Au bout de longue heures de travail j'arrivais enfin à négocier une sortie. Mais je n'avais pas prévu qu'ils me mettent un bandeau sur les yeux. Loin de me décourager je suivais l'homme qui me tenais le bras. Mes mains étaient jointes. Mon père avait dût préférer que je porte des chaines pour m'empêcher toutes actions suspecte. Quand il m'ôtèrent le bandeau je reconnus la cour intérieur dans laquelle je venais "jouer" son plafond toujours blanc et incolore ne permettais même pas a l'herbe de pousser, et les lèdes l'illuminaient toujours trop pour qu'on puisse le regarder longtemps. La vieille balançoire pendait sans bouger de la barre de fer ou elle était attaché. Les banc en bois avaient pris de l'âge et on pouvait voir sur eux les marques que le temps avait laissé.
Cette vue me déprima et je continuais de me balader en regardant autour de moi restant toujours silencieuse. Je devais faire comme la moi enfant. mon cerveau avait déjà dû le comprendre car il tournait à plein régime dans les problèmes mathématiques et biologique que j'avais étudier avant ma sortie. Je croisais quelques élèves. Quand ils me croisèrent ils furent étonné et je vis une peur dans leurs yeux, peut être pensaient ils que cela leur arriveraient s'ils ne bossaient pas assez. Puis ils baissaient immédiatement les yeux préférant passer à côté de moi sans dire un mot. Comme toujours les couloirs et le bâtiment dans l'ensemble était dans un silence pesant et différent du bruit des autres établissements.
Fairy Tail me manqua soudain. J'avais envie de rentrer à la maison, voir Luxus et le vieux, que Natsu me serre dans ses bras et voir mes amis riant quand Erza rougissait à côté de Jellal car il lui avait pris la main, parlant avec Levy d'un milliard de livres qui nous intéressait et de nos PAL (pile à lire) plus longue que nos avenir, du fait que j'avais l'avantage du budget avec les fonds pour la bibliothèque. Les larmes me montèrent aux yeux mais je le savais... Je devais les oubliés. Ils devaient m'oubliés. Je ne devais plus montrer d'émotions. Quand je sortirais d'ici je ne sais pas si je pourrais retourner les voir. Je devrais surement trouver un endroit ou ma mère pourra se remettre de cet endroit. Et moi aussi je vais devoir m'en remettre qu'importe comment.
Quand je retournais dans ma "cage" je voyais sur ma table des feuilles et un sujet : "écris ton plan de sorti, ici" mon père à coup sûr. il avait du remarquer que quand je notais les réponses aux questions, bien qu'elles soient juste je ne réfléchissais pas à elles. Oui aussi étonnant que cela puisse être j'avais appris à ne pas à réfléchir pour certains problèmes de math que je connaissais presque par coeur maintenant. Et je regardais soudain la caméra.
Moi : Mais quel plan père ? pourquoi souhaiterais je partir d'ici voyons !? Le ton ironique que j'avais utiliser, j'espérais que mon père ait serrer les dents en l'entendant même si je me doutais que l'homme froid qu'il incarnait allait rester impassible à cette pique de gamine.
Un message apparu sur le mur en face de moi : "soit gentille, je sais que tu veux partir mais sache qu'il n'y a qu'une chose que je veux de toi et que pour l'obtenir je souhaite ton consentement même si je ne doute pas de celui ci. Je te laisserais partir une fois qu'elle se réveillera."
De quoi parlait il ? réveiller qui ? et pourquoi ne me disait il pas les choses directement ? cet homme qui était mon père me semblait trop inintéressant. Son esprit complexifiait chaque réflexion ou réponse que je pouvais trouver. Pas que cela soit mal, bien au contraire il était un stratège et un observateur hors paire mais il lui manquait une chose primordiale, l'empathie. Ce si simple mot qui nous permettais de vivre en communauté bien qu'il amenait aussi le harcèlement. Mais pour chaque qualité existait un défaut et inversement. Comme le soleil et la lune, l'obscurité et la lumière, tous ces contraires se construisaient les uns sur les autres.
Je regardais la feuille devant moi plus sûr de rien. Que devais je faire ? Quoi écrire ? Quoi dire ? Mon esprit interprétait trop ce qui m'entourais et je le savais. Même une conversation quelques semaines plutôt me revenais en tête comme ci mon cerveau réanalysait tous ce que j'avais pu vivre jusqu'à présent.
__________
_____________________
__________
voilà désolé pour le retard !
VOUS LISEZ
Ce qui nous lie (TERMINER)
RomanceElle est malheureuse et ne le dit pas. Il est nouveaux et ne voit qu'elle dans la classe. Elle pleure en silence dans un rayon de la bibliothèque. Il pense a elle a chaque instant. j'avais pas d'idée de résumer... donc a vous de choisir entre prendr...