𝐐𝐮𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭𝐞-𝐝𝐞𝐮𝐱.

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As Salem aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh !

Vous allez comment mes stars ?

Je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombardez de commentaires !

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« Y'aura plus de nous »

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Après tout ses achats, elle m'as déposé dans mon quartier et je suis monté jusqu'à l'appartement. À peine la porte d'entré que j'avais refermé j'ai entendu quelqu'un toqué, j'ai ouvert et je me suis retrouvé face à Ali.

- Ali ? Qu'est-ce que tu fais là ?

Ali : Y'A IDRISS DEHORS, IL EST À MOITIÉ MORT EN TRAIN DE SE BATTRE !

L'information n'a fait qu'un tour dans mon cerveau. Immédiatement j'ai lâché mes sacs dans l'entrée et sans même fermé la porte à clé, j'ai dévalé les escaliers en courant.

Arrivé en bas, je me suis dirigé vers l'immeuble d'Idriss, ou plutôt l'appartement qu'il avait loué avec sa famille. Il était à 10 minutes a pied.

Mon cerveau fonctionnait même plus tellement j'étais stressé.

Ali : on prend ma voiture sinon ça va prendre trop de temps.

J'étais même pas au courant qu'il avait une voiture. On est monté et il a démarré en trombe direction son immeuble.

- comment t'as fait pour voir ?

Ali : je passais avec Chloé vers l'immeuble d'Idriss et j'ai entendu des cris..puis je l'ai vu attrapé un vieux mec..on l'a vu à la sortie tu te souviens ? C'est son daron je crois..

- oh non...

J'imaginais le pire. Déjà qu'il était incontrôlable et dans un état second quand il était énervé alors là..face à son père. Il était capable de commettre un meurtre.

On est arrivé devant son immeuble et j'suis descendu en sprintant. Il y avait déjà un rassemblement et j'entendais les cris déchirant de sa mère.

Noor tenait Lilyah dans ses bras qui pleurait. Une scène vraiment horrible a voir. J'ai essayé de me frayer un passage à travers les personnes et j'ai vu Idriss et son père.

Son père l'étranglait par le cou pendant que sa mère essayait de le pousser pour qu'il le lâche.

Mère d'Idriss : LÂCHE MON FILS ! Lâche le !!

Idriss était devenu blanc à force d'être étranglé mais il avait sa main également sur le cou de son père qui serrait fortement.

Je voyais ses doigts qui s'enfonçait dans la chair de cette homme. Aucun des deux ne voulait lâché l'autre.

Dire que c'était un fils et son père..

Le père d'Idriss était rouge et toussait de plus en plus fort. Le visage d'Idriss même si il était livide, et à moitié mort était toujours animé par cette même haine.

- oh non...lâcher le s'il vous plaît...

Le père d'Idriss toussait de plus en plus fort. À mon stade, je ne pouvais rien faire à part les regarder s'entretuer. Ils ne m'entendaient pas de toute façon.

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant