chapitre 14

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- Mais Rob de quoi tu parles ?
- tu va te taire, C'EST TA FAUTE TOUT ÇA.

Je commence à avoir peur ! pourquoi cris il, qu'est ce que j'ai fais pour autant le mettre en colère.

- Rob je ne te comprends pas qu'est ce que j'ai fais ?
- ne fait pas l'innocente je sais que tu est au courant de manœuvre de ta mère, et pour ça je vais la faire payer.
- arrête tu commence à me faire peur.

Il commence à s'approcher de moi d'une manière effrayante, ses yeux ont complètement changé il vire presque au rouge.

Suer d'angoisse, être paralysée, avoir la gorge nouée et sèche. Ces expressions définissent exactement mon état actuel.

Et sans l'avoir vu venir il me saute dessus et attrape mes poignets pour m'immobiliser, horrifiée j'essaie de criée mais rien n'y fait il commence à poser ses lèvres sur moi. Sur mon front, mon cou,... j'ai l'impression que mes efforts pour me débattre de serve à rien tellement il s'en contre fiche. Et de toute mes forces je prie le bon Dieu pour que quelqu'un puisse venir m'aider.

Va il vraiment me violer ici dans la résidence,... pour quoi est-il si en colère contre ma mère. Je commence à sentir sa main gauche descendre le long de mon corps pour s'arrêter sur ma cuisse. J'essaye d'en profiter pour me débattre mais il tient toujours fermement mes poignets avec sa sale main droite.

Il commence à m'embrasser de partout et sa main continue d'avancer jusqu'à mon intimité et là je me suis juste lassée, quoique je fasse il va finir par le faire. Je ne dis plus rien mais pleure en silence en connaissant mon sort, mon triste Sort.

Alors que ma robe commençait à être en miettes j'ai senti sa main droite se relâcher alors sans hésiter j'ai essayé encore une fois de libérer mes mains et bingo j'ai réussi et je ne pas mais il est tellement bouleversée qu'il ne s'en rend compte que de secondes plus tard et moi j'ai réussi à attraper une sculpture qui décor la pièce et le lui fracasse le crâne avec.

Il me lâche et commence à hurlais et en profite pour m'échapper mais la porte est verrouillé. Je remarque que la fenêtre elle est ouverte, sans hésiter je fonce vers la fenêtre pour sauter à travers malgré le fait qu'elle soit à 7 mètre du sol.

Et de que je voulue saute il me rattrape par le hanche et me pousse à l'intérieur, il a aussi eu le temps de récupérer mais quand il s'est approches de moi pour probablement finir son boulot je l'assomme en une fois avec la sculpture qui n'avait pas quittée ma mains, et je continue encore et encore a le frapper avec à la tête, sur son abdomen, le torse...

Et quelques secondes plus tard quelqu'un fracasse la porte et je reste pétrifiée avec de goute de sang qui coule sur mon visage sûrement celui de Rob. C'est ma mère et ses hommes. Sans comprendre je laisse tomber la sculpture et sanglote à chaude larme, est-ce que je venais de le tuer ? Non non non...

- Evie ma chérie est-ce que ça va ?

Ma mère m'éloigne du corps probablement sans vie de mon ami.

- maman j'ai l'ai tué, j'ai l'ai tué !

Je me sent secouer et j'essaie d'ouvrir mes yeux mais je n'y arrive pas qu'est ce qui m'arrive ? Et terrifiée mes yeux papillonnent et laissent ouvrir mes paupières gentiment, une lumière aveuglante vients se heurter contre celle-ci, instantanément je le ferme. Je patiente quelques secondes et les recouvre plus doucement cette fois-ci.

- Evie ça va ? S'inquiète il
- Lucas c'est toi ?
- oui c'est moi !... dis moi toi ça va ? Je crois que tu faisais un cauchemar. C'est pour ça que je t'ai réveillé.
- oui ça va merci beaucoup
- tant mieux. 

Après un lourd silence ma voix s'élève dans le airs et je demande.

- je peux te poser une question ?
- oui vas-y !
- où... euh où est l'homme...
- ne t'inquiète pas j'ai l'ai amené à la police.

La police, j'ai peur, une angoisse monte en moi et pourtant je ne devrais pas. Il ne peut rien se passer, si ?
Et si il révèle tout à la police, non non...

Un poids m'envahit la poitrine et me noue l'estomac et la gorge.
Je crois que je commence à hyperventiler. C'est un très mauvais signe. J'ai peur, je ne réfléchis plus. Qu'est ce que je vais faire s'il viennent me poser de questions... j'arrive plus à respirer.

- Evie qu'est ce que tu as ? Respire.

J'y arrive plus...

- inspire et expire vas-y fait comme moi.

Je le suis et inspire trois secondes et expire trois secondes, inspire, expire, inspire et expire inspire et expire et je relâche pendant cinq secondes et je recommence le schéma comme Lucas on refait trois ou quatre fois. Une fois ma respiration revenue à son rythme normal il s'empresse de me prendre dans ses bras chauds, musclés et réconfortants. Il me berce tout en passant une mains dans mes cheveux et me confie des paroles qui me calme.

- ça va aller, c'est fini. M'apaise-t-il.

Je crois que je me suis endormi dans ses bras, d'ailleurs il était quelle heure la chambre était éclair mais je doute qu'il faisait jour dehors.

Après je ne sais combien d'heures je me réveille à nouveau et je remarque que Lucas s'est endormi sur la chaise inconfortables de mon bureau, il dois avoir de courbatures le pauvre.

J'essaie de me lever mais mon abdomen me fait trop mal, cet homme ne m'a pas vraiment loupé, je gémis de douleur mais je réessaye de nouveau et j'arrive à me mettre en position assise et...

- Evie qu'est ce que tu fais ? Rallonge toi !

Il c'est lève à la vitesse d'un éclair et vient m'aide à me rallonger.

- je ne suis pas mourante tu sais.
- je sais mais vaut mieux être prévoyant.
- euh... Lucas je... je voulais te remercier sans toi qui sait ce qu'il allait me faire.
- j'ai n'ai fais que mon travail rien de plus.
- merci quand même, en fait c'est déjà le lendemain fin aujourd'hui ?
- oui et ne t'inquiète pas j'ai déjà prévenu l'université pour ton absence et ta mère ne va pas tarder à arriver.
- ma mère ! Pour quoi tu lui a dit.
- Evie ta failli mourir et tu...
- OUI mais je ne suis pas morte, il fallait pas l'appeler.
- d'accord j'en prends note pour la prochaine fois.

Pour quoi il a prévenu ma mère, il sort de la chambre pour aller prendre des antidouleur et faire le petit déjeuner.

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