𝒞𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇ℯ 9: Interview

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- Intissar

Je fermais mes yeux, quelques secondes seulement, j'étais beaucoup trop fatiguée pour les gardes ouvertes, mes paupières étaient lourdes et le fait de ne manger que de petite portion puis me faire vomir devait probablement peser sur la balance. Je m'apprêtais à les ouvrir lorsque je sentit un jet d'eau froide venir asperger mon visage, lorsque mes yeux se rouvirent le visage que je vis devant moi était celui d'Amir, je le fixa d'un regard noir, moi qui pensait qu'il blaguai sur l'eau, savait-il que l'eau est précieuse et qu'il la gaspille en faisant cela.

-  J'étais sur le point de les ouvrir, vous n'étiez pas obligée de faire cela, exprimait-je agacé, cela devait faire au moins une heure ou deux que nous étions ici en plus de cela, je n'avais aucune distraction pour m'occuper.

- Oups, souffla-t-il, feignant ne pas avoir fait exprès.

Mes chats venaient de s'endormir, je les regardais, cela m'a toujours apaiser de les voir, dormir, jouer ou bien même se battre entre eux tant qu'ils étaient en bonne santé cela me faisait décompresser, il savait très bien  qu'en s'en prenant à eux, il s'en prenait à moi. Ils étaient tellement mignons, ceux qui se trouvaient dans la cage étaient Omari et Khamila, mes bébés les plus peureux, lorsqu'ils venaient d'être suspendu, à l'avenir je ne le laisserai plus jamais les avoirs.

Je suis certaine que si ça aurait était Sabra elle lui aurait mordu les doigts, lorsque je suis aller me changer je leurs avait fait le plein de nourriture, en leur mettant des croquettes et une nouvelle eau, lorsque je suis allez sur ma terrasse j'ai constaté qu'ils m'avaient laissé quelques cadeaux, ils sont tellement attentionné, leurs excréments.

Au lieu de venir en aide à leurs frère et leurs sœur ils me font des crottes.

-  Amir, puis-je vous poser une question, lui demandai-je, en réalité cela n'était pas une question qu'il me donne sa permission ou pas je comptais bien la lui poser.

- Non, me déclara-t-il d'une voix rauque.

- J'avais la certitude que votre réponse ne serait pas penchée vers l'affirmative, c'est pour cela que je ne prend pas en considération votre réponse et vous la pose tout de même, lui expliquai-je. Pourquoi faite vous cela, je vous ai dit que je n'étais pas consciente, je me suis même excuser, la situation pouvait porter à confusion, mais votre coup, il est très, très bas prendre mes chats pour me faire pression, vous êtes à ce point faible, le questionnait-je, ou bien aurais-je blesser l'égo du grand sultan Amir Saad-Mansour, criai-je sarcastiquement.

- Auriez vous la décence de fermer votre membre qui vous permet de parler, m'ordonna-t-il d'une voix qui se voulait autoritaire.

- Je rêve, je me mît à glousser, une personne si insignifiante à vos yeux à tout de même réussi à blesser votre ego, c'est la blague de l'année, même un de mes chats aurait pu blesser votre ego, vous prenez beaucoup trop à cœur ce que les gens vous font, lui expliquai-je en mettant mes coudes sur la table.

- Vous rigolez beaucoup pour une personne qui devrez être dans l'incapacité de parler compte tenu de la situation, rétorqua-y-il de la voix la plus neutre qu'il pouvait faire.

- N'avez vous donc pas réfléchi à ce que je vous ai dit hier, le questionnai-je, ah y a Allah soupirai-je, se que vous me ferez Allah vous le fera payer le jour du jugement.

Il ferma ses paupières quelques secondes puis les rouvrit et planta son regard dans le mien.

- Maintenant ça suffit vous allez fermer votre bouche, cria-t-il sûrement irrité de ce que je lui dit, mais c'est belle est bien la vérité.

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