𝐕𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐞𝐭-𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬.

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As Salem aleykoum wa rahmatoullah wa barakatuh !

Vous allez comment mes stars ?

Encore désolé du retard, vu que je suis au bled la connexion est pas très bonne et c'est plus compliqué à poster. En plus je doit aller voir ma famille donc c'est dur d'être co !

Encore désolé de l'attente mes stars et je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombarder de commentaires !

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« Nouveau départ »

Pendant le reste de la soirée on c'est raconté ce que chacune avait vecu de a à z. J'étais choquée de ce que ma sœur racontait. Elle avait vraiment vécu une chronique enfaîte. Jai évidemment eu l'idée de l'aider avec Idriss et je l'ai dm sur insta pour lui expliquer la situation en espérant qu'il réponde et voie le message parce que je voyais que ça faisait mal à ma sœur.

Malgré qu'on rigolais ensemble, ça se voyait qu'elle était pas bien, en même temps, tout était allé super vite et a sa place, je serais enfermé dans ma chambre et j'en voudrais au monde entier.

On a parlé toute l'aprem et une bonne partie de la nuit. Avant de se coucher vu qu'on était trop fatigué, je l'ai entendu me demander :

Amira : Sana...enfaîte on est où ?

- de quoi ?

Amira : on est pas à Lyon hein..?

- bah non, on est à Paris

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A M I R A

Je me suis réveillé à 4 heure du sbah. J'avais du mal à assimiler les évènements récents. Tout était allé très vite. J'étais passé d'une vie à peu près stable, avec l'homme que j'aimais et avec qui j'avais plein de projets en tête, mes amies, ma mère présente pour moi, à une vie dans une autre ville, avec un demi-frère psychopathe qui avait détruit ma vie, un père que je n'avais pas revu et a qui je n'avais pas adressé la parole depuis plusieurs années.

Malgré qu'il y avait ma sœur ici, je me sentais pas très à l'aise et j'avais du mal a réaliser que c'était définitive, que je devais vivre ici à partir d'aujourd'hui.

Je suis sortis de la chambre en silence pour pas réveiller ma sœur, et je suis partis dans le salon. Je me suis assise sur le canapé. Il était 4 heure du matin, je savais même pas ce que je faisais ici, plongé dans le noir.

Je sentis quelque larmes glissé le long de mes joues. D'un coup la lumière fusa en m'aveuglant les yeux.

... : AOUDOU BILLAH MINA AL SHEITAN AR RAJIM..

J'ai tourné la tête en essayant rapidement d'essuyer mes larmes. C'était juste Yassine.

Yassine : ...zeh tu m'as fait peur, t'es malade de rester dans le noir assise toute seule? Putain j'ai mal au cœur maintenant...

- excuse...moi..

J'essayais de cacher le fait que je pleurer quelques secondes avant mais ma voix chevrotante et mes reniflement me trahissait. Yassine me regardait d'un air dubitatif, il partis dans la cuisine et revena avec deux verres de coca.

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant