Les vacances de Gisele suite

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Le lendemain, Sophie et Steven annoncèrent qu'ils partaient l'après-midi faire une balade avec des amis du village. Gisèle fut soulagée de passer cette demi-journée seule pour pouvoir un peu faire le point. Marc profitait des joies de la piscine. Elle décida de prendre un bain de soleil et enfila un maillot 2 pièces jaunes assez mini qu'elle portait quand elle était seule. Elle somnolait depuis quelques minutes lorsqu'elle sentit une présence. Elle se redressa en sursaut provoquant un éclat de rire de Marc qui avait assisté à la scène : Steven était juste derrière elle.

- Oh Steven vous m'avez fait peur. Vous n'êtes pas parti avec eux.
- A première vue non. Il fait trop chaud pour marcher. Ils sont trop sportifs pour moi dont le sport favori est la sieste.
Elle rit, nerveuse. Il poursuit :
- Je vois que vous avez pris de l'avance. Je peux vous tenir compagnie ?
- Euh. Oui bien sûr.
Elle sent qu'il déshabille son corps de brune aux yeux bleus. Il ôte son jean. Il est moulé dans son maillot, un beau torse bronzé, séduisant, rieur.
- On est mieux ici qu'à transpirer sur les sentiers. Vous aimez marcher ?
- Pas quand il fait chaud.
- Moi non plus je préfère faire le lézard. Surtout en compagnie d'une jolie lézarde même si une lézarde en principe c'est vert.
Elle rit à nouveau.
- Mais si vous étiez observateur vous verriez qu'il y a du jaune dans le vert des lézards.
- En tout cas le jaune vous va très bien .
- Merci.
Elle se détend, la présence de son fils Marc pas loin la rassure. Elle peut se laisser un peu aller sans trop de risque.
- Je vous passe de la crème ? Le lézard cuit çà n'est pas bon.
Il rit. Elle hésite un peu.
- Bon OK. Elle lui tend le tube.
Il enduit son dos, tourne autour de l'agrafe du soutien gorge. Ils plaisantent détendus.
- On dégrafe le haut de la carapace du lézard. Je crains de tacher.
- Ok, le lézard restera sur le ventre.
- Dommage. Je n'ai jamais vu une poitrine de lézarde jaune.
- Vous êtes jeune. Vous croiserez bien d'autres lézardes.
Gisèle sent la situation déraper. Son esprit lui intime d'arrêter ce jeu dangereux, mais son corps prend petit à petit le dessus.
- A la peau aussi douce ?
- Oui
- Aussi lisse
- Oui
- Aussi...chaude
La main du jeune homme suit le contour du slip. Elle répond dans un souffle.
- Bien sûr.
- Qui danse aussi bien les slows ?
- Si elle est surprise par le danseur
- J'aime surprendre
- .....
- Ça vous a plu ?
Un ange passe. Elle préfère répondre sur le ton de la plaisanterie. Ils échangent en riant.
- J'aurais dû vous gifler.
- Ou m'embrasser. J'étais si ému. Vous l'avez senti ?
- Ce genre d'émotion est difficile à dissimuler.
- J'avais un pantalon tout de même.
- Heureusement
- Pourquoi ? Que ce serait-il passé sinon ?
- Rien. Rien, voyons
Le doigt longe à nouveau l'élastique du slip. Elle frémit.
- Aujourd'hui je n'ai plus de pantalon et vous plus de robe....
- Raison de plus pour garder nos distances.
Il passe sa main à plat sur sa cuisse...remonte ...passe sur le maillot, la fesse.
- Chut ! Marc nous regarde.
- Il est trop petit pour comprendre.
- Si, allez arrêtez, vous allez faire des bêtises.
- Vous n'avez pas envie d'en faire vous ?
- Non
- Vraiment.
- Vraiment.
Elle n'a pu s'empêcher de sourire.
- J'aime ce sourire. Il vous rend encore plus...
- Quoi ?
- Hum. Désirable.
- Et Sophie dans tout ça ?
- Je ne suis pas jaloux...rire. Attendez
Il se lève, va parler à Marc. Marc sort de la piscine et court dans la maison.
- Que lui avez- vous dit ?
- Où se trouvait le dernier jeu de ma console ?
- ....
Il reprend sa caresse
- Comme ça, on est tranquille pour l'après-midi Mme la lézarde.
- Escroc. Vous avez tout manigancé.
- Oui ...j'en suis tout ému...même plus qu'hier soir.
- Oh. Alors il faut garder cette émotion pour vous.
- Je ne suis pas égoïste. J'aime partager.
Sa main caresse ses cuisses puis glisse entre les deux.
- Chut ! Pas toucher jeune homme.
Il remonte, effleure le maillot.
- Le jaune vous va bien mais je suis sur que vous avez trop chaud avec ça..
- Non ça va. Arrêtez tant qu'il est encore temps.
Il repousse l'élastique, dénudant une fesse.
- Chut !
-
Elle tente de se rajuster.
- Laissez vous aller. Vous en mourrez d'envie. Personne n'en saura rien.
- Vous pourriez être mon fils....
- Je ne veux pas être votre fils ....mais votre amant.
- Steven ce n'est pas bien !
- Peut être mais ça peut être bon.
Il repousse à nouveau les élastiques.
- Hum, le string vous va à ravir !
- C'est indécent.
- Vous n'en avez pas.
Il pelote ses fesses. Presque vaincue, elle se laisse faire.
- Si mais pas en maillot
- De quelle couleur ?
- Blancs.
- Je suis sûr que le noir vous irait aussi.
- Coquin ! Allez, rhabillez-moi !
Doucement il tire sur le slip.
- Non ! J'ai dit: rhabillez moi !
D'un coup sec il descend le slip et le jette dans l'eau.
- Oh Steven.
- Vous êtes beaucoup mieux ainsi...toute nue. Laissez moi vous admirer.
Sa main la parcourt.
- Vous êtes fou.
-
Elle sent sa main, son regard sur son intimité.
- Vous êtes très fournie. J'aime ça .
Il repousse ses cuisses, l'ouvrant un peu plus.
- Steven arrêtez de m'observer ça...
- ..vous excite ?
Il caresse son sexe. Par réflexe, elle se cambre.
- Oh ! Coquin.
- Ca fait quoi d'être toute nue cuisses écartées devant un jeune homme ?
- (soupir)
- Dites moi !
- J'ai honte.
- Et envie. D'en faire plus ?
- Non !
- Vraiment...
Il se penche embrasse doucement ses fesses nues. Tente de descendre, entre ses cuisses.
- Steven Chut. Sage
- Tournez vous !
- Non ! (Rire)
Il la prend par les pieds et malgré ses molles protestations, la retourne.
- Vous abusez d'une faible femme (rire)
- Que vous êtes belle.
Il la touche. Ses beaux seins lourds pointent, trahissant son trouble.
- Laissez-moi vous regarder.
- Ça vous excite de mater une vieille ? (rire)
- Disons que j'aime bien les jeunes quadras
- Flatteur !
- Et vous ça vous fait quoi d'être nue devant moi ?
- Ca me donne envie de....nager.
Elle se lève en riant. Elle court et plonge dans la piscine.

L'Extase en une seule langue Où les histoires vivent. Découvrez maintenant