenues dévalèrent ses joues et que le spasme d'un sanglot la secoua tout entière.

-Mademoiselle ?

-C'est ... c'est bien lui ! pardonnez-moi ... j'ai eu si peur ! Bredouilla-t-elle en souriant à travers ses larmes

-Asseyez-vous ! vous n'allez pas vous trouvez mal ? questionna l'infirmière avec sollicitude, je vous laisse un instant je vais chercher la fiche de renseignement pour que vous la remplissiez.

Elle quitta la chambre et Juliette se laissa tomber sur la chaise près du lit de Rom.

Il était plâtré de la main à l'épaule et elle comprit que son bras mettrait du temps à se remettre.

Le jeune homme peinait à garder les yeux ouvert.

-Mon amour ... j'ai eu si peur ! dit-elle en passant une main dans les cheveux noirs de Roméo