Les vacances de Gisele suite 2

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Ils regagnent la maison. Ils entrent. Marc est très occupé au rez-de-chaussée. Il ne les remarque même pas. Dans l'escalier Steven en profite pour toucher les fesses de Gisèle qui lui fait signe de faire silence. Arrivés dans le grenier, elle ouvre une vieille malle. Steven se frotte contre elle. Elle sent ce sexe dur contre ses fesses. Le désir est trop fort. Elle se retourne. Baiser fougueux. Elle le veut à nouveau maintenant. Elle s'empare de son sexe le masturbe. Il gémit, lui demande de le sucer. Jamais elle n'aurait fait cela avec son mari mais là c'est bien elle, Gisèle , femme mariée sage et fidèle il y a 1 heure , qui s'agenouille et prend ce jeune homme en bouche.
Il est tellement excité qu'il éjacule en quelques minutes, le sperme se répand sur le sol. Elle lui sourit :
- Tu veux toujours voir les photos ?
- Oui bien sûr.
Elle sort une vieille boite à chaussures. Lui tend le paquet de 24 photos. Se voir découverte photographiée par un autre homme par son amant l'excite encore.
- Tu es toujours aussi jolie, et toujours aussi fournie (sourire).
- Voyeur.
- Ca ne déplait pas d'être vue on dirait ? Et si tu me refaisais la dernière scène ?
- Obsédé (rire)
- Je sens que tu en meurs d'envie, et là il n'y aura personne pour nous déranger après.
Il s'assoit dans un vieux fauteuil. Elle hésite un peu mais le désir est trop fort. Il est là les photos en main. Il attend, il veut la mater. Elle a envie qu'il la mate. Doucement sa main glisse sous son maillot. Elle le fixe en se touchant. Elle ondule, ses seins durcissent, elle s'appuie contre une vieille table, son maillot glisse à terre, elle est nue, cuisses écartées, impudique, allongée sur cette table. Elle se fouille, se pénètre devant lui, elle se cambre gémit, jouit dans un soupir.

- Que tu es belle à regarder !
- C'est fou, qu'est-ce qui m'arrive aujourd'hui ? Je n'aurai jamais cru pouvoir refaire une chose pareille.
- Simplement tes désirs secrets sont en train de se libérer comme sur cette photo (sourire)
- Quelle attitude (rire) une vraie chatte en chaleur !
- Et alors, tu ne l'étais pas ?
- (rire) Je dois avouer que l'instit avait fait ce qu'il fallait.
- Bon. Et tes autres « tentations » ?
- Tu es insatiable.
- Tant que les vannes de ta libido sont ouvertes je veux en profiter. Alors ? La seconde tentation ?
- Tu vas être content.
- Pourquoi ?
- Devine penses au photos.
- Non ?
- Si (rire)
- Avec qui ?
- Ma femme de ménage.
- Hum. Quand ?
- 10ans
- Elle était comment ?
- Une femme mûre, 45ans environ, très brune. Elle était d'origine espagnole.
- Ca s'est passé comment ?
- Un après-midi où nous étions seules, j'ai commencé à lui parler de mon mari en stage depuis 3 semaines. Je déprimais un peu, elle m'a écoutée. Elle m'a dit qu'il fallait sortir, m'amuser. Et puis elle m'a dit en riant qu'elle voulait m'habiller pour ma prochaine sortie.
- Stratégie inattendue.
- Oui je ne me doutais pas de la suite. Elle m'a demandée de lui montrer ma garde robe et mes sous vêtements.
- Et elle a choisi les plus sexy.
- Oui. Une petite robe noire, en satin, décolletée que je n'avais osé porter qu'une fois tellement elle me moulait et une culotte et un soutien gorge noir en dentelles et transparents.
- Et en avant pour l'essayage !
- Je me suis habillée et je suis allée la voir dans le salon. Son regard noir m'a frappée. Elle m'a dit que j'étais très sexy comme çà mais elle m'a aussi dit que mes dessous se voyaient et que çà ne faisait pas joli.
- Et elle t'a dit de les enlever.
- Oui je suis retournée à la chambre. Je suis revenue nue sous la robe et le satin c'est très excitant pour la peau, les seins en particulier. Elle m'a parlée d'une voix très douce chaude en tournant autour de moi, elle était en jean en tee-shirt sans soutien-gorge avec de gros seins lourds. Elle m'a dit en riant que si elle était un homme elle banderait en me voyant. Puis elle m'a dit que mes seins avaient l'air sensibles.
- Et elle a joint le geste à la parole.
- Tu devines tout. Elle m'a touchée à travers la robe en me regardant sans rien dire, me dominant, puis elle a fait glisser les bretelles, ma robe est tombée par terre j'étais nue devant elle. Elle a posé sa main sur ma toison toujours sans rien dire et elle m'a embrassée presque de force.
Hum, et puis ?
- Elle a sans doute eu peur d'aller plus loin. Elle s'est arrêtée net, bredouillant quelques excuses et s'est enfuie.
- Frustrant non ?
- Oui je suis restée plantée comme çà un moment et je me suis rhabillée.
- Tu l'as revue ?
- La semaine suivante, elle n'a pas donné signe de vie. Comme mon mari s'étonnait de son absence, j'ai eu peur qu'il ne la questionne, alors j'ai pris les devants.
- Tu l'as appelée ?
- Non, je suis allée chez elle. Elle vit seule avec sa sœur jumelle.
- Et alors ?
- Elle m'a bien accueillie. Une fois seule avec elle, je lui ai demandé pourquoi elle avait fait çà ?
- Réponse banale sûrement ?
- Presque. Elle m'a expliquée qu 'elle était lesbienne depuis son divorce et qu'elle n'avait pas su retenir une pulsion. Elle avait peur que j'ai tout raconté à mon mari . Je lui ai dit que je n'en avais pas l'intention et que çà resterait entre nous. On a convenu que je dirais qu'elle était malade pour 3 semaines et qu'elle reprendrait après. Elle était contente et m'a invitée à venir manger une paella un soir de la semaine où Gilles était à Paris.
- Tu as accepté ?
- Oui.
- Grave erreur non ?
- Oui. Je pensais que ce serait un repas sympa.
- Ce ne fut pas le cas ?
- Si mais..
- Mais il n'y a pas eu que le repas.
- Oui.
- Sa sœur était là.
- Oui. Donc je me croyais tranquille et je me suis détendue. J'ai accepté de prendre de l'alcool moi qui boit rarement.
- Ou bien elles t'ont faite boire un peu trop.
- Je crois bien.
- Et alors ?
- Elles étaient en gandouras, moi en robe. Pas très pratique car elles avaient décidé de dîner sur des coussins à même le sol. Elles m'ont proposée d 'en passer une vers le milieu du repas. J'avais déjà bien bu.
- Le coup de l'essayage une deuxième fois ;
- Oui. Je ne l'ai pas vu venir. C'est la sœur qui m'a fait choisir une gandoura noire très belle et m'a dit de la passer devant elles ajoutant que je n'avais plus rien à cacher à sa sœur et donc à elle.
- Tu aurais du te méfier.
- Oui et partir en courant (rire). Je me suis déshabillée. La sœur m'a dit que pour être bien il fallait que je sois nue dessous et sans attendre mon avis elle m'a ôtée le soutien gorge et la culotte. J'ai croisée les yeux fous de ma femme de ménage, les mêmes que l'autre fois. Elle a dit à sa sœur : »Regarde comme elle est belle » L'autre a acquiescé. Elle s'est approchée et m'a complimenté sur mes seins.
- Cette situation te plaisait ?
- M'étonnait plutôt. J'étais sans volonté ni dans un sens ni dans l'autre.
- Elles en ont profité.
- Oui. Carmen (la sœur) a caressé mes seins, Dolores s'est levée et est venue derrière moi touchant mes cheveux puis mes fesses.
- Hum. Chaud !
- Très.
- Et puis ?
- En silence, elles m'ont pelotée, l'une face à moi l'autre dans mon dos. Mon cœur battait à tout rompre, je sentais l'excitation me gagner. Leurs caresses étaient douces, juste des effleurements. J'ai fermé les yeux. Carmen a fait le tour de ma toison avec un doigt pendant que Dolores suivait le sillon de mes fesses. J'ai gémi, je me suis cambrée.
- Prête à tout accepter.
- Oui, c'est ce qu 'elles attendaient. Alors Dolores s'est rassise et Carmen m'a enfilé la gandoura. Elle s'est assise également me laissant debout pantelante.
- Très fort. Presque de la soumission.
- Presque. J'étais debout. Elles me regardaient, attendaient.
- Que tu parles pour mieux te dominer.
- Oui. Et c'est ce que j'ai fait. J'ai du dire un truc banal du style : »Je vais m'asseoir » Carmen a répondu : »Attends un peu » Elle me tutoyait sans réaction de ma part. Elle a ajouté : »Je voudrais voir encore tes cuisses. Relève la gandoura «
- Tu l'as fait ?
- Oui en tremblant de désir sans hésiter.
- Elles ont vu que tu étais à leur merci.
- Oui et elles en ont profité.
- Comment ?
- En me demandant de montrer ma toison, mes fesses, de me cambrer puis de me caresser après m'être remise nue. J'étais follement excitée uniquement par leurs voix et leurs regards.
- Tu as joui devant elles ?
- Non pas à cet instant. Elles m'ont arrêtée avant. Carmen m'a dit de venir m'asseoir entre elles.
- Nue ?
- Oui. J'y suis allée. Aussitôt Dolores m'a embrassée pendant que Carmen me caressait. J'ai joui très vite.
- Mieux qu'avec ton mari ?
- Oui, la situation, la façon dont elles m'y avaient amenée, tout çà a joué.
- Et ensuite ?
- Elles m'ont demandée de les déshabiller, de les toucher. J'allais de l'une à l'autre, j'étais leur esclave consentante. Carmen était très perverse.
- Pourquoi ?
- Elle me fouillait partout. Elle a sorti un sexe en plastique énorme et m'a pénétrée avec en me disant des mots vulgaires. Elle m'a mise à quatre pattes pour que je lèche le sexe de sa sœur en me disant que mon mari aimerait sûrement me voir baiser avec une femme, j'ai joui à nouveau.
- Eh bien ! Pour quelqu'un soit disant sage (sourire). Et çà a duré longtemps avec elles?
- Non. Cette fois-ci seulement. Je suis rentrée au petit matin étourdie de ce qui m'était arrivée. La semaine suivante, j'ai évité d'être à la maison quand Dolores est venue travailler. Ensuite mon mari m'a appris sa mutation professionnelle et le déménagement qui allait suivre. J'ai donc essayé de tenir le plus longtemps possible.
- Cà a marché ? Presque, mais une semaine avant le départ je n'ai pu faire autrement que d'être à la maison avec mon mari. Il fallait bien lui dire au revoir.
- Et alors?
- Je n'osais pas la regarder dans les yeux. Elle s'est arrangée pour éloigner mon mari. Elle m'a "coincée" dans la salle de bain et m'a caressée jusqu'à ce que j'ai un orgasme.
- Sympa comme au revoir.
- Très. J'avais peur d'être surprise par mon mari. Je crois que çà a accru mon plaisir.
- Il aurait sûrement apprécié.
- Oh, tu sais ce n'est pas le genre.
- Détrompes toi, il en rêve peut être et il est trop timide pour t'en parler. Les hommes en rêvent tous.
- Tu en rêves toi.
- Bien sûr, j'aimerais bien voir Sophie. avec une autre femme, même avec un autre homme. Je ne suis pas jaloux (rire).
- Jeune et déjà obsédé (rire).
- Tu ne voudrais pas essayer?
- Devant toi?
- Oui.
- Franchement non. Ou alors si la situation m'y amenait, je n'aime pas les mises en scène.
- Alors ..on verra.
- Ne rêve pas tout de même.
- Et pour Sophie.?
- Pour Sophie?
- Oui on ne pourrait pas la ...mettre en scène?
- Tu es vraiment un monstre ! Hors de question. C'est ma fille tout de même.
- Mais si c'est pour...son plaisir?
- Et si elle te quitte pour l'heureux élu?
