Tous les matins, je prends mon train de banlieue pour Paris vers 7h25 comme des millions d'autres franciliens. Je croise souvent les mêmes visages à moitié endormis ou plein de lassitude. Quelquefois, des nouveaux visages apparaissent mais disparaissent aussi après plusieurs mois.
Je me présente : j'ai trente-deux ans, pas trop mal physiquement et j'aime regarder les femmes. D'ailleurs, depuis quelques temps, l'une d'entre elle a particulièrement attiré mon attention. Elle est brune, semble plutôt jeune ( entre vingt cinq et trente ans ) et porte des tenues plutôt jeunes et sexy I sans être ouvertement provocantes du genre mini jupe ou petit top avec nombril visible. Mais quelquefois des tenues plus sages. Bref, elle attire l'śil. Pour finir, elle mesure environ 1 mètre 65 et sa silhouette est fine et élancée. Depuis quelques jours, les températures se sont élevées et elle a ressorti une petite jupe courte s'arrêtant à mi-cuisse. Elle porte un petit pull moulant qui laisse supposer qu'elle n'a rien dessous. Elle est installée en face de moi dans le wagon. Par contre, elle est accompagnée d'un homme d'une trentaine d'années environ, visiblement son copain ou son mari. Aie aie aie !Je lis tranquillement mon magazine mais ne peut m'empêcher de regarder par en dessous pour regarder ses jambes. Elle porte des chaussures fines sans talons. Des petites chaussettes presque enfantines chaussent ses pieds. Son mollet est galbé et présente une courbe agréable. Le grain de sa peau semble doux et soyeux. Son genou est bien formé et le début de sa cuisse semble fait pour une main d'homme. Bref, j'ai envie de toucher
sa peau mais ne peux. Elle a les jambes croisées et discute avec son compagnon de manière animée. A priori, elle ne semble pas d'accord avec lui. Dans la discussion, elle s'énerve un peu et dans le feu de l'action, décroise les jambes. Ce mouvement a aussi pour incidence de légèrement remonter sa jupe. Une bonne moitié de sa cuisse apparaît à mon regard. Sa peau semble si douce. Je ne lis maintenant plus du tout mon magazine, étant obnubilé par ses jambes. A ce moment, elle soupire après une énième réflexion de son compagnon et se retourne face à elle. Elle me remarque alors immédiatement et remarque surtout mon petit manège. Son réflexe est aussitôt de recroiser ses jambes et de redescendre légèrement sa jupe. Après cela, elle me regarde alors pendant que j'essaie de faire semblant de lire. Je la vois rougir légèrement. Et me regarder. Son regard est à la fois curieux et interrogatif. Son compagnon ne s'est aperçu de rien perdu dans sa discussion. Après quelques minutes, je les vois se lever pour sortir du train. Lui passe le premier suivi par elle. Au moment de sortir du train, je surprends un coup d'śil furtif jeté par-dessus son épaule dans ma direction. Le surlendemain, je la vois de nouveau. Elle est seule cette fois et ce matin, elle est donc montée dans le même wagon que moi. Je viens tout juste de la remarquer alors qu'elle n'est qu'à quelques mètres de moi, qu'elle s'avance dans ma direction et s'assoit en face de moi. Sa tenue est plus printanière. Des sandalettes pieds nus soulignent la finesse de ses pieds et permettent de mettre en valeur ses chevilles. Les lacets de cuir de ses sandalettes montent le long de son mollet en en accentuant le galbe. Une jupette plissée bleue ciel arrivant à mi-cuisse souligne ses cuisses. Un petit pull blanc avec un petit décolleté achève le tableau. Ses longs cheveux châtains encadrent un visage qui a gardé une part d'adolescence. Sa bouche surtout, fine et pourtant appétissante. Bref elle est assise en face de moi les jambes serrées et le regard un peu perdu dans le vide. Elle semble fatiguée, sans doute pas vraiment réveillée. Après plusieurs stations, ses yeux se ferment. Sans doute sous les effets conjugués de la fatigue et du bercement du train qui roule. Sa tête s'appuie sur la paroi du wagon. Sa bouche est légèrement entrouverte et laisse s'échapper un souffle régulier. Nous sommes seuls sur nos quatre sièges. Les deux sièges qui nous sont contigus sont vides. Elle a d'ailleurs posé son sac sur le siège qui la jouxte . Elle semble donc partie dans un petit somme quand un cahot du train fait faire une embardée au wagon mais sans la réveiller. Toutefois, ses jambes se sont légèrement écartées de quelques centimètres. Un nouveau cahot les fait s'entrouvrir un peu plus.Je n'arrive plus à me concentrer sur mon journal et j'ai une idée un peu folle. Tout d'abord m'assurer qu'aucun de nos compagnons de voyage ne fait attention à moi. Un bref coup d'śil me le confirme. Puis m'assurer du sommeil de ma belle endormie. Là aussi, tout semble normal. Je prends donc mon portable et dfais semblant de chercher un numéro puis avec un geste voulu de désintérêt le pose sur mes cuisses. Puis en ayant vérifié qu'il est bien sur le mode photo, je prends subrepticement deux ou trois photos des cuisses de ma compagne de voyage. Je n'ai qu'une crainte: qu'elle ne se réveille et n'ameute le wagon. Rien ne se produit et je me mets aussitôt à visionner mes trois photos. La première est mal cadrée et montre plutôt son genou. La lumière de la seconde est trop sombre et ne montre que des ombres. La troisième est la bonne : elle montre le creux de ses cuisses qui remonte jusqu'à sa culotte. Elle porte une culotte bleu ciel bordée de dentelles. Quelques petits poils hirsutes se sont échappés de leur carcan de tissu et sont bien visibles. Cette vision me provoque immédiatement une érection. Un nouveau cahot provoque un affaissement de ma dormeuse. Ses fesses glissent de quelques centimètres vers l'avant du siège. Ses jambes se rapprochent alors de moi; chaque genou passant de chaque coté de mon genou gauche. Sa jupe, dans cette opération, s'est légèrement relevée et je peux maintenant distinguer le haut de ses cuisses sans toutefois distinguer sa culotte. Mais j'en ai la photo. Dans cette position, elle ne peut plus resserrer les cuisses car mon genou gène l'opération. Encore un cahot qui la fait alors resserrer les cuisses, emprisonnant mon genou et le bas de ma cuisse. Se peut il qu'elle dorme encore? Je sens la chaleur de sa peau au travers de mon pantalon. Ses deux genoux emprisonnent ma jambe. Un nouveau cahot (qu'ils soient les bienvenus!) lui fait de nouveau écarter légèrement ses cuisses mais ce mouvement a aussi provoqué l'appui de son genou contre la paroi. Bizarrement, son pied s'est redressé. Et sa cuisse est maintenant légèrement inclinée du haut (vers moi) vers le bas (son bassin.) Cette position me permet alors de voir ce que mon portable m'a donné l'occasion de voir. Sa culotte bleue est visible.
Enchâssée entre deux magnifiques cuisses dont la peau semble du velours. Un passage d'aiguillage nous entrechoque et la fait de nouveau « s'affaisser » et son bassin s'avance vers moi. Je me demande si elle dort toujours ou me provoque. Sa culotte est maintenant bien visible. Elle est alanguie sur son siège et semble toujours dormir. Je ne peux plus détacher mes yeux de ce bout de tissu qui attire mon regard d'une façon hypnotique. Je suis à présent en érection et mon pantalon (un jean serré pourtant ) la cache mal. J'en ai presque mal.
Que peut il maintenant se passer? Soit je fais comme si je n'ai rien remarqué et je continue mon chemin en descendant du train bientôt. Soit je tente quelque chose. Mais quoi ? Mon cerveau fonctionne à cent à l'heure sans s'empêcher d'être obnubilé par cette culotte bleue. Plus que deux arrêts avant le sien. Je me rappelle où elle est descendue deux jours plus tôt.Je décide alors de m'assoupir aussi. De faire semblant je vous rassure. Je ferme les yeux. Je m'affaisse un peu. Ses cuisses sont maintenant en contact de chaque coté de ma cuisse gauche. Je la sens frémir par mon mouvement mais ne pas le fuir. Puis ayant négligemment posé ma main sur ma cuisse, un cahot (encore un ) la fait glisser ( comme par hasard - un hasard bien calculé ) au contact de son genou et de la naissance de sa cuisse. Un nouveau frémissement de sa part m'indique qu'elle l'a bien ressenti. J'entends sa respiration qui s'accélère.
Nous sommes là. Tous les deux. Elle serrant ma cuisse gauche entre ses cuisses et ma main sur son genou nu. Je peux alors ressentir la chaleur et le grain de sa peau. Une peau chaude et d'une extrême douceur. La peau d'une femme qui doit aimer la caresse. J'imagine alors ma main remontant le long de sa cuisse. Atteindre cette zone si fertile en sensations et si sensible située dans l'intérieur de sa cuisse, si peu loin de son intimité.
J'entrouvre mes yeux tout doucement pour contempler le tableau. Mmmmmhhhhhh !!! Charmant. Nous ne faisons visiblement plus attention à nos voisins et eux ne semblent pas remarquer notre manège. Je vois alors quelque chose qui augmente considérablement mon excitation et par là même mon érection. Un rapide coup d'śil sur sa culotte me permet de voir qu'une tache bleu foncé va en s'élargissant. Visiblement elle est aussi excitée que moi. Est ce simplement nos contacts ou a-t-elle profité du fait que j'ai fermé les yeux pour les ouvrir et découvrir mon érection ? Je m'interroge. En tout cas, soit elle rêve d'un rêve érotique, soit c'est moi qui l'excite. Tout à coup alors que j'ai refermé les yeux, je la sens bouger, se détacher de mon contact et se lever. Interloqué, j'entrouvre les yeux pour ne voir que son dos qui s'éloigne dans le couloir. Elle est arrivée à son arrêt et se dirige vers la sortie du wagon. J'admire l'ondulation de sa croupe et sa petite jupe qui s'agite en gardant gravé dans mon esprit l'image de sa culotte humide. Vivement que je la retrouve. Je risque de ne pas trop être concentré sur mon boulot aujourd'hui.
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L'Extase en une seule langue
RomansaUne histoire érotiquement merveilleuse, des sensations extrêmes. Que tu sexe, encore du sexe, plus de sexe jusqu'à l'extase