Sous la nuit étoilée où le feu crépitait avec insouciance,
Nos regards se sont rencontrés dans un instant de chance.
Les flammes dansaient, et éclairaient nos visages,
Tandi que les ombres et lumières tissaient leurs doux langage.
Le bois se consumait, émettant une douce lueur,
Et révélant en secret la timidité de nos cœurs.
Le crépitement du feu murmurait des promesses,
Nos âmes se frôlaient dans cette nuit de tendresse.
Nos mains, timidement se cherchaient,
Et dans ce silence, nos cœurs se parlaient.
C'est autour de ce feu, dans l'ombre des bois,
Que nos cœurs ont trouvé le chemin, en cette douce soirée-là.
VOUS LISEZ
éclats d'âme
ŞiirChaque poème est un éclat, une facette de mon âme qui se dévoile, oscillant entre lumière et ombre, espoir et désespoir. Chaque vers est une fenêtre ouverte sur les émotions qui me définissent et nous unissent probablement. Et bien sûr, chaque mot...
