Vacances de Gisele suite 3

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Là tu étais spectatrice, mais je suis sûr que tu ferais une excellente actrice.
- (Elle ne répond pas)
- Tu pourrais prendre la place de Sophie.
- Je te répète. Je n'aime pas les situations préparées.
- Mais si la situation t'y amenait.
- Oui peut-être. Mais tu es vraiment un sacré voyeur.
- Et toi alors. Tu viens de le devenir. (Rire)
- Bon on rentre ?
Elle renfile sa robe. Steven réfléchit déjà à créer la situation qui l'amènera à faire sombrer Gisèle. Le soir , chacun ment en racontant sa journée. Sophie manque de leur déclencher un fou rire en leur déclarant que Jean est très froid mais très prévenant. Elle leur annonce que Jean les invite le lendemain à déjeuner mais qu'elle devra les quitter en début d'après –midi pour aller à un cours. Les yeux de Steven s'allument. Il a trouvé son scénario.
Le lendemain, ils se retrouvent chez Jean. Repas d'été délicieux, Jean est aux petits soins pour Sophie mais ne néglige pas Gisèle et la sert copieusement de l'excellente sangria. Chacun est très gai. Jean se rembrunit un peu lorsque Sophie annonce son départ. Manifestement, elle ne lui avait rien dit, mais promet de les rejoindre pour le dîner.
Surprise aussi de Gisèle, lorsque Steven annonce qu'il va l'emmener à son cours et qu'il a une course à faire. Jean et Gisèle se retrouvent seuls. Jean se montre galant, la complimente sur sa fille puis lui dit qu'elle est plus mûre certes mais très belle. Elle se laisse aller à écouter ce dragueur impénitent. Après tout ce dit-elle c'est l'été et Steven va revenir. Jean apporte du champagne. Elle boit un peu trop. Mais où est donc passé ce Steven ? Jean l'invite à danser sur la terrasse. Il l'enlace, la serre. Elle sent son » émotion » contre elle. Il le lui fait remarquer :
- Excusez-moi, mais toutes les jolies femmes me font cet effet-là. J'espère que je ne vous choque pas.
- Vous me surprenez un peu. J'avais perdu l'habitude (rire).
- (Il la serre un peu plus) J'aime beaucoup ce moment, et vous ?
- Ce n'est pas désagréable (rire nerveux)
Elle se demande à nouveau où est Steven. Elle n'a toujours pas compris que de spectatrice, elle est devenue actrice. Les mains de Jean se font baladeuses : le dos, puis les fesses. Elle proteste mollement :
- Jean, ne profitez pas de la situation. J'ai trop bu mais je me rends compte.
- Que vous me plaisez ? Mais j'espère bien. Laissez vous aller. Laissez moi vous découvrir. Pour me faire plaisir, juste un peu, il y a si longtemps que je n'ai pas eu la joie de serrer une jolie femme contre moi.
- (Elle sourit : quel menteur !) Juste un peu alors.
Il ne se le fait pas dire deux fois. Les caresses sur les fesses se font plus insistantes. Il approche sa bouche. Etonnée Gisèle accepte ce baiser. Son sexe semble énorme. Mais où est -donc Steven?
Elle réagit enfin et jette un œil furtif vers l'endroit où la veille...Cà y est, elle a compris. Derrière le vert du feuillage elle a aperçu du rouge. Steven à un tee shirt rouge. Si elle le veut elle va devenir actrice pour le plaisir de son jeune amant.
Jean a profité de son temps de réflexion pour pousser ses avantages. Lentement il remonte la robe dans son dos.
- Jean vous allez froisser ma robe.
- C'est vrai ce serait dommage, il vaudrait mieux l'ôter. Tournez vous.
- Non voyons.
- (Il n'écoute pas et passe dans son dos)
- Non Jean s'il vous plait une autre fois.
- (Il se sert contre elle collant son sexe sur ses fesses. Il empaume ses seins) Laissez moi vous découvrir maintenant j'ai trop envie de vous.
- Pas ici. Pas dehors.
