𝐓𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞-𝐡𝐮𝐢𝐭.

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Salem aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh !

Vous allez comment mes stars ? Je vous laisse et n'oubliez pas de me bombardez de commentaires !

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«  Je t'aime, à la folie, passionnément, à l'ammoniaque »

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Son regard était rivé sur mon poignet. Le poignet ou Idriss avait serré un peu trop fort..Elle l'as pris dans ses mains délicatement puis m'as regardé les larmes aux yeux.

Ça devait lui rappeler de mauvais souvenirs..

Khalti : c'est quoi ça ?

- rien..je me suis juste fait mal tout à l'heure rire j'suis maladroite..

Et c'est repartis pour un tour. Je me ressentais coupable. Coupable de quoi ? Il c'était rien passé non ?

Il m'avait rien fait..il avait juste serré mon poignet un peu trop fort..C'était juste une erreur.

J'avais un sentiment de déjà vu..

Khalti : c'est Idriss c'est ça ?

- non pourquoi tu dis ça ?

Khalti : une nuit..il a crier dans l'appart..il avait fait un cauchemar, il fait que répéter « Pardon Amira...c'était une erreur..me lâche pas », il m'as affirmé que c'était qu'un cauchemar et qu'il ne t'avais rien fait mais en voyant ton poignet j'ai du mal à le croire..

Il avait regretter jusqu'au point de faire un cauchemar ? Je me suis sentis coupable d'un coup. Peut être que j'aurai pas du montrer que j'avais mal, ça avait du le traumatiser..

- t'inquiète c'est rien khalti, c'est pendant que je faisais la vaisselle je crois..

Khalti : benthi...

Elle c'est approché de moi et d'un coup, sans que je puisse réagir, elle m'as fait un câlin.

Khalti : tu sais que je t'aime Amira..je t'aime comme si tu étais ma fille..

- moi aussi tata...tu es ma mère pour moi..

Khalti : je te remercierai jamais de tout le bonheur que tu as apporter à mon fils, sans toi dans sa vie, je sais pas ce qui serai devenu.

- c'est rien..il m'apporte autant de bonheur

Khalti : oui, mais il te détruit aussi.

Elle c'est décalé de moi et m'as regardé dans les yeux. J'ai froncé les sourcils.

- je comprends pas...

Khalti : je sais très bien que tu t'es pas cogné ou je ne sais quoi d'autre. C'est Idriss qui t'as fait ça, je connais mon fils et ses excès de colère.

- c'était pas fait exprès..il faut pas s'inquiéter c'était rien

Khalti : non justement, ce n'est pas rien. Je veux pas que tu es le même destin que moi. Tu compte pour moi autant que tu compte pour Idriss mais je ne te laisserai jamais souffrir avec mon fils

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant