#SOLDAT | 47 - CONNOR

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Illusions !

∞ ∞∞ ∞

Je ne pensais pas que mon plan allait marcher aussi bien et si vite. Il faut croire que James tient plus à moi que je ne l'imaginais. Sinon il n'en aurait rien à foutre que j'aille voir ailleurs. À part que ça titille juste son ego ?

Je le suis au travers de sa maison entièrement à poil avec la queue gainée par une capote et tenant un flacon de lubrifiant dans la main.

Il paraît que le ridicule ne tue pas.

Bien heureusement, sinon je serais déjà six pieds sous terre en train de bouffer des pissenlits par la racine. Je repousse cette image morbide - même pour moi - vu le contexte, quand je me retrouve plaqué contre la porte de sa chambre. James m'embrasse comme un forcené affamé. Je reconnais cette urgence. Cette panique qui monte en lui.

Ce n'est pas pour rien que je lui ai proposé de venir ici. Ça lui a laissé le temps de réfléchir à ce qui va ou pas se passer. La balle est dans son camp.

— Tu peux encore renoncer, je souffle sur nos lèvres meurtries par son dernier baiser.

— Je veux connaître ce nouveau plaisir.

— Alors, place-toi à quatre pattes sur le lit.

Ma demande est volontairement dégradante pour un mec comme James, mais je dois tester son envie de me laisser le prendre.

— Tu n'as rien d'autre comme position ?

Qu'est-ce que je disais !

— Tu préférerais que je te baise à plat ventre ? Couché en chien de fusil ?

La provocation, ainsi que lui parler crûment, forme un combo qui marche bien avec ce beau brun qui n'arrive pas à lâcher les rênes.

— Tu n'as rien de moins... Ou de plus...

Je croise mes bras sur mon torse pour lui montrer mon ras-le-bol face à son manque de bonne volonté. Le message semble passé. James s'allonge dans le lit et me tend la main pour que je le rejoigne. Une fois étendu face à lui, il me confie.

— J'ai besoin d'un minimum de complicité entre nous, de désir qui me brûle les reins, qui me vrille les testicules. Là, on dirait que tu dois exécuter une sale besogne.

— La faute à qui ?

C'est sorti sans contrôle.

Merde ! J'en ai marre de le préserver, de penser tout le temps à ce qu'il va ressentir. J'en perds mon naturel, ma fougue, mon désir pour lui. Je me place sur le dos pour regarder le plafond blanc.

Il n'y a pas que la dinde qui sera fourrée à NoëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant