chapitre 11(la décision)

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Après cette soirée je ne me souviens de rien du tout et je pense que c'est la même chose du côté de mes amis.
Je me suis réveillé avec une des plus fabuleuse migraine de l'année et la lumière du soleil passant par les fenêtres ne m'aide pas du tout. Nous sommes collé les un aux autres comme de sardines emboîté au sol . Je cours au toilette pour rejeter tout l'alcool qui était sur mon estomac et après je suis rentré sous la douche histoire d'apaiser la migraine.
Même si je ne suis pas chez moi je peux me servir dans cette maison comme bon me semble et je sais l'emplacement de chaque chose et de chaque pièce. C'est comme ça dans notre gang on se partage tout même les habits. Mais dans toute chose il y a ces limites, bien que pour eux ce n'est pas le cas il n'ont pas peur de se servir dans ma brosse à dent, de prendre mon argent sans que je ne m'en aperçois et pour m'apaiser ils m'apporte toujours un parfum car ils savent que j'en raffole. Je les pardonne toujours car je  sais qu'avec mon pardon ou non ils continuerons à me piqué mes affaires surtout mes parfum. C'est pour cela que je ne veux pas les accueillir chez moi bien que ce n'est pas cela qui les arrête de venir s'y cloîtré.

Ma douche fini je m'éclairci la voix et hurle

-Réveillez vous ont est attaqué !!!

Ils se réveillent d'un coup et Léo me dit :

-Comme t'es réveillé protège nous mais je t'en prie laisse moi rattraper ma nuit connard.

Et Valence rajoute :

-S'il le faut fait exploser la maison mais laisse moi dormir.

Je prends mon arme et tire dans le miroir même si je sais que .... Val me tuer parce qu'il adore les miroirs il dit qu'il peut se rincer les yeux avec sa beauté qui fait tomber plus d'une.

Ils se lèvent tous et prends leurs armes pendant que moi je cours dans les marches en me tordant de rire.

-Je vais t'assassiné Valentino.

-Je te suis mon pote.

-Je vais te découper des doigts en filet de bœuf et te les faire bouffer tout cru. Et après j'offrirai ton sang au diable et ton cœur je vais le vendre pour sauver une personne digne de vivre.

-Espèce de bâtard.

Ils disent ça en me poursuivant. Je dois arrêter de rire car cela me ralenti.

-Maman pas besoin d'acheter de viande cette semaine.

-Oui nous allons à la boucherie en personne tu n'auras qu'à acheter des trucs pour l'assaisonnement et une robe noire.

Je m'arrête derrière la mère et rigole malgré mon mal de crâne intense.

-Mais que se passe t'il ? Pourquoi j'ai entendu ce bruit là haut ? Et pourquoi est ce que vous courrez derrière mon bébé.

-Sí mamá. Demande les pourquoi.

-Je vais sincèrement te fracassé le crâne. Et pour ton enterrement je mettrai un ensemble rouge.

-Mais quel monstruosité !!!

Ils m'ont encerclé mais la mère parle d'un ton ferme mais amusante :

-Vous le touchez je ne vous parlerai plus jamais.

-Nous ne le toucherons pas mais les balles si.

-Serai tu en train de te moquer de moi mi niño?

-Au grand jamais mamá.

Ils me regarde comme pour me dire nous n'avons pas terminé avec toi.

RedenzioneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant