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Le conflit entre les filles et Calvin m'avait tellement énervé que j'étais prêt à me battre avec ce mec et terminer en garde à vue mais Agathe et Emery m'avaient arrêtées dans mon élan. J'ai quand même réussi à lui donner un coup de poing qui s'en souviendra toute sa vie en plus je portais des bagues, ça fait un mal de chien.
Hendricks — donc là tu es train de me dire que ce salaud qu'on considérait comme notre pote, a frappé ton ex et ta femme ? Non parce que là je suis vénère de fou
Boris — on aurait dû être là, maintenant je vais devenir le garde du corps des filles
— ça me fou la rage mais c'est ce qu'il souhaitait, toucher mon point faible et je l'ai même pas vu venir
Boris — bah de toute façon il pourra plus s'approcher d'elles sinon ça sera chaud pour lui juridiquement
— Agathe a déjà porté plainte contre lui et elle a raison, le mec l'a quand même giflé fin je ne sais pas ce qu'il lui a pris par la tête
Boris — non mais faut dire la vérité, il aime s'attaquer aux plus faibles tu te rappelles pas au collège, une fille l'avait insulté et il lui a tiré les cheveux
Hendricks — ohhh ça date cette histoire, je m'en souvenais même plus mais en y repensant, c'est vrai qu'il aimait trop jouer les timides alors qu'il était le bandit du groupe
— j'avoue enfaite on traînait avec un démon
Boris — sans effet, les actions de ce con ne me porteront jamais préjudice
Hendricks — là il doit agir comme un fugitif recherché par la police
— ah bah là fort ! Parce que si je le croise, je lui ferais pas de cadeaux
Boris — laisse le pro faire ! Nous avons HENDRICKS, le boxeur des boxeurs !
Hendricks se lève et commence à se venter, de vrais gamins ces deux-là. Peu après, Theodore fait son entrée avec un big bouquet de fleurs qu'il me tend.
Theodore — votre majesté ! Annonça-t-il en faisant la révérence.
Boris — un vrai bouffon du roi Theodore
Hendricks — en plus c'est moi qui méritait des fleurs, tu es même pas venu à mon combat et tu oses te pointer ici ! Déclare-t-il en venant le prendre par le cou.
— Hendricks c'est pas toi le centre du monde aujourd'hui mais je me sens aimé là, c'est à moi ces fleurs ? Je lui demande en étant choqué de son cadeau.
Boris — non non c'est pour ta voisine à droite qui te mate là. Me répond-t-il en parlant de lui qui ne cessait d'agiter ses cils de manière répétée.
