Descente

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Gondrak lui caressait le sommet des cuisses, son visage à quelques centimètres de son intimité. Avec un effort presque surhumain elle parvint à arrêter de se faire du bien. Elle put sentir le souffle du Lothien lui chatouiller la fente. Un frisson d'anticipation la secoua, mais au lieu de la toucher, l'alien lui parla : « Coucou toi... » Sa voix la faisait fondre, il lui gratouilla le bas du ventre, la faisant s'arquer en avant : « Comme je suis content d'enfin te rencontrer... » Il observa sa vulve avant de lui jeter un petit coup d'œil, mais revint vite à son entrejambe : « Ce que tu es belle... » Il passa ses index sur les aines de la jeune femme en les faisant vibrer. Provoquant un sursaut chez Sandra qui s'agrippa au crâne de Gondrak pour le forcer à s'approcher encore. Avec douceur, il passa ses mains sur les hanches de sa partenaire, les fit remonter pour lui saisir les poignets afin de les bloquer dans le dos de la belle.

Habitée par un désir presque douloureux, Sandra ne put s'empêcher de gémir d'une voix suppliante : « Gondrak... Je t'en prie... » Il l'ignora, préférant continuer sa discussion avec sa fente :

-Je sens que l'on va bien s'amuser tous les deux. » Elle avait l'impression de sentir quelque chose grouiller en elle, sa peau la brûlait. Désespérée de trouver une forme de soulagement, elle essaya de plaquer sa vulve sur le visage du Lothien, mais ses genoux vinrent simplement buter contre les épaules de l'alien. Elle était désormais adossée à l'ascenseur, les bras bloqués dans le dos et les jambes arquées, ouvertes dans la position la plus indécente qu'elle n'ait jamais osé prendre.

Mais en cet instant précis, rien n'aurait pu la faire rougir, elle souffrait. Son corps la torturait, il fallait que Gondrak la libère, il fallait... « Mmmhh tu es à croquer ma chérie... » Sa bouche s'ouvrit, il tira légèrement la langue puis entra en contact avec les lèvres de Sandra. Les petites ventouses s'accrochèrent lui faisant de minuscules suçons presque douloureux, avant de glisser sur la chair de son intimité. Puis il y eut la salive, d'abord fraîche, comme lorsque l'on goûte une friandise mentholée, après chaude, légèrement gluante. Enfin le feu d'artifice pétillant comme de l'eau gazeuse lui arracha un râle de plaisir presque guttural.

Elle projeta sa tête en arrière, bouche ouverte, ses halètements se noyèrent dans des gargouillis d'extase lorsque la langue de Gondrak venait se lover entre ses grandes et ses petites lèvres. L'expérience était folle, à tel point que Sandra ne savait pas plus où donner de la tête. Sa position devenait de plus en plus inconfortable, ses genoux la torturaient, son dos la tuait, mais sa chatte... Bon sang que sa chatte lui faisait un bien fou...

Son plaisir s'amplifiait à chaque passage de la langue du Lothien, mais son corps ne parvenait plus à endurer la position dans laquelle elle se tenait. Comme s' il l'avait senti, Gondrak lui relâcha les poignets puis l'aida à poser ses jambes sur ses épaules. Avant de pousser son torse en avant pour la soulever légèrement du sol.

Désormais soulagée de toute forme de douleur, seule l'extase la traversa lui faisant oublier tout le reste : « Oh c'est bon... C'est si bon... » Mais s'étrangla lorsque la langue de son partenaire serpenta étrangement pour aller se fourrer profondément dans son intimité. Elle resta bouche-bée, sans voix avant de se mettre à couiner lorsque l'appendice fit des va-et-vient en elle.

C'était inexorable. Implacable, elle sentait la petite mort approcher chaque fois que les ventouses de la langue de Gondrak lui faisaient remuer les parois de sa chatte.

Son corps se gaina, comme pour se préparer au choc, ses jambes tremblèrent puis l'explosion la secoua. Lui faisant arquer violement le dos dans un cri rauque disgracieux : « Ooohhhh putain ! » Sa fente inonda le visage du Lothien qui ne sembla pas s'en offusquer. Au contraire, tout en l'aidant à s'asseoir il lapa sa fente pour prolonger l'orgasme de Sandra. Il lui fallut de longues secondes pour parvenir à se remettre de sa jouissance, mais lorsque cette dernière disparut, quelque chose vint prendre sa place.

Le secret des LothiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant