Ce qui nous lie (TERMINER)

Chapitre 13

J'étais toujours à genoux quand mes larmes finirent par s'arrêter. Une main s'arrêta devant mon visage.

Zelev : Aller relève toi frangin. Je refermais ma main sur la sienne et je me propulsais vers le haut me mettant debout. Il me prit dans une accolade me tapant aussi fort que possible dans le dos ce con.

Moi : Les tapes dans le dos je m'en passerais la prochaine fois merci.

Un sourire illuminait son visage qui m'avait tant manqué. Il était de retour mon frère. Son expression s'assombris soudain alors que sa main chercha celle de sa petite amie.

Zelev : Je suis devenu alcoolique... Après l'accident je me suis noyer dans la drogue. Et je suis parti en France pour oublier tout ce qui c'était passé ici. Je prenais des nouvelles de loin mais sans plus. Et je payais une partie des frais de notre père en leur faisant promettre de ne pas te le dire... Je n'étais plus moi même... J'ai sombrer dans l'alcool et les femmes jusqu'au moment ou j'ai eu un nouvel accident de voiture... Et j'ai rencontrer Mavis, elle était chef de police, et quand je suis arriver au poste elle m'a écouter me plaindre que ma vie était fichue, que j'avais tout foutue en l'air... Et quand j'ai terminer mon interminable discours elle m'a giflé.

Toutes la salle éclata de rire. Et la petite amie de mon frère rougit fortement ce qui m'indiqua que ce devait être elle Mavis.

Moi : et ensuite ?

Zelev : ça a eu le mérite de me remettre les idées en place même si ce n'était pas très gracieux... Mavis baissa la tête les joues toujours plus rouge.

Mavis : oui bah ça a eu le mérite de te bouger le cul ! Sa voix sur aigüe et sur le point de pleurer sembla attendrir mon frère qui l'embrassa rapidement.

Zelev : Ensuite j'ai commencer une thérapie pour calmer le traumatisme et apprendre à vivre sans alcool. Puis j'ai commencer à sortir avec Mavis... On s'est fiancé le jour de notre retour au Japon... Je l'ai demander en mariage dans le parc ou on allait se balader avec notre père... Et avec quelques recherche j'ai appris que tu vivais chez Yukino et j'ai débarquer le lendemain c'est à dire aujourd'hui...

J'avais longuement écouter son discours faisant attention à ne pas l'interrompre.

Moi : Tu n'as plus besoin d'alcool ?

Zelev : Non je ne suis plus dépendant.

Moi : Et tu veux m'aider ?

Zelev : Lucy est la fille du meilleur ami de notre père Natsu...

Mon sang se glaça. C'était pour ça qu'il avait dit le nom de mon père quand j'avais "sauvé" Lucy ! C'était pour ça qu'il me semblait le connaître d'une manière ou d'une autre ! 

Moi : Ce fumier ! Comment notre père a t-il pu être ami avec une ordure pareille !?

Zelev : je ne sais pas... Mais enfant je me souviens être aller avec mon père dans l'établissement ou Jude gardait sa fille. Elle ne savait pas s'amuser à trois ans elle passait son temps sur une balançoire grinçante à répéter en boucle des formules mathématique de niveau universitaire.

J'avais les larmes aux yeux. Mes poings étaient tellement serrer que mes phalanges étaient blanche. Mes ongles rentraient dans ma paume et du sang gouttait sur le sol.

Moi : On doit la sortir de là !

Mavis : Oui ! Je me charge de l'administration pour entrer dans l'école. Je vais aussi m'occuper d'y envoyer quelques inspecteurs, étant originaire d'ici avant de partir en France je devrais pouvoir m'occuper de ça. Levy occupe toi des recherches avec Zelev, il le connait bien et te sera d'un grand secours ! si dans un mois on ne l'a pas sorti de là je tente une perquisition de l'établissement avec mes patrouilles !

Je me sentais soutenu et aidé. J'avais vraiment des amis en or. Et un frère qui bien ayant fait des erreurs faisait tout pour se rattraper. Je ne serais plus jamais seul et Lucy non plus !

...

Pdv Lucy

 Son regard... Je m'en souviens encore. Il avait les dents serrer et les yeux sombre. Il était en une colère noir, je le savais. Et je m'étais laissé faire... Aurais je du me débattre et aller ensuite chercher ma mère ? Je ne sais plus...

ça fait des jours et des jours que je n'ai pas vu la lumière du soleil. Les lampes au plafond restent allumer du matin au soir et du soir au matin. Je n'ai pas revu ma mère une seule fois depuis que je suis arriver. Comme avant le même message passe en boucle "travail-mange-dors". Je ne suis pas autorisé à faire autre chose que cela. La maigreur de mes bras prouve que je ne mange pas assez. Déjà petite j'étais d'une finesse à toute épreuve faisant même blêmir les rares "chanceux" qui me voyait circuler dans les couloirs ou assister aux cours universitaires. Mon père faisait peur et moi j'étais le fantôme de l'école. Ma peau blanchâtre n'avait jamais vu la couleur du ciel. Je prenais des comprimés de vitamines à la place. Quand je pouvais "jouer" j'allais sur une balançoire fixer à un plafond blanc au dessus de la cour. Le système de cet école n'était pas le bien être mais le travail. Qu'importe l'heure du jour ou de la nuit je ne passais pas une seconde sans travailler. Quand j'étais autorisé à dormir je portais un casque neurologique qui permettait à mon père d'accéder à ma mémoire longue durée. Il y implantait des informations que peu de personne connaissait. Ainsi souvent quand il oubliait quelque chose il me posait la question et je répondais automatiquement tel un robot. 

J'ai peur, j'ai peur que cela recommence. Si je reste dans cet endroit plus de trois mois ce sera mort. Il faut absolument que je trouve le moyens de partir. Et la seule manière de le faire c'est de lui obéir et négocier une sortie. Les lieus on du changer, me balader me donnera un point de repère. Ensuite j'essayerais de pouvoir sortir de plus en plus. Et dès que j'aurais gagner sa confiance je ferais le repérage des lieus. Je dois découvrir ou il gardent ma mère, dans quel état elle est, et si elle est apte à s'évader je dois repérer la sortie la plus sûre et la plus proche. 

Le plan commence MAINTENANT !

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Si vous mettez pas un commentaire aujourd'hui j'arrête de poster ça me fruste trop !

Non je déconne mais vraiment mettez un commentaire même si c'est pour dire que c'est de la merde que c'est trop parti en couille je vous en voudrais pas ! juste dites moi ce que vous en pensez ou je vais devenir dépressive à force d'espérer !    

Aller ciao !

C'était Elphia votre autrice !