𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬

𝐓𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞-𝐬𝐢𝐱.

As Salem aleykoum wa Rahmatullah wa barakatuh !

Vous allez bien les filles ?

Moi ça va el hamdoulileh mais j'suis grave stressé pour la rentrée arghh, surtout que je connais personne !! Et vous ? Vous avez préparez vos outfit ? Raconter moi tout !!

Je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombardez de commentaires !

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Il me regardait toujours avec ce même sourire diabolique. Même si j'avais quasi pas de force, la haine alimenterai toute la puissance du coup que je m'imaginais lui donner.

Riyad : alors ? Je vois que t'es toujours vivante. Je peux pas dire que j'suis heureux mais bon. C'était bien alors ?

Des larmes de nerf et de tristesse se mêler dans mes yeux. Il était horrible. Ignoble. Et le pire c'est que lui aussi je ne lui avait rien fait.

J'ai entendu des pas courir vers la porte.

J'ai même pas regarder qui c'était, j'ai giflé Riyad de toutes mes forces.

Sa tête a fait un 360. Mais c'était rien comparé à la douleur que je ressentais intérieurement. Il c'est tenu la joue et m'as regardé choqué.

- t'es vraiment mauvais ! T'as même pas un peu de honte ? Tu te vente ? T'ALLAIS ME LAISSER ME FAIRE VIOLER ? ET T'EN RIGOLE ? Mais t'es horrible w'Allah tu me dégoûtes...

Les larmes me montait aux yeux. J'ai sentis de bras m'entraîner vers la chambre juste après ça.

J'étais dans un état de subconscient pendant tout ce temps. C'est la que j'ai réellement réalisé en voyant son visage dégeulasse. J'ai réalisé l'empleur de ce qui c'était passé hier soir.

En relevant le regard pour voir qui essayer de me calmer j'ai vu Sana. Elle avait elle aussi les larmes aux yeux.

Sana : Amira...c'est pour ça que t'es pas rentré de la nuit..il t'as...il a...

- il a pas réussi hamdoullah..

Sana : il t'as mis dans un état Amira...t'as des béquilles...et ton visage.. pleurs je suis tellement désolé...

- c'est pas de ta faute...

Elle a pleurer avec moi pendant longtemps. C'était une épreuve vraiment traumatisante. Au moment où on commençait à se calmer on a entendu un gros bruit.

On c'est regardé puis on est sortis le plus vite possible.

Yassine se tenait la. Rouge de colère, le regard totalement vide d'émotions mais animée par la  haine.

Riyad était au sol, du sang couler de son Visage. J'essayais, mais en le regardant, aucune pitié ne venait en moi. Je pouvais pardonner beaucoup de choses mais cette homme avait contribué à beaucoup de malheur et il avait détruit ma vie en parti. Ma belle-mère se tenait au milieu, en se tenant la tête de ses deux mains, dépassé par les événements.

Yassine : t'as aucune fierté toi enfaite ? T'allais la laisser se faire violer ? Tu l'as vu et t'as rien fait ? Ta sœur...T'ALLAIS LAISSER TA SŒUR SE FAIRE VIOLER ? En lui donnant un coup de pied dans le ventre