𝐕𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐡𝐮𝐢𝐭.

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As Salem aleykoum wa rahmatoullah wa barakatuh !

Vous allez comment mes stars ?

C'est bientôt la rentré arghh j'suis dégoûté...j'ai vraiment pas hâte..

Sur ce, je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombarder de commentaires !

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" Le cauchemar "
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Elle me regarde, toujours hésitante.

Mère d'Amira : je t'écoute. Dépêche toi, ma serie va bientôt commencer

- j'ai une idée pour séparer à tout jamais Idriss et Amira. Ils ne se marieront jamais et vous pourrez vous venger du fils de votre pire ennemi. Leur famille ne connaîtrat plus jamais le bonheur.

Elle me regarde puis les traits de son visage s'élargisse en un grand sourire et je vois une lueur diabolique dans son regard.

Mère d'Amira : grand sourire entre benthi, je t'en prie..

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A M I R A

4 : 06

{ ... }

Il me regarde avec cette haine immense dans son regard. J'avais l'impression qu'il voulait me tuer.

- Idriss...je...je...c'est pas possible..pas elle...nous deux c'est évident...pas elle Idriss..s'il te plaît..

Je manquais d'air et son regard sur moi me comprimait la poitrine encore plus. Je n'arrivais pas à parler.

Un regard froid, dur, dénoué de toute émotions.

De toute émotions autre que de la haine..

Il me pris le bras me fesant lever de force.

- j'ai...j'ai mal.. lâche moi s'il te plaît..

Il ne me quitte pas du regard. Ses yeux rouges, exorbites, retient des larmes. Des larmes de haine..

Son étreinte sur mon bras se fait de plus en plus forte.

- Idriss..tu me fais mal..

J'avais déjà que la peau sur les os, j'avais aucune force et il me faisait très mal. En dirait qu'il entendait rien. Comme si ma voix a ses oreilles était lointaine. Je vis une larme couler le long de sa joue.

Idriss : regarde ce que je suis devenu..

- ...

Idriss : regarde comment tu m'as fait devenir..

J'avais mal au bras mais la douleur que je ressentais intérieurement était mille fois plus pire.

Idriss : REGARDE MOI PUTAIN

Il pris ma mâchoire de son autre main libre, me forçant à le regarder et me propageant une nouvelle douleur le long de mon menton jusqu'aux joues.

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant