Los Ángeles de la muerte

Capítulo 4: Alejandro, el líder despiadado

                 🎶GANGSTA" de Kehlani
                     Bonne lecture >333

PDV Alejandro

Le matin commence comme tous les autres, avec l'odeur âcre de la haine et du pouvoir qui flotte dans l'air. Le soleil n'a même pas encore percé l'horizon que déjà, les rues bruissent de murmures à mon sujet. Alejandro Da Silva-El Kaderi. Une légende pour certains, un cauchemar pour d'autres.

Dans la salle de réunion, mon père me regarde avec ses yeux d'acier. Ses mots en arabe résonnent lourdement dans l'air :

"Alejandro, tu sais ce qui doit être fait aujourd'hui. Les traîtres ne doivent pas être épargnés."

Je hoche la tête. "Bien sûr, père. Comme toujours."

Miguel entre dans la pièce, son visage impassible comme une pierre. "Nous avons repéré les derniers rats, Alejandro. Ils se cachent près des docks."

"Parfait," je réponds, la voix tranchante. "Prépare les hommes. Pas de pitié. Je veux leur sang."

Matteo, toujours calculateur, ajoute : "Nous devons aussi vérifier les finances. Les mouvements récents dans les comptes ne correspondent pas. Quelqu'un se sert dans la caisse."

"Encore des fils de pute qui pensent pouvoir nous doubler," je grogne. "On s'en occupe après les docks."

Diego, le plus jeune, entre en riant, une blague à la bouche. "Alors, qui est prêt pour une petite fête aujourd'hui ?"

Je lui lance un regard froid. "Diego, c'est pas le moment. On a des traîtres à exterminer."

Il lève les mains en signe de reddition, toujours avec ce sourire. "D'accord, d'accord. Mais on peut quand même rigoler un peu en les butant, non ?"

Miguel secoue la tête. "Diego, concentre-toi. Chaque erreur peut nous coûter cher."

"Je sais, je sais," soupire-t-il. "Mais un peu d'humour, ça aide à tenir."

Le souvenir de notre mère flotte dans la pièce comme un spectre. Elle était le cœur de cette famille avant que les rivaux ne la tuent sous mes yeux.

Je me tourne vers mes frères. "Souvenez-vous de ce que maman nous a appris. La pitié, c'est pour les faibles."

Matteo acquiesce. "On n'oubliera jamais, Alejandro. Chaque coup que tu portes est pour elle."

Diego, plus sombre, ajoute : "Et chaque rire que j'ai, c'est pour rappeler qu'ils ne nous ont pas brisés."

Nous nous préparons à partir. Mon père me retient une dernière fois. "Alejandro, fais ce qu'il faut. Ne laisse personne douter de ton autorité."

Je le regarde, glacé. "Ne t'inquiète pas. Ceux qui me trahissent finissent tous de la même manière."

Nous quittons la maison familiale, laissant derrière nous les souvenirs et les fantômes. Les docks sont sombres et humides, l'odeur du poisson pourri se mélangeant à celle de la peur. Les hommes de main sont déjà là, prêts à l'action.

"Miguel, Matteo, Diego," j'ordonne, "pas de témoins. Pas de pitié. Allez-y."

Les coups de feu éclatent, des cris retentissent. Je marche au milieu du chaos, impassible. Un des traîtres rampe vers moi, suppliant.

"Pitié, Alejandro... je ne voulais pas..."

Je le regarde avec mépris. "Tu voulais juste me trahir, hein ? Fils de pute." Et je l'achève d'une balle dans la tête.

Une fois le carnage terminé, nous rentrons. Le sang coule sur nos mains, mais nous ne ressentons rien. L'absence d'émotions est notre armure, forgée dans la douleur et le sacrifice.

Le soir, autour de la table, nous parlons à voix basse. Matteo analyse les comptes, Miguel fait le rapport des opérations, et Diego, malgré tout, tente une nouvelle blague pour alléger l'atmosphère. Mais nous savons tous pourquoi nous faisons cela. Pour maman, pour notre survie, pour notre empire.

Et moi, je garde mes yeux verts fixés sur l'avenir, prêt à écraser quiconque osera se dresser sur notre chemin.

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Coucouuu les chou je me suis grave mélangé avec les chapitre donc le chapitre fort en émotions arrive bientôt 🤫désolé si vous avez été perturbé à cause de ça !
Qu'est-ce vous avez pensé de mon petit Alejandro ?🤔
Dites le moi ici ➡️➡️➡️➡️

Bisous les chou 💕💋