Chapitre 16

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Pdv Natsu

J'ai le papier rapidement je le cache et continu mon chemin. Elle n'a pas abandonné, j'en étais sûr ! bientôt... Bientôt ces chiens de gardes ne pourrons plus la tenir en laisse !

J'ouvre le papier une fois dans ma chambre. Il est vierge. Je souris elle l'a gravé pour être sûr que n'importe qui ne pourrait pas le lire. Rapidement je crayonne sur la feuille sans trop appuyer et les lettres à moitié effacer s'affichent.

"SOS je suis Lucy Heartfilia la fille du directeur. Il me retient prisonnière s'il te plait qui que tu sois contact ce numéro : XX XX XX XX XX Il s'appelle Natsu dis lui que d'enquêter sur la personne que mon père veut réveiller ! fais moi passer les infos sois discret"

Je souris. Si la personne qui avait reçu ce billet n'était pas moi elle l'aurait peut être jeter ou ignoré de peur d'être battu par les professeurs mais je n'étais pas ces personnes. J'étais Natsu Dragneel et accessoirement le petit ami d'une fille que je ne connais officiellement depuis à peine quelques semaines. Je ne sais même pas comment cela a pu être une telle évidence... C'était comme un message du destin, comme une évidence et d'une certaine manière cela me faisait penser à cette légende japonaise. Un fil rouge qui relie deux personnes qu'importe la distance qui les sépare. Un fil rouge qui les fera se rencontrer. Une histoire d'âmes soeur en somme.

Rapidement j'envoyais un message à mon frère pour qu'il fasse des recherches je suis sûr que la personne à réveiller est sa mère. La mère de Lucy. Et je suis sûr qu'elle aussi y a penser.

Pdv Lucy

Les heures passent lentement je m'ennuie pour ne pas dire je m'emmerde. Je regarde le plafond blanc. Trop blanc. Si j'avais de la peinture j'en étalerais partout même si les couleurs ne se marient pas bien je me sens plus oppresser dans ce blanc incolore que entouré de milliers de couleurs. J'entend la porte s'ouvrir cela fait déjà une semaine depuis que j'ai donné ce papier au garçon. Les chiens de mon père semblables à des armoires à glace ne me lie pas les mains. Cela m'étonne. Il me font signe de les suivre sans regarder si je ne m'enfuis pas et je décide de le faire. Il ne me bande pas les yeux et j'arrive enfin à me situé précisément. Et j'arrive devant les appartements que mes parents occupaient quand j'étais petite. Je suis presque sûr de pourquoi on est là. Mais ce n'est que lorsque la porte s'ouvre je me sens mes jambes trembler et que je suis forcé de serrer les poings pour ne pas m'effondrer... Si seulement Natsu était là... 

Pdv Zelev

J'arrivais enfin devant la lourde porte de fer. le temps passait trop vite il ne nous restait qu'un seul jour avant la première offensive sur l'école. Nous avions fait toutes les recherches possible mais nous n'avions pas trouver grand chose de plus. J'avais partagé à Natsu mes dernières recherches sur Layla Heartfilia : Elle n'avait pas été revue depuis près de dix ans et elle était depuis tout ce temps "malade". J'en étais sur ce n'était pas une maladie. Elle était plongé dans le coma. C'est ce qu'entendait le père de Lucy en lui disant qu'il voulait qu'elle se réveille. Les morceaux du puzzle s'assemblaient peu à peu. Lucy avait toujours cru que sa mère était morte sans vraiment en être sûr. On avait même retrouver dans son petit appartement des lettres qu'elle écrivait pour sa mère. Elle était enfermé dans une petite boite dont la clé était caché dans un de ses tiroirs. Cette fille espérait elle espérait revoir sa mère un jour. 

Jude m'accueilli avec un sourire presque hypocrite auquel je répondis de la même manière. Puis alors que je ne m'y attendais pas un seul instant une porte s'ouvrit et je vis une fille blonde dont les longs cheveux lui arrivait presque aux cuisses. Elle s'était figé en voyant Jude et c'est à ce moment que j'ai compris. Lucy. C'était elle ! Elle avait tellement changé depuis tout ce temps que je ne l'avais presque pas reconnu. Elle ferma les yeux un instant avant de prendre la parole.

Lucy : Père je suis heureuse de vous voir ! j'ai beaucoup apprécier les messages sur le mur durant ma captivité ! Cette fille était forte ! Très forte ! après toutes ces semaines elle était rester elle même. J'en était sûr. Pendant tout ce temps elle ne c'était pas contenté de rester passive.

Pdv : ???

Elle m'avait tant manqué ! Si j'avais pu la prendre dans mes bras une dernière fois ce jour là. Si seulement je lui avait dit que je l'aimais ! qu'elle devait rester forte et qu'un jour on se retrouverait quoi qu'il m'en coûte peut être que les choses auraient pu être différentes...

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Hey !
Alors ? vous aimez ? 

Elphia

Ce qui nous lie (TERMINER)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant