Megliu

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« Seul le danger mortel est incolore. »



Pvd de Liguino Vittore (Neru )

« Periculu » Danger

(Neru) Mon nom et ma présence le représentait parfaitement en Corse, j'éliminais tout ce qui obstruait ma route, mon plaisir était de voir les gens en larmes me suppliant, c'était la mélodie agréable à mon audition , une femme venait de me mettre les menottes , quelle ironie, moi qui était l'élément de torture des autres,des cartels rivaux .
Le destin voulant se jouer de moi , des menottes étaient mise à mes poignets pour une chose futile et par une femme qui plus est.
Un jour un grand écrivain à dit « La femme sera toujours le danger de tous les paradis."
Moi j'allais dire mieux , cette femme voulait être le danger de mon paradis, moi j'allais être le soubresaut de tous les enfers de cette commissaire.

Cours!! Cours!! Brûle toi!! Consume toi!!

Ma petite l'enfer c'était moi, respire, t'en auras besoin ma petite commissaire, j'allais te brûlée les ailes et me délecter de l'odeur.

Assis calmement, d'une assurance dans la salle d'interrogatoire, je vis le temps se défiler lentement sous mes yeux mais la réjouissances de la détruire me fit rire intérieurement, j'aimais les défis en les accomplissant cela me donnait un tels plaisir, l'ineluctable j'aimais anéantir .

Un des officiers entra subitement me sortie de mes pensées pour me libérer mais je refusa en lui disant :

-C'est cette commissaire qui devra m'ôter les menottes, qu'elle a placé sur mes jolies poignets, sinon je porterai plainte contre elle pour abus de fonction.
Jeu de mots un dealer qui porte plainte pour abus de pouvoir, amusant non !!
Jouons de la lois!!! I

-Mais monsieur...
Je levai ma tête, le fixai, il se stoppa nettement acquiesça, le pouvoir que c'est bon et agréable, je voulais voir le visage de cette commissaire déstabilisé en m'enlevant les menottes qu'elle même avait placé.




Pvd de Déa(127)


Trente minutes plutôt

Arrivée aux poste de police, je dirigeai monsieur dans une salle d'interrogatoire le laissant seul, j'entra dans mon bureau, je me suis mise à faire les cent pas, j'essayais de me convaincre qu'il pouvait pas m'accuser d'abus de pouvoir, il m'avait traité d'insecte me plaquant au mur, ces gens imbus d'eux mêmes étaient faciles à manipuler ,je devais rester sereine parce que je savais qu'il allait vouloir montrer qu'il avait du pouvoir, supprimant toutes émotions subitement le téléphone de mon bureau sonna je pris l'appel toute confiante, c'était le commissaire général de police monsieur Ferdinand :

-Pourquoi avez-vous arrêté monsieur Vittore Liguino , commissaire Anna-Dea ? J'espère que vous avez de solides preuves pour arrêter une personne de son envergure commissaire.

-Je me porte bien et j'ai rien de cassé Commissaire Général Ferdinand, Euh j'ai arrêté monsieur Vittore pour obstruction d'une enquête et pour avoir menacé une commissaire en la traitant d'insecte.

Il prit un peu de temps avant de répondre, il me dit ces mots :

-Libérez immédiatement monsieur Vittore et faites vos excuses, on est dans la police pas dans une cour de récrée en maternelle commissaire Anna-Dea, je vous pensais capable.

Ciselée [Darkromance]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant