𝐕𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐍𝐞𝐮𝐟.

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As Salem Aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh !

Vous allez comment  ?

Ça se passe comment la fin de vos vacances ? En tout cas, profitez en à fond et pensez bien à vous reposé et profitez des personnes qui compte pour vous !

Sur ce, je vous laisse et n'oubliez pas de me bombardée de commentaires !

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« Le pique-nique »
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A M I R A

Une de ses copines est arrivés en première. Elle était vraiment très belle masha'Allah. Elle était blanche de peau, avec un plaque bien fait et des baby hair. Elle portait aucun maquillage mais avait juste appliqué un coup de gloss sur ses lèvres charnues.

Elle avait un ensemble de foot t-shirt short du Maroc.

Sana : Ah Maissane !!! Ça va oukhtyy ??

Maissane : en la prenant dans ses bras ouii hbiba et toii ?

Sana : ouii j'suis trop excité de vous faire rencontré arghh, comme je t'avais dit, voici Amira ma sœur d'amour

Maissane : Sale-

Elle a tourné sa tête vers moi et son visage c'est littéralement décomposé. En dirait qu'elle me connaissait.

Maissane : en se tournant d'un coup sec vers Sana qu'est-ce qu'elle fait ici Elle ?

Moi et Sana nous sommes regardés.

Sana : vous vous connaissez ?

- euh non... c'est la première fois de ma vie que je te vois..

Maissane : t'es sur de toi hein ?

Elle me défiait du regard.

- sur et certaine et évite de mettre des coups de pression ici heichek

Je veux bien être gentil mais la c'est trop. On m'agresse même quand j'ai rien fait, avec tout ce qui m'est arrivé dans ma vie, je commence à perdre patience avec les gens qui me cherche des problèmes.

Sana : quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe ? Maissane tu connais ma sœur ? Tu la déjà vu quelque part

Elle me regardait hautainement.

Maissane : soupire agacé, bah non ça doit être aussi la première fois de ma vie que je la vois si elle le dit

La tension était plus que palpable dans l'air. Je comprenais pas ce que je lui avait fait a cette fille mais j'ai plus le temps pour les gamineries. Qu'elle m'aime pas, ok, flemme de chercher à comprendre.

Petit à petit, mon cœur se durcirait et c'était sûrement mieux comme ça. Avec le temps, on apprend de ses erreurs et nos faiblesse et souffrance forgent notre caractère. Alors je devenais, sans m'en rendre compte, en pierre tout simplement.

J'en avait marre d'être niya, d'accorder de la confiance et de la gentillesse à des gens qui le méritait pas. Je perdait mon temps à aider des gens qui cherchait à me nuire. Je referais plus les mêmes erreurs 2 fois.

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant