8. Double surprise.

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A la fin du cour d'économie je sens un malaise entre Danny et moi. Je sais que depuis quelques jours il brûle d'envie de me parler quelque chose mais qu'il n'ose pas.
- Bon Danny qu'est ce que tu as ? Je demande en me tournant vers lui, marchant alors en biais.
- Mmh ? Fait il, arraché à ses pensées.
- Qu'est ce que tu veux me dire qui te préoccupe autant ?
Il marche encore un peu, alors que je me suis arrêté quelques mètres.
- Tu as un copain ?
Il continue de marcher.
- Une copine ?
A cette question il s'arrête. Alors c'est donc le fait qu'il est une copine qui le met dans cette etat ? C'est plutôt une bonne chose qu'il soit en couple je ne vois pas où est le problème.

J'arrive à son niveau et me poste devant lui. Il a le regard pensif. Va t-il encore fuite la conversation ou va t-il enfin me parler?
- Danny quel est le problème ?
- Elle n'est pas au courant de mon orientation sexuel...
- Je ne pense pas que cela doit devenir un obstacle insurmontable pour toi.
- Sa famille et très très très catholique, finit il par lâcher en se vidant de tout son air. Et je l'aime, je suis vraiment amoureux d'elle Tina.
D'habitude je ne trouve jamais les mots pour vraiment réconforter une personne et même si la je me dois d'en trouver pour Danny parce que c'est mon ami. Je n'y arrive pas je ne veux pas dire une bêtise qui pourrait influencer ces choix dans le mauvais sens. Je leur d'envie de lui dire "Dit lui ! Tu ne vas pas cacher ta vrai nature parce qu'elle et ses parents sont très catholique", mais dans ce cas là il pourrais la perdre catégoriquement. Et si je lui dit "Ne lui dit rien", je sais qu'au bout d'un moment il se sentira comme si il lui Lens constamment en lui cachant la vérité. Et dans la dernière possibilité que je pourrais lui dire c'est d'évoquer toute les possibilités et s'embrouiller encore plus qu'il ne l'est. Alors ouais, je pense que ce taire est la meilleur solution.

Je pose une main sur son épaule et essaye de le réconforter avec un sourire chaleureux. Je doute que cela marche mais c'est déjà ça. Les cours de ce matin se passe plus ou moins bien. Pauvre Danny, tout cette histoire l'a empêcher de se concentrer sur suoinsue ce soit. Il est vraiment face à ce que l'on pourrais qualifier de  serieux dilemme. Il ne peux juste pas le mettre de côté ou le laisser traîner éternellement. 

On trouve une place à la cafétéria et l'on entamme notre repas  silencieusement, je sens qu'il est encore en pleine réflexion. Je suis sur le point de lui dire de manger un peu mais  Isaac sue je n'avais pas vu venir s'assoit à côté de Danny.
- Danny mon pote, t'es toujours entrain de pleurer ?
- Arrête ça Isaac, répond Danny.
-  Tu sais que tu peux avoir toutes les filles qui te plaisent ! Pourquoi tu t'obstine avec celle ci.
- Tu peux pas comprendre, je pense que tu ne sais pas ce qu'aimer signifie, finis je par sortir agacé par son comportement.
Il me dévisage légèrement, je m'attend à ce qu'il le sorte une vacherie, pour mon comportement de l'autre jour, mais tout ce qu'il fait c'est m'adresser sourire mesquin. C'est mauvais signe.
- Quand tu sais pas de quoi tu parle, vaux mieux que tu la ferme Tina.
- C'est exclusivement valable pour toi. crétin.
- Vous allez pas commencer tout les deux, intervient Danny.
Une mouche passe, puis Isaac finit par reprendre la parole.
- C'est pas parce qu'on est en froid Tina que tu dois arrêté de venir me donner des cours du soir.
Pourquoi si soudainelent remet -il c ça le tapis ? Isaac est vraiment maître en art de jongler d'un centre de conversation à une autres.
- J'en ai plus envie, lui répondis je en penchant ma tête sur le côté comme pour le narguer, les sourcils déjà arquer.
- T'as plus besoin d'argent ? Demande t-il presque amusé par ma réponse.
Je ne lui répond pas, alors il continue.
- Ce soir mon père organise un dîner de famille et il veux que j'y amène ma copine.
- Ton père ne sais t-il pas que tu couche de gauche à droite ? Que tu ne sais pas ce qu'est d'avoir une petite amie ?
-  Je te donnerais mille dollars si tu m'accompagne et que tu prétend être ce que tu n'est pas, précise t-il.
- Quoi ? M'écriai-je. Hors de question.
- Deux mille dollars.
- Marché conclu, dis je sans hésité.
Je ne peux oas passer a coter de cette occasion, mettre de coter ma fkerte et me rabaisser au niveau de Isaac ou qui que se soit d'autre pour un peu d'argent ne me derange pas. Tout ce que je fais est pour Luke et lui seule compte, je vie pour lui. A ce rythme là j'aurais sans doute assez d'argent pour payer son école et je n'aurai plus a supporter Isaac. Tout ça, tout ce que j'accepte de faire, je le fais pour mon petit frère et rien que pour lui.

Je me prépare dans ma chambre lorsque Luke ouvre la porte furieusement.
- Où tu vas ?
- Je sors manger avec...
Je m'arrête quelques secondes. Qualifier Isaac d'amis ? Hors de question. J'aurai pus avant qu'il ne fasse la stupide erreur de donner mon numéro à Ethan pour que celui-ci débarque chez moi.
- Avec une connaissance, repris je.
- Tu as un copain ? Demande t-il encore furieux.
- Non ! Pourquoi à tu l'air aussi énervé ?
Il soupire et s'assoit sur mon lit. Voyant tres bien que quelque chose le tourmente, je m'assoit à ses côtés et pose une main derrière son dos.
- Tu sais que tu peux tout me dire Luke.
- Depuis deux semaines tu n'arrête pas de me laisser. Depuis ce concours, tu n'est plus la même. Tu sors tout les soirs et tu ne viens pratiquement plus me chercher après mes entraînements. Le matin quand e pars tu est couchée et le soir quand je rentre tu n'est pas là. Et même les jours où tu l'est, tu me fais un plat réchauffer on a a peine le temps de parler que tu est déjà partit. Je...
Ça voix tremble légèrement.
- Je me sent seule Tina, tu es ma seule famille, termine t-il.

A ces mots je fit glisser ma main sur son épaule et le serre fort contre moi. J'avais envie de lui expliquer, de tout lui raconter. Mais je savais que si je faisait cela, il s'en voudrait de m'avoir laisser faire tout ça pour lui et il en serai ronger par les remords. C'est toujours comme ça qu'il réagit. Il a raison, depuis que j'ai passer ce marché avec Isaac, on ne se parle presque plus et notre complicité s'envole peu à peu car je ne suis que rarement à la maison sauf pour dormir. Je ne suis pas capable de lui faire plaisir  financierement et maintenant je le déçoit sur le point affectueux. Je m'en veux, je m'en veux tellement d'être une aussi mauvaise soeur.

Il se redresse et ses yeux humide en disent long. Quand ils s'agit de nous, Luke n'est plus ce garçon viril qui attire toutes les filles. Non. C'est juste cette enfant de 17 ans qui à vitalement besoin d'avoir sa soeur à ses côtés.
- Tu veux venir avoir moi ? Me surpris je à demander.
Il aquiese sans un battement de cils.
- Va te préparer, habille toi normalement.

Après une bonne heure nous arrivons à l'entrée côté parking de mon université.
- Qui on attend ?
- Lui, fais je en désignant une silhouette au loin avançant vers nous.
- Isaac ? Demande Luke si étonné que je crus un moment qu'il fut monter dans les aigus.
- Oui, aller viens.
Nous allons à la rencontre du concerné et il nous accompagne jusqu'à sa voiture. Luke et lui discutent athletisme tout le trajet qui à mo' goût dura trop longtemps. Une fois arrivés devant une sublime et immense deumeure très moderne mais avec un style très victorien, nous nous arrêtons devant la porte.
- Alors toi t'oublie pas ! Me lance Isaac. Tu es ma petite amie. Et toi Isaac contente toi de rester toi même, c 'est à dire son petit frère. Tu me laisse parler lorsqu'il faut expliquer suoi sue se soit. Finit il par dire en se retournant vers moi.
Lorsque nous entrons alors, je me demande qu'est ce qui a bien pus me passer par la tête pour embarquer Luke dans tout ça. 
- Ça va aller ? Lui demandais je .
Il asuiesce et me sourit en secouant la tête.
- Pourquoi tout ce cinéma.
Je hausse les épaule, hormis le faite sue ce soit pour l'argent. Moi même je ne savais pas pourquoi c'était si important qu' Isaac avait besoin de présenter sa "copine" à son père ce soir.
Je suis prise de souffle court quand mes pieds se posèrent au salon. Il était là assit où plutôt enfoncer dans le fauteuil en cuire beige. Ethan.

[La suite s'annonce catastrophique]

Mon ciel apres les cours : Kill me, heal me.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant