𝒞𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇ℯ 11: Mon «mari»

334 21 68
                                    

À toute les personnes qui sont atteintes d'un trouble alimentaire, vous ne devez pas les négliger, si une personnes de votre entourage possède le même comportement qu'Amir, elle n'est pas bonne pour vous.

N'oubliez pas que ce sont des personnages fictif.

* * *

Ali avait le visage tout rouge de honte, il était tellement mignon.

Azru et moi avions continuer de discuter pensant qu'ils ne faisaient que passer mais qu'elle fut notre surprise lorsque nous vîmes qu'après s'être chuchoté des mots aux oreilles. Ils sont venu s'asseoir près de nous, Amir c'était fait une place sur mon sofa, après cela n'était pas bien compliqué, je fais la taille d'un bâton de siwak comme me la souvent répété mon père. Quant à Ali il s'est assis sur le sofa le plus proche de celui d'Azru, nous nous échangeâmes un regard ne sachant pas s'il fallait partir et les laisser en plan ou bien leur faire la conversation notre avis fut vite penché vers le deuxième choix

- Que disiez-vous, Azru, lui demandai-je.

- Je disais que je m'étais rendu à l'école primaire Al Fitra, j'ai converser avec monsieur Mustafa, il ma informé que l'un de ses enseignants était parti en congé maladie, je vais donc devoir le remplacer, m'expliqua-t-elle, Ali et Amir veillez à ne pas louper une seul parole de la conversation.

- C'est bien j'espère que votre travail se passera bien, j'irai à la rencontre de monsieur Moustafa, peut être que je pourrai venir en aide à l'enseignant malade, lui dit-je, je me rappelle ensuite que j'avais émis de lui dire que je ne serai pas présente après demain. Azru je ne serai pas là après demain.

Amir tourna la tête vers moi, me regarda puis me demanda.

- Pourquoi ne seriez-vous point là ?

- Je dois retourner en Arabie, j'ai plusieurs choses à régler, lui mentis-je, ce n'était pas réellement un mensonge car j'avais vraiment des choses à régler, même si je ne me rend pas en Arabie mais en Palestine afin de les aider à étendre leurs territoire.

Après cette interventions de sa part, il ne parla pas au contraire d'Ali qui lui ne faisait que parler à l'instar d'un perroquet, il était tellement aveuglé par Azru, il lui a posée divers question sur ce qu'elle faisait dans la vie, si elle était mariée et si elle a des enfants, lorsqu'il lui avait posé cette question nous avions toute deux sentit qu'il appréhendait la réponse qu'Azru allait lui offrir. Elle s'était penchée vers moi afin de me demander s'il serait préférable qu'elle lui dise directement la vérité ou si elle devait lui faire une blague, bien évidemment je lui avais conseillé la blague, et c'est ce qu'elle fit.

- Dans quelque jours je compte me marier avec un homme nommé Moussa, il est très gentille et attentionné, nous étions dans la même fac, lui voulait être professeur de mathématique, à l'instar de moi, nous étions collègue mais j'ai décidé de changer d'école, avait elle répondus dans un mensonge.

Nous voyâmes la tête d'Ali se décomposer, mon rire n'allait pas pouvoir être retenue plus longtemps, je voulu mettre Amir dans la confidence pour ne pas qu'il me trouve bizarre lorsque je commencerai à éclater de rire devant eux, lorsque je lui dit il se mit à rire mais il couvra directement cela par une toux.

C'était la goutte de trop, j'explosai de rire emportant avec moi Azru ainsi qu'Amir, je rouvrit les yeux et vit qu'Ali se sentait de trop ne comprenant pas pourquoi nous étions entrain de rigoler.

- Elles te font une blague tu ne l'avais toujours pas remarqué, lui dit-Amir tout en peinant à prononcer correctement les mots du a l'éclat de rire dans lequel il était.

DYNASTIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant