CHAPITRE 8 : Feu d'artifice

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Quatre jours plus tard.

Levée depuis l'aube, malgré mon manque de sommeille, je suis incapable de dormir plus longtemps.

J'ai rendez-vous avec Muichiro dans quelques heures, il faut que je soit prête. Et pour ce faire avec mes amis pilier, Mitsuri et Shinobu, nous avons décidé de nous préparez ensemble chez le pilier de l'amour.

C'est donc d'une heure particulière matinale que je me retrouve devant la demeure de la femme pilier.
J'ai quarante-cinq minutes d'avance mais je n'arrive plus à tenir en place, je suis trop enxieuse. Beaucoup trop, même.

J'entre directement, depuis le temps que je viens rendre visite à la jeune femme j'ai l'habitude de rentrer sans toquer. Je me dirige vers la salle à manger, où je trouve cette dernière attablé devant une assiette bien moin garnie que ce qu'elle mange habituellement.

Lorsqu'elle m'aperçois, la pourfendeuse m'accueille chaleureusement, m'invitant à sa table pour le petit déjeuner.

Je l'y rejoin et elle me tend une brioche, chaude et moelleuse, l'eau à la bouche presque immédiatement et malgré le stresse qui m'avait envahit ce matin, je la dévore sans difficulté.
Jetant de brève regard envers mon ami, qui semble aussi avoir faim mais qui pour une raisons que j'ignore, ne touche qu'à peine à son assiette.

_Tout vas bien ? Lui demandais-je inquiète devant sa petite mine.

Surprise, elle releva la tête vers moi, hésitante.

_Hé bien, je ne veux pas avoir l'air d'une ogresse devant Iguro san. M'avoua t-elle alors un sourire triste.

Si seulement, ses deux là était honnête l'un envers l'autre. Je suis sûr qu'ils serait au moins fiancés ! Voir sur le point de se marier.

Je la rassure, assurant que le pilier du serpent ne penserait jamais ça. Je vois bien que cela la tracasse encore mais elle semble plus légère et détendu, maintenant.

Après notre bref petit déjeuner, Shinobu nous rejoint et nous, nous préparons toutes les trois ensemble. La violine est d'ailleurs la première prête, insistant pour ne pas changer sa coiffure et son maquillage, malgré nos demande pour aux moins les améliorer.

Elle portait un yukata d'un violet très foncé avec des motifs en forme de fleurs et de papillons. La ceinture est de la même teinte que ses yeux et elle porte son haori papillon par dessus, le tout s'accorde parfaitement et sa barrette qui retiens ses cheveux en arrière, parfait sa tenue.

Ce fut le pilier de l'amour et moi même qui furent particulièrement longue, pendant que cette dernière arrangais ma chevelure, sa collègue s'occupait des siens. Puis lorsqu'elle s'occupait de son maquillage c'était le pilier de linsect qui me peinturlurais le visage.

Pendant que ma collègue, experte en poison, cherchais qu'elle teinte appliqué à mes joues, je jetai un coup d'œil à l'autre pilier. Elle cherchais son parfum, à la fleur de cerisier, c'est le jeune homme au yeux verrons qui lui avait offert et elle y tenais tout particulièrement.
Elle ressemblait d'ailleurs, à une fleure de cerisier, dans son yukata rose pâle, à fleur, la ceinture d'un vert plus doux que ses yeux, est à rayure, ressemblant à s'y méprendre à ses chaussettes.
Ses cheveux, toujours séparés en trois tresses, cette fois plus élaboré avec des minis tressettes dans certaine mèche des nattes principales, quelques fleurs de cerisier accroché à droite, à gauche et elle ressemble vraiment à une fée du printemps.

Dès qu'elles urent fini, les deux jeunes femmes réculèrent afin de valider leur travail.
Dès qu'elles furent satisfaite, Shinobu me tendit un miroir alors que Mitsuri trépignait, impatiente, d'avoir mon avis.

Se souvenir de ce qu'est l'amour. { Muichiro x readers }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant