Une enquête particulière

L'esprit sombre

Cela fais maintenant une semaine que Stanley est interné dans un hôpital psychiatrique, il dois suivre à contre cur le traitement que lui as prescrit le psychiatre; il n'aime pas prendre son traitement car il a l'impression de devenir un zombie après chaque ingestion.

L'adaptation à son nouvel environnement est très compliqué, il passe la plupart de son temps enfermé dans sa chambre il as recouvert le miroir de sa salle de bain avec un draps, ces nuits sont de plus en plus agité il fait encore et encore le même cauchemars, cette ombre continue de lui parlé il essaye de partir, de ne pas l'écouter mais ces pieds ont fusionner avec le sol. L'ombre lui répète toujours la même chose "Arrête de lutter contre moi, laisse moi prendre le contrôle tu vas voir tu vas aimer, je connais ton esprit maintenant nous sommes pareil toi et moi. Nous désirons tous les deux se venger des personnes qui nous ont fais souffrir. Si tu me laisse prendre le contrôle je te promet d'assouvir cette soif de vengeance".

Le lendemain matin, Stanley ne le savait pas encore mais l'entité prenais peu à peu le contrôle de son corps; la fatigue et le stress l'avait tellement consumé qu'il n'avais plus la force mentalement et physiquement de lutte. Les effets de cette possession se faisais directement ressentir il devenais de plus en plus violent avec les autres résidents, le moindre regard ou réflexions même positive à son égard pouvais déclencher un accès de fureur. Ne sachant pas pourquoi il décida de rester dans le salon commun, il ne fallut pas plus de dix minutes avant que Stanley ne déclenche une bagarre avec un patient atteint de paranoïa car il avais jugé qu'il avais jugé en le regardant, Stanley frappa le pauvre homme au visage d'un crochet du droit, le choc fut si brutal que le patient tomba au sol la tête percuta le sol Stanley se jeta sur lui sans attendre et l'assena de coup. Le temps que les infirmiers arrivent pour les séparer et amener l'homme à l'infirmerie son visage était déjà boursouflé, couvert de bleu et en sang.

Stanley n'arrivais pas à comprendre se qui c'était passé ni pourquoi il avais attaqué cet homme alors qu'il ne le connaissait pas. Les infirmiers l'avais directement conduis en isolement forcé, cet isolement étais la pire chose qui pouvais lui arrivé, il est condamné à rester seul enfermé avec cette entité. A la seconde où la porte se refermait Stanley senti une présence qui l'oppressais ne voulant pas y faire face il hurlait à l'aide, frappais sa tête sur la porte. Les minutes passa et personne ne venait, il continua à crier au secours pendant des heures jusqu'à que seul la fatigue pouvais faire taire.

Toute ces émotions l'avait énormément fatigué, il s'écroula sur son lit, comme à son habitude il fait le même rêve que d'habitude. L'entité s'adressa à lui mais son ton étais différent d'habitude elle avait l'air amusé "Alors comment tu as trouvé ma petite aide ? On c'est bien amusé, je t'avais prévenu quoi que tu fasses je prendrais le contrôle. Tu as deux possibilité sois tu me cèdes ton corps sans souffrir et tu seras enfin libéré de cette souffrance sois tu continues à me résister mais je prendrais le contrôle quoi qu'il arrive à toi e voir si tu veux souffrir ou pas". Une fois qu'elle eu fini de parler elle tendit juste le bras vers Stanley et attendis une simple poignée de main en guise de pacte, Stanley hésita un moment il ne voulait plus souffrir savoir qu''il pouvait ne plus rien ressentir lui faisait vraiment plaisir et puis la finalité est la même quoi qu'il arrive il est condamné. Son choix était fais il ne voulais plus souffrir dans un élan de détermination il serra la main de l'ombre. C'est alors qu'une puissance maléfique jaillissait de l'entité qui d'un rire à glacer le sang, le sang de Stanley bouillonnait il avait l'impression que son corps pouvait se déchirer à ton moment ses yeux devenaient rouge. A son réveil il n'était plus le même il ne ressentait plus aucune émotions il était comme vide.

Tout se qu'il devait faire maintenant c'est attendre que son isolement prennent fin, il sentait une haine grandir en lui mais ce n'était pas sa haine il le savait c'était celle de l'entité.