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Le média c'est cadeau parce que là il est fabulous.

Posée sur le lit d'hôpital qui commençait à m'être familier, je regardais le plafond de la chambre, cherchant à faire passer plus vite les minutes, les heures avant ma libération.

Je pouvais sortir aujourd'hui, et il me tardait de pouvoir enlever cette blouse complètement ouverte derrière et prendre une douche pour enlever cette odeur d'angoisse et de mort qui était l'odeur de cet endroit.

La porte de ma chambre grinça, signe que j'avais de la visite.

"-Yo meuf."

"-Salut Jack."

Gilinsky venait aussi souvent qu'il pouvait, de même pour Johnson.

Dallas, lui, avait arrêté de venir après que je lui ai demandé qui m'avait renversée.

Je suis bien consciente qu'il s it quelque chose.

Parfois j'me surprend à penser que c'est lui, le chauffard.

Mais c'est con comme théorie.

De toute façon, on s'en fout, je vais sortir, je suis pas morte.

Par contre, si je finis par trouver ce connard (ou cette conasse d'ailleurs) je le plie en deux pour qu'il puisse renifler son propre cul.

C'est aussi simple que ça.

Jack rangea mes affaires et sorti un short en jean et un de ses pulls pour me les donner.

Je pris les vêtements et me leva pour partir en direction de la salle de bain.

Je passais les vêtements et sortais pour rejoindre mon ami à l'accueil.

Ma mère n'avait pas pu venir souvent mais quand elle venait, elle restait toute la journée jusqu'à se faire virer par les infirmières.

J'étais quand même restée une semaine à l'hôpital.

Une semaine de merde.

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