CHAPITRE 4 : LE COMMENCEMENT DE LA SAGESSE, C'EST LA CRAINTE DE L'ÉTERNEL
❦🌙HANAÏYAH
Naïyah, Naïyah
Quand je me suis retrouvée face à Dakota, j'ai eu comme un rappel de l'un des livres que j'avais lus. Il disait quelque chose comme : "Jeune fille, tes baisers ont trop de valeur pour les donner au premier venu. Garde-les précieusement et ne te laisse pas embrasser par un jeune homme si tu n'as pas l'intention de l'épouser ; ce jeune homme ne te respecterait plus et tu ne te respecterais plus toi-même."
C'était un enseignement que j'avais lu et relu, sans toujours en mesurer la gravité.
Comme quoi ? Faut faire Beleck.
Étant quelqu'un qui craint Dieu et redoute les conséquences, il était plus sage pour moi de garder mes distances avec les hommes, commençant par Dakota.
Esprit de tentation, en pleine nuit comme ça ? Non merci, pitié genre.
Il faut absolument que je dégage d'ici, à la seconde où j'ai penser mon téléphone s'est mis à sonner, c'est mon père.
Pourtant, il ne m'appelle jamais, et encore moins à cette heure ?
J'ai souri en regardant mon téléphone sonner entre mes mains.
— Excuse moi deux minutes, je reviens.
Dakota - Vas-y .
J'ai couru rapidement vers la sortie pour pouvoir parler à mon père tranquillement. Merci, Seigneur, car franchement, je n'aurais pas assumé ce que j'aurais pu vivre là-bas.
C'est à ce moment-là que j'ai réalisé à quel point l'esprit du mal était aussi présent que celui de Dieu. Ça n'avait rien à voir avec Dakota spécifiquement, mais j'ai toujours le réflexe de ramener la religion dans toutes les situations.
Mais j'devrais même pas me réjouir car en fait, si mon père m'appelle, c'est bizzare, surtout qu'il ne le fait jamais. Alors j'ai fini par décrocher.
— Allô ?
Papa - T'es où ?
— J'suis à l'anniversaire de Chelsea..
Papa - Et tu m'as dis ?
— Bah maman et Jordan sont au courant.
Papa - Et moi alors ?
— Tu m'as pas demander
Papa - Il est presque 22h Hanaïyah.
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𝐘𝐔𝐌𝐀 𝐋𝐔𝐕 ™
RandomDans mon histoire, "Yuma Luv" n'est pas simplement un amour fou, c'est un lien qui transcende les épreuves, défie les attentes familiales et sociales où les cicatrices de nos âmes trouvent guérison dans une complicité inexplicable.