𝐐𝐮𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭𝐞-𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬.

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As Salem aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh !

Vous allez comment les filles ?

Je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombardez de commentaires !

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J'ai sentis un parfum que je connaissais bien. Beaucoup trop bien même. Puis des lèvres, qui se sont poser sur mon front quelques secondes, et le chuchotement de cette même voix qui me disais :

Idriss : au revoir ma princesse.

J'étais complètement réveillé à ce moment précis. Mais je refusais de le voir. J'avais beaucoup trop de rancœur.

J'ai entendu les pas s'éloigner et Yassine s'approcher de moi.

Yassine : je sais que t'es réveillé.

J'ai ouvert les yeux.

- comment tu savais ?

Yassine : tu pleures Amira..

J'ai passé mes doigts sur mes joues et effectivement quelques larmes avaient coulés.

- ah bon ?

Yassine : tu voulais pas lui parler ?

- pourquoi faire ?

Et encore une fois, cette haine qu'il avait laissé en moi en partant, est revenu. Il pensais partir de ma vie pour pas me détruire mais c'était déjà trop tard.

Et en partant, il m'avait laissé une parti de lui. Sa haine.

Yassine : tu sais très bien que tu vas le regretter..il part à Marseille la..c'est pas une blague.

- oui j'ai entendu.

Yassine : t'aurai du-

- et si je lui aurai parler, tu penses qu'il m'aurait écouter même ? Non, donc c'est mieux comme ça.

Yassine : ...

J'suis descendu de la voiture et on se trouvait sur le parking de mon ancienne cité. Face à cet ancien appartement.

J'ai tremblé en pensant aux personnes qui s'y trouvait sûrement. Je me sentais vulnérable.

Yassine : ça va aller t'inquiète. J'suis là, personne te touchera.

- sourire merci Yassine.

Yassine : j'suis ton grand frère, c'est mon rôle de te protéger. Allez viens, on va rejoindre les autres.

Il m'as tendu son bras et je m'y suis accroché. J'avais à peine fait quelques pas que j'ai croisé le regard de cette fille qui me donnait la gerbe.

Ranya.

Elle portait une robe rouge moulante, rouge. Ses cheveux en carré était plus foncé que d'habitude et ses yeux verts me transperçait du regard.

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant