𝐕𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐞𝐭-𝐮𝐧.

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As Salem aleykoum wa rahmatoullah wa barakatuh !

Vous allez comment mes stars ?

Excusez pour mon retard, je devais poster lundi mais ça c'est compliqué vu que mes parents m'ont acheté un nouveau tel pour me féliciter de mon brevet ! Et le temps que je transmette toutes mes données sur mon nouveau tel ça a pris du temps vous vous en doutez.

Bon j'arrête de parler mdrrr et je vous laisse avec ce chapitre et n'oubliez pas de me bombarder de commentaires!

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A M I R A

Je me lève et regarde mon réveil. Il est 5 heures du matin. En même temps ça fait déjà plusieurs nuit que je trouve plus le sommeil et que je dors pas avec tout ce qui c'est passé.

Bref, comme tout les matins je me lève, fait ma prière lis un peu de coran et je m'allonge dans mon lit en regardant le plafond et en pensant à tout.

J'étais vraiment désespère de ma vie et au moment où je pensais être enfin heureuse, ma mère m'a enlevé ce bonheur.

Mes yeux et mon nez mon picoté et des larmes ont coulé. En même temps, en ce moment à part pleurer et être enfermé dans ma chambre sous ma couette, je faisais pas grand chose.

Ce qui était bizarre ce matin là, c'est qu'il y avait du bruit dans le salon. Imaginez c'était un cambrioleur ? Je sais pas ce qui m'as pris mais j'ai ouvert ma porte délicatement. Les bruits était des bruits de valise qu'on ouvrait et des bruits de clé aussi. Plus je m'approcais plus je distinguait des conversations aussi.

Je me suis caché derrière le mur pour voir ce qui se passait dans le salon. Et je peux vous dire que j'ai été choqué.

Mon père.

Il était la, assis sur le canapé, accompagné de ma mère et de deux jeunes hommes. Je ne voyais pas leur tête vu qu'il était de dos mais je voyais que l'un des deux jeunes hommes avait un chignon bas et l'autre avait des cheveux bouclés coupe casquette.

Maman : en tendant mes papiers (carte d'identité etc )à l'homme qui me sert de père si tu l'as prends, c'est définitif. Je veux plus la revoir chez moi.

Papa : oui je sais, mais tu es sur de ce que tu veux Myriam, c'est quand même ta fille...et juste pour cette histoire de garçon tu veux la sortir de chez toi..

Maman : C'EST PAS QU'UNE HISTOIRE DE GARÇON, C'EST LE FILS DE TA KEHBA, TU COMPRENDS PAS QUOI ?

Papa : crie pas tu vas la réveiller...mais dans tout les cas ce garçon.. Idriss...si elle l'aime on peut rien y faire, on contrôle pas ses sentiments

Maman: ouais bah t'es sentiment tu les a contrôler quand t'es partis vivre au bled avec ta nouvelle femme

Papa : ça a aucun rapport, j'étais amoureux d'elle.

Maman : et moi ? T'étais plus amoureux de moi ?

Papa : non et on a déjà eu cette conversation, khalass c'est pas le sujet.

Maman : SI C'EST LE SUJET T'ES PARTI EN ME LAISSANT SEULE AVEC TA FILLE, ET MOI JE T'AIMAIS ! TU T'ES SERVIS DE MOI, J'AI TOUT ESSAYÉ POUR TE RETENIR : QUE CA SOIT SORCELLERIE OU DÉTRUIRE LA VIE DE CETTE SONIA, TOUT !

𝐍𝐨𝐬 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐀𝐛𝐢𝐦𝐞́𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant