CHAPITRE VII

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- Alors dis- moi. As- tu un problème? Questionna Carlos.

Mon soupire s'installa dans la pièce, Carlos ne comprend pas mon attitude, pourquoi j'agissais ainsi ? Je ne voulais pas faire chier le clan Staddi, mais leur façon de voir les choses me répugne.

Je pose le verre contenant du Wisky sur les lèvres. Quant il y eut une femme qui vient en courrant vers nous.

- Qu'est qu'il y a Stessy. Ne vois tu pas que je suis occupé ? Grogna Carlos.

- Excusez- moi M. Fantinio. le gérant demande à vous voir. s'exclama Stessi.

Je la scrute sans dire un mot. Carlos me fait signe d'attendre. Ils partirent
Je reste sur le canapé en attendant le retour de Carlos.

Je faisais défiler  les images sur mon téléphone.
Un message de Rebecca me tiqua dans  la notification .

Je clique et me voilà sur le message.

Rebecca.

<< Comment allez- vous M. Lopez ? c'est possible que vous veniez me prendre à ma fac. Ça serrer gentille de votre part.>>

Elle pense que je suis devenu sa nounou ! Bordel de merde, je ne fais pas de baby- siting à une jeune femme de vingt- cinq ans. Le pourquoi de mon travail dans la mafia est tout simple, pour moi le plus important dans cette  histoir est:  le pouvoir, que je qualifierai comme une domination.

Depuis mon tendre enfance j'ai toujours subi de la domination envers mes camarades. Tout cette haine que j'ai engendré me procure de la vengeance.

Je l' écris à mon tour.

Moi
<< pourquoi?>>

Aussitôt elle me repend.

Rebecca
<< Mon chauffeur n'a pas pu être présent à cause d'un malaise, j'ai appellé mon père. Il m'a dit que je vois ça avec ses hommes de main. Et vu que Tony est ce qu'il est, j'ai dûe recourir à vous. S'il vous plait dite oui. >>

J'expire un soupire de comphresif, j'envoi un message à Carlos qui explique mon départ.

Je me lève en quittant le  bar. Je prends ma veste au passage que j'avais mis au dossier de la chaise.

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Cela fait environ quatre heures de l'après- midi que je me trouvait à son université dans sa berline noire, que j'avais récupéré  au manoir.

La voilà sortir avec ses amis, deux filles et un garçon. Son sourire est si magnifique et rempli de vie.

Je descends de la berline en m'approchant d'eux.

- Comment allez- vous Mll. Rebecca ?

- Je vais bien merci. M. Lopez, je vous présente mes amis. Léa, Emmanuela et Antony.

Je les salue, ils me saluent en retour.

- Mademoiselle votre voiture est prête.

Léa et Emmanuela chuchotèrent dans Son oreille et se mettent à rire par la suite, toute fois en me regardant.

Antony est si différend des autres hommes. Il porte un ensemble de vêtement noir moulant.  Son haut laisse à découvert son ambrille.

Ses cheveux sont bouclés, ses doigts ont du verni noire. Et des gestes textuellement féminine.

Bref, ils montent dans la berline, je me tiens derrière le volant, Antony se trouve sur la chaise du passagé, Léa, Emmanuela et Rebecca se trouvent à l'arrière.

Un moment à chanter, à se trémousser et à parler. Me donnais une envie de suicide, mais j'expire toute cette colère.

Antony me regarda perplexe

- Êtes - vous le chauffeur de Rebecca ? Dit- Antony

Aucune réponse sortit de ma bouche. Il fut gêné par ce silence. Sa tête se retourna en direction de la fênetre.

- Où est- ce que je vous dépose ? Questionnais-je

-  Nous allons au manoir. S'exclama Rebecca.

- Votre père est au courrant ? Questionnais- je à nouveau.

Juste un "oui" sortit de sa bouche.

Arrivé au manoir, ils descendent de la berline.
Je partais garer la voiture dans le garage.

Le manoir avait une représentation superbe, au milieu de l'entré, il y a une statuette d'un ange tout en blanc qui projetait l'eau de sa bouche.

De la verdure : la pelouse et des arbres de toute sortes remplissait les coins du manoir.

Des carreaux sont tapissés dans tous les coins et recoins au alentour du manoir.

Ils montèrent les marches de l'extérieur du manoir.

Tony les arrête.

- Rebecca. Pourquoi invites- tu ses gens dans le manoir ? Questionna Tony agassé de les voir ici.

- Laisse- moi passer. Retorqua Rebecca en colère que le voir.

Il gigota légèrement son intex en signe de désapprobation.

- Je veux appellé votre père. Dit- Tony

- Allez- y.  s'exclama Rebecca

Le téléphone sonna.

- Qu'est que tu veux Tony. Ne vois tu pas que tu me déranges. Grogna Antoine le père de Rebecca

- Excusez- moi monsieur, mais je vois que Rebecca a amené des intrus à la maison. Est- ce que c'est sous votre autorisation ? Questionna Tony en nous regardant sévèrement.

- Non. Pourquoi?

- Parce qu'elle se trouve en ce moment avec trois de ses amis qui ne m'inspire pas confiance. S'exclama Tony en s'approchant près de moi en ayant un rictus sournois.

- Passe- la moi.

Tony me  passa le téléphone . Je saisis le téléphone avec colère se dessinant sur mon visage.

- Je suis là. Dit- Rebecca

- Dis- moi pourquoi tu agis comme une fille qui n'est pas intelligente. Pourquoi amènes- tu tes amis à la maison. Hurla son père de colère.

Elle se tue un long moment et repris

- Demain c'est mon anniversaire ... papa. Rebecca répond d'une voix douce et tendre.

Le père sursauta de surprise.

- ....Je l'avais oublié. Excuse- moi, je suis trop pris par le travail. Donc tu disais que demain sallait être ton anniversaire.

- Oui papa, c'est la raison pour laquelle j'ai fait appel  à mes amis pour tout organisé.

Le parrain soupire et répondit d'une voix douce et tendre.

- Ok. Ma chérie, j'accepte, cependant que tes amis ne fouillent pas dans mes affaires et que mon manoir ne devienne pas un poullaier. Donne le téléphone à Tony.

Elle passa le téléphone à Tony.

- Je vous écoute. Répondit Tony

- Ma fille fêtera son anniversaire dans le manoir, cependant je veux que vous renforcez la sécurité, ainsi que des hommes à sa disposition. Je ne veux pas de la merde dans le manoir. s'exclama Le parrain.

- Ne vous inquiètez pas. Je garderai un oeil sur elle et ses amis. Dit- Tony en me regardant à nouveau d'un air sérieux et dominant.

- Et aussi au passage. Fermez la porte de mon bureau à clé. Je ne veux pas que ma fille sache que mes affaires sont dûs à la mafia.

- Soyez tranquille. Amusez- vous bien.

Tony raccroche le téléphone et soupire.

- Votre père a accepté votre connerie, cependant je veux être clair avec vous. Je ne veux pas de la merde dans le manoir. Vous obéissez à mes ordres, Si je vous dit que la fête est fini ce que c'est fini. Je me suis bien fait comprendre.

- Oui. Répondirent tous les quatres.

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