- Je suis joueur et j'accepterai la défaite. Je prends le risque.
- Bon. Ok . Tant pis pour toi. Alors tu proposes quoi?
- Elle semblait bien s'entendre avec un type le soir de la fête.
- Tu veux dire Jean le propriétaire de la villa en dessous?
- Oui.
- Mais il a 50 ans!
- Justement! Il doit être expérimenté. Il sera un très bon partenaire pour elle.
- Invitons le et prétextons une balade en mer le lendemain. Elle n'aime pas çà. Peut être lui proposera –t'il une visite chez lui? J'ai remarqué qu'on voyait presque tout dans sa maison. Il y a de grandes baies vitrées et il ne tire jamais les rideaux.
- (Rire) Je te fais remarquer que c'est toi qui vient de proposer un plan. Tu te prends au jeu on dirait.
- Tu es un monstre ! C'est toi qui me fait monter le piège autour de ma propre fille.
- C'est un piège agréable non?
- Brigand!
Et le scénario se déroule comme prévu. Jean se montrant charmant avec Sophie tout au long de la soirée et lorsqu'on évoque la journée bateau et que Sophie refuse d'y aller, il s'empresse de l'inviter pour le lendemain.
Marc est envoyé en club d'ados ce jour là. Ils reviennent à la villa juste après le départ de Sophie et juste à temps pour assister à sa journée chez Jean. Cachés derrière la haie Gisèle observe sa fille en compagnie de Steven.
- Il a mis les petits plats dans les grands.
- C'est un investissement
- Steven tu es affreux !C'est tout ce que ça te fait de voir ta copine avec ce vieux.
- Non (il se colle contre elle) ça me fait bander aussi.
Salaud.
Jean et Sophie prennent l'apéritif en maillot de bain.
- Il lui a servi un punch.
-
- Elle adore çà, il le sait. Au 2ème elle va être à moitié saoule.
Au 3ème Sophie rit, dit qu'elle a trop chaud. Jean lui dit d'ôter son maillot que personne ne la verra. Elle se lève en riant titubante. Jean la rattrape l'empêchant de tomber. Il la garde dans ses bras, lui vole un baiser. Sophie lui sourit. Il l'embrasse à nouveau plus longuement. Ses mains la parcourent. Elle se laisse faire. Il dégrafe le soutien-gorge, la contourne se colle à elle empaumant ses seins.
- Il n'a pas perdu de temps.
- Nous les hommes, on n'est pas très poétique (Steven caresse les seins de Gisèle, il se recule et fait glisser sa robe)
- Steven tu es fou pas ici, pas en plein air. Après.
- Non en même temps. Ose me dire que tu n'en as pas envie ?
Elle se cambre en guise de réponse
Jean se baisse, fait glisser la culotte de Sophie. Il glisse sa main entre ses cuisses. Elle se cambre ondulant sur cette main. Jean laisse sa main immobile. Sophie bouge se frotte, impudique, très excitée.
Steven imite Jean à distance. Nue, Gisèle a l'impression d'être caressée par Jean. Elle voit sa fille se baisser et ôter le maillot de son amant puis entreprendre une fellation. Elle se prend au jeu et entreprend à son tour Steven. Steven est moins résistant que Jean ou plus excité car il éjacule très, trop vite laissant Gisèle un peu frustrée. Sur la terrasse de la villa, Jean joue à exciter Sophie. Il l'a étendue sur la table. Elle se laisse toucher impudique offerte à tous les caprices de son amant. Gisèle voit sa fille se faire pénétrer puis observer ouverte jusqu'à ce qu'elle implore une nouvelle pénétration. Elle la voit se cambrer. Derrière elle Steven a retrouvé toute sa vigueur et elle se laisse avec plaisir pénétrer à son tour. Le spectacle se termine à la villa : Jean emporte Sophie nue vers sa chambre pour « prolonger leurs ébats ».
Dehors, en levrette Gisèle jouit nue également sous les coups de bélier de son jeune amant.
- On dirait que tu as apprécié.
- (Soupir) Je n'aurai pas cru qu'un tel spectacle me plairait à ce point.

L'Extase en une seule langue Où les histoires vivent. Découvrez maintenant