As Salem aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh !
Vous allez comment mes stars ?
Je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombardez de commentaires !
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J'arrivais pas à parler. Le dire à haute voix était comme si on approuver cette idée. Qu'on comprenait que c'était vraiment la fin.
- je...je...veux...il...
Khalti Sonia : ..assieds toi benthi...
- il...il est pas parti...?
Mes pleurs arrivaient à mes yeux immédiatement. J'avais encore espoir mais en voyant son état, il n'y en avait plus aucun.
Khalti Sonia : léger sourire Il va bien El hamdoulileh.
« Il vas bien »
Je ne saurai décrire ce que j'ai ressentis quand rien à prononcer cette phrase. Tout ce que je sais c'est que cette espèce de boule qui était présente dans ma poitrine c'est immédiatement envolé.
C'est comme si j'avais été en apnée pendant tout ce temps et que je pouvais enfin respirer. J'ai sentis le sol se dérober sous mes pieds.
J'avais trop d'émotions depuis hier. Puis mes larmes de tristesses se sont immédiatement changer en larmes de joie.
- pour de vrai..?
Khalti Sonia : oui Amira..
- il est vivant ?
« Il est vivant »
Khalti Sonia : oui..
Elle c'est précipité dans mes bras et m'a serré dans ses bras et on c'est mise à pleurer dans les bras l'une de l'autre.
J'étais tellement heureuse et je pense pas avoir été autant heureuse à ce jour. Il était là. J'avais mille et une chose que j'avais pas pu lui dire et j'allais le pouvoir.
Cette fois-ci c'était notre dernière chance.
Et je comptait bien ne laisser rien ni personne la gâcher. J'étais tellement heureuse que j'en avais oublié la situation.
Infirmière : bon maintenant, mademoiselle Bouzid a besoin de repos. Le médecin arrive.
Elle avait de la chance que je sois super contente sinon je lui aurait bien fait part de toute le dégoût que je ressentais à son égard.
Bref, L'infirmière la plus aigri de France.
J'étais tellement dans ma bulle que je me suis même pas débattus quand le médecin est passé pour me faire des analyses.
Je venais d'apprendre que l'homme que j'aimais plus que tout était vivant ! Je voulais juste une chose : le voir et lui parler.
Je comptait bien m'excuser de tout. J'avais qu'une envie : le voir. Quand on apprend qu'une personne avait frôlé la mort, on pensait qu'à une chose : lui parler.
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𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬
Altele𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒. 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑎̂𝑚𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑐𝑖 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐋𝐚 𝐡𝐚𝐢𝐧𝐞. 𝑈𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 ℎ𝑎𝑖�...