Elle vient de casser le scénario de Steven. Elle le sait mais elle n'a pas envie de se retrouver comme sa fille hier. Elle veut son scénario à elle. En disant cela elle sait aussi qu'elle recherche à connaître la fin d'après-midi de Sophie. Jean lui prend la main, l'entraîne à l'intérieur. Il ne veut pas brusquer les choses : d'abord au salon. Il l'embrasse à nouveau :
- Oh Jean, qu'allez-vous penser de moi ?
- Je ne pense rien ni à rien dans ces moments Gisèle, juste à faire fondre de plaisir ma partenaire. On l'enlève cette jolie robe avant de la froisser ?
- Puisque vous en avez tellement envie.
Elle se tourne docile. Dans le silence de l'été elle entend le « Zip » de sa fermeture. Sa robe tombe à ses pieds dévoilant le string blanc qu'elle avait mis pour Steven. Jean s'est reculé admiratif.
- Que vous êtes belle. C'était vraiment dommage de me cacher tout çà. Et en string en plus. Coquine.
- Il marque moins. (Elle a rougi )
- On peut éviter totalement les marques.
- Comment ? (Naïve)
- En l'ôtant. (Sourire)
- ...
- Otez le Gisèle pour moi.
Troublée par sa voix chaude, elle a oublié Steven. Sans hésitation elle se dénude.
- Voilà pour vous Jean. Je n'ai plus rien à vous cacher...
- (il tend la main) Venez-vous poser sur ma main jolie Gisèle.
L'image de sa fille sur cette main lui revient augmentant encore son excitation. Elle s'avance tremblante, enjambe la main. Le contact de la grosse main de Jean l'électrise. Elle sait qu'elle vient de se soumettre à cet homme mais pour son plus grand plaisir.
- (Il la tutoie) Bouge !
- (Elle obéit et ondule se frottant comme une chatte en chaleur sur ses doigts.) Oui Jean.
Elle gémit. Elle est en feu. Il ne l'embrasse pas, la laisse s'exciter. Jamais son mari n'a joué avec elle comme çà. Elle se sent objet de plaisir mais elle aime çà.
Il se lève et l'abandonne pour se déshabiller lentement.
- Allonge toi sur la table en pierre.
- Que veux –tu me faire ?
- Te baiser.
- Oh Jean !(Cette vulgarité soudaine lui arrache un cri..de plaisir)
- A plat ventre.
Elle s'allonge la pierre est froide et son corps brûlant. Il l'effleure du bout des doigts. Elle frémit, se cambre, implore.
- Prends moi. Maintenant. Vite.
- On a le temps. Tu n'écartes pas assez les cuisses.
- (Impudique elle s'ouvre au maximum se cambrant) Baise moi.
- Oui ma petite salope.
Il s'est approché. Elle sent son gland contre sa vulve. Il l'oblige à bouger. Cet homme a pris sa fille hier. Elle aujourd'hui.Elle a envie. Un coup de rein puissant, il enfonce son sexe en elle. Elle crie, son sexe est énorme. Il bouge presque violemment. Son corps nu frotte sur la pierre rugueuse. Jamais elle n'a éprouvé un tel plaisir.
- Tu aimes çà on dirait.
- Oui.
- Comment tu trouves ma queue ?
- Tu es gros.
- Tu as un joli cul. On le voit bien dans cette position tu sais ?
- Voyeur. Hum !
- Il est visitable ?
- Non tu vas me faire mal.
Il ne l'écoute pas et commence à la caresser avec son pouce.
- Non Jean, pas çà. (elle gigote accentuant son excitation)
- Mais si tu vas aimer. Ce sera mieux qu'avec ton mari.
Il l'immobilise et malgré ses protestations la force doucement. Il s'enfonce en elle. Elle crie. D'un seul coup, il la soulève et la colle de dos contre lui, empalée. Il la transporte dans la maison. La présente devant un miroir.
- Carte postale de Gisèle en vacances. (Rire) On l'envoie à ton mari ? (Il caresse son clito)
Elle ne répond pas submergée par un orgasme violent. Son image, la sodomie, la phrase de Jean l'ont faite exploser.

Il l'emmène dans sa chambre. L'allonge sur un grand lit rond. Il la caresse doucement. Puis il s'allonge sur le dos.
- A toi de me faire jouir.
