#CHEF | 18 - Redescends vers mon mât, les couleurs sont déjà levées

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Redescends vers mon mât, les couleurs sont déjà levées

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De jeter l'ancre dans cette crique pour pouvoir se retrouver tous les deux dans cette grotte était mon idée, car en semaine elle se trouve déserte. Connor les yeux fermés me laisse l'entraîner vers cette semi-obscurité sans émettre le moindre refus. La confiance entre nous est établie depuis un moment, mais il est toujours bon de la renouveler et de la tester. Le vent marin s'est levé et s'engouffre par les deux entrées.

— Oh putain, ça caille !

— Ne t'inquiète pas, je vais vite te réchauffer, mon Apollon.

— Tu m'as déjà bien allumé, Amour. Pour le reste, j'attends de voir !

Je sais qu'il me titille pour me pousser à donner le meilleur de moi-même comme il le pratique à chaque fois qu'il s'agit de nous accorder du plaisir. Connor est un homme entier. Avec ses qualités et ses défauts. Mais c'est ainsi que je l'aime. Et ça, un peu plus chaque jour.

— Reste debout et laisse-moi gérer. Je lui susurre à l'oreille.

Connor frissonne au contact de mes lèvres sur son lobe puis je migre vers sa mâchoire, que je mordille avant de remonter sur sa joue hérissée de poils drus et courts afin d'embrasser ses paupières fermées. Il est tellement beau avec son torse nu, sur lequel mes yeux dérivent pour retracer chacun de ses abdominaux, qui me semblent toujours plus prononcés que la veille. Mon index se place au niveau de son sternum et serpente entre ses vallons.

— Tu comptes me laisser là, debout, comme un clampin ?

— Mes caresses ne te plaisent pas ?

— Tu sais que je les adore... Il prononce avec suavité tout en ouvrant les yeux.

— Mais ?

— ... Pas ici, on n'a pas le temps pour ça !

— Alors on va le prendre, Soldat. Cette journée est la nôtre et je veux profiter de chaque seconde.

Ma bouche remplace mon doigt pour insérer ma langue dans son nombril. C'est une zone érogène que Connor m'a permis de découvrir.

— Je n'aurais jamais dû te montrer cet endroit, souffle mon homme en exagérant son ressenti.

Ma pointe humide lèche sa peau chaude au goût salé sous les grognements de mon mari qui n'en finit pas de râler. J'aurais bien un moyen de le rendre muet, mais j'ai une autre idée. Voyant que je ne pars pas dans la bonne direction, il m'informe avec sérieux.

Il n'y a pas que la dinde qui sera fourrée à NoëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant