2p!Hetalia Boyfriend Scenarios

45: Vivre Avec Un Immortel

FRANCOIS BONNEFOY
Comme un voleur dans la nuit, la lune apparaît au-dessus de la masse de nuages épais, filtrant la lumière naturelle de la lune à travers les rideaux blancs et dans la chambre partagée.

En entrant dans la pièce, François voit immédiatement ton corps recroquevillé en boule sous une pile de couvertures, avec une faible lumière provenant de ton téléphone. En s'approchant, il te voit faire défiler une histoire en ligne avec tes écouteurs branchés et de la musique. Ce n'était pas vraiment une surprise de te voir réveillé à une heure aussi tardive. Vous avez tous les deux des habitudes malsaines de rester debout jusqu'à tard dans la nuit, avec un penchant incommensurable pour le sommeil.

N'y pensant pas, il se glisse simplement dans le lit pour s'offrir un peu de repos après le stress de son travail. Il s'allonge sur le dos, les bras derrière la tête, en soupirant. À sa grande surprise, tu pousses un cri strident en sa présence. De toute évidence, il ne pouvait pas t'en vouloir. Tu lui tournais le dos, inconscient, absorbé par l'encart que tu étais en train de lire.

"François!" Tu te retournes pour frapper son torse en essayant de calmer les palpitations de ton cœur. François se contente d'émettre un petit rire, un rictus grossier se dessine sur ses lèvres et ses yeux restent fermés. Tu éteins néanmoins ton téléphone et le poses sur la table de chevet, puis tu reprends ta place, te blottissant contre son flanc droit. Mais un peu plus tard, alors que tes jambes viennent s'emmêler aux siennes, tes pieds entrent en contact avec quelque chose de cuir.

Déçue par ce dérangement, tu te redresses en lui donnant un coup de coude dans la jambe. "Enlève tes chaussures," lui dis-tu en montrant les chaussures en cuir noir brillant qui te regardent en se moquant de toi. Tes paroles tombent dans l'oreille d'un sourd, car François ne dit rien en réponse, puisqu'il s'est endormi à ce moment-là. Un soupir s'échappe de tes lèvres, alors que tu te rapproches de lui pour lui enlever ses chaussures. "Tu as de la chance que je t'aime," grommelles-tu, avant de menacer de frapper sa forme endormie avec l'une de ses chaussures.

Vivre avec un immortel comme François Bonnefoy signifiait parfois s'occuper de lui les jours de fatigue, car il avait tendance à ne pas s'occuper de lui-même. Ce n'était pas si difficile à faire et pour toi, cela ne te dérangeait pas du tout (parfois).

Après avoir déposé les chaussures au pied du lit, tu reprends enfin ta position initiale, ses bras t'enveloppant instantanément. Sa voix pleine de sommeil résonne dans tes oreilles avec un doux rappel.

"Je t'aime aussi."

ALLEN JONES
Il est midi lorsqu'Allen t'aide à décharger les derniers cartons de la camionnette. Un souffle épuisé s'échappe de tes lèvres alors que tu poses les cartons dans le salon.

Pourtant, tu as le trac, car le fait d'emménager avec lui marque une nouvelle étape dans votre relation. Certes, tu te sentais un peu étourdie à l'idée de vivre avec Allen, mais tu savais que vivre avec un immortel comme Allen Jones lui-même signifiait que tu t'occuperais d'un dur à cuire têtu avec la mentalité d'un enfant de cinq ans.

Balayant tes mèches indomptées (c/c), tu te retournes pour voir ton petit ami apporter deux cartons non étiquetés. "Merde," maugrées-tu à haute voix, en commençant à chercher un repère sous le tas de cartons que tu as reçu. "C'est quoi?" Allen se fige, inquiet, attendant une réponse. "Tu peux regarder à l'intérieur des caisses?" dis-tu, "j'ai oublié de les étiqueter."

Une fois que tu as réussi à t'emparer d'un marqueur permanent bleu, tu te retournes pour étiqueter les boîtes, mais tu découvres qu'Allen lorgne sur le contenu des boîtes. "Al ?" L'appeles-tu pour attirer son attention, la confusion restant dans ton ton. Il s'exécute, mais un sourire diabolique se dessine sur ses lèvres. "C'est une belle culotte, babe," taquine-t-il en agitant ses sourcils d'une manière suggestive.