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♡ ˚.*ೃ B. KATSUKI • ₊°✧︡
PENDANT CE TEMPS, DANS LA CUISINE, Katsuki s'affairait à préparer quelque chose à manger. Ses mains tremblaient légèrement, trahissant l'émotion qui bouillonnait en lui. Il essayait de se concentrer sur la tâche, mais les paroles de Tuk résonnaient dans sa tête. Était-il vraiment responsable du malheur de son propre fils ? Et comment pouvait-il réparer ça ?
Alors qu'il découpait des légumes, il entendit des pas derrière lui. Il se retourna pour voir (t/p), qui le regardait avec une expression gênée. Elle était en robe de chambre d'où cette expression, ne s'attendant pas à ce que quelqu'un soit dans la cuisine à cette heure de la nuit.
- Putain, tu comptes me regarder toute la nuit ?!
- Non ! Dit-elle rapidement.
- Tch, Katsuki la toisa avant de continuer à couper ses légumes pour ses enfants et Kirishima.
Derrière lui, (t/p) commença à attraper nerveusement un verre , tout en faisant tout pour éviter de croiser à nouveau le regard de Katsuki. Le blond était énervé quant aux nouvelles qu'il avait apprit plutôt et retransmettait toute sa colères dans ses actions, rendant tension dans la pièce palpable. (T/p) de son côté, pensait que c'était de sa faute, alors elle se fit toute petite.
- Euh... Tu vas bien Bakugo ? Demande finalement la petite (c/c) après avoir prit son courage à deux mains.
Il serra les dents, ses sourcils se fronçant davantage. Il ne voulait pas paraître vulnérable, surtout devant elle, sa futur femme. Mais il ne pouvait pas non plus ignorer la situation.
- Oi, pourquoi tu me demandes ça ? grogna-t-il, détournant le regard et se concentrant de nouveau sur les légumes. Je vais bien putain. Dégage, t'as rien à faire ici.
Il soupira, exaspéré, et détourna le regard.
- Si tu veux vraiment aider, prends ce putain couteau et découpe ces putains légumes au lieu de me poser des questions. Je pourrais passer à la viande. sa voix était brusque, mais il tendit un couteau propre dans sa direction, une invitation silencieuse.
(T/p) prit le couteau sans un mot et commença à découper les légumes à côté de lui. Le silence s'installa, seulement interrompu par le bruit des couteaux contre la planche à découper. Petit à petit, la tension dans l'air se dissipa légèrement.
Bakugo, toujours concentré sur sa tâche, jeta quelques regards furtifs vers (t/p). Elle travaillait minutieusement , ses gestes précis et gracieux. Son visage était éclairé par la lumière douce de la cuisine, et à cet instant précis, il ne put s'empêcher de remarquer à quel point elle était belle.