- (Docile, épuisée elle s'empale sur lui) Oui.
Ses seins ballottent, elle ondule.
- Tu es belle quand tu baises. J'aime voir une femme baiser.
- Vicieux.
- Un jour j'ai vu mon ex-femme se faire baiser.Hum !
- Et tu n'as pas été jaloux.
- J'aurais dû, mais j'ai le vin gai alors j'ai laissé faire.
- C'était qui le type ?
- Un copain , vieux célibataire.
- C'était où ?
- Chez nous.
- Il faisait quoi ?
- Comme moi tout à l'heure, il la serrait de près en dansant.
- Et tu ne disais rien.
- Non je parlais avec d'autres copains et je n'ai rien remarqué.
- Et alors, tu les as surpris comment ?
- J'ai fini par remarquer son absence à un moment. Une copine « bien intentionnée » et surtout jalouse de ma femme m'a dit qu'elle était descendue dans le garage pour chercher du champagne mais que ça faisait effectivement un petit moment. Je suis descendu, sans doute avec un pressentiment car je n'ai pas fait de bruit.
- Ok et ?
- Devine
- Ils étaient en pleine action. C'est ça ?
- Oui En plus sur le capot de ma voiture.
- Et qu'as tu fait ?
- J'ai hésité entre les interrompre et casser la gueule au mec et remettre ça à plus tard. J'ai choisi la deuxième solution pour ne pas faire un scandale devant nos amis. Je suis remonté et j'ai fait exprès de claquer une porte.
- Et alors ?
- Alors, ils n'ont pas trainé à remonter. Ma femme était très mal à l'aise. Le mec est parti rapidement. Une fois les invités partis, ma femme m'a demandé si c'était moi qui était descendu tout à l'heure. Je lui ai dit la vérité. Je n'ai pas eu le temps d'ajouter que ça m'avait excité. J'étais prêt à passer l'éponge, mais elle m'a traité de dégonflé , m'a insulté pour finir par me dire qu'elle couchait avec le type depuis 6 mois. Je l'ai chargée de force dans la voiture et je suis allé chez le type. J'ai réveillé sa femme et sans doute tout le quartier. Il a été minable, à tel point que je n'ai même pas eu envie de lui mettre une raclée. Il s'est fait injurier par les deux femmes, pour des raisons opposées bien sûr.
- Et ensuite ?
- C'était trop tard pour mon couple. Elle a voulu me demander pardon. Mais j'ai refusé. Je l'ai fichue dehors. Le divorce a été prononcé à ses tords. Je n'en ai plus jamais entendu parler. Depuis je vis heureux et célibataire, et je fais cocus les autres.
Il part d'un grand rire. Elle est toujours plantée sur lui . Son pieux n'a pas diminué de volume.
- Allez bouge ma belle !
- Oh tu es insatiable !
- Revenons à notre conversation du début, imaginons que tu sois descendue un soir dans ton garage avec un ami comme ma femme la fait et que ton mari descende et vous surprenne. Il aurait fait quoi ?
- J'essaie d'imaginer mais, je pense qu'il serait remonté sans rien dire et qu'il m'aurait fait la gueule sans me donner d'explication.
- Bon donc pas très excitant (rire).
- Non en effet.
- Ce qui aurait été excitant peut-être c'aurait été...
- Quoi ?
- Que ce soit un autre ami qui descende.
- Oh !
- Et qu'il ne dise rien lui mais vous mate.
- Oh c'est cochon çà.
- Tu aurais aimé ?
- (le mouvement de Gisèle trahit son excitation)
- Et qu'il t'observe en train de te faire toucher et même peut être plus !
- Arrête coquin tu m'excites ! Hum !
- Et qu'il s'approche et te touche aussi, quatre mains sur toi.
- Oh ! Hum !
- Et peut être même qu'il te prenne à son tour pendant que le premier copain mate à son tour aussi !
- Oh ! Tu es fou !
- Mais ça te plairait on dirait !
- Oh Jean...arrête...!
A cheval sur son nouvel amant, Gisèle est foudroyée par une nouvelle jouissance pendant que Jean se déverse en elle.

L'Extase en une seule langue Où les histoires vivent. Découvrez maintenant