Capítulo 5: El mundo de las sombras

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                   🎶"Power" de Kanye West
Bonne lecture >333

PDV Alejandro

Le soleil se lève à peine que déjà, la maison est en ébullition. La lumière blafarde révèle un lieu où règne un désordre calculé, où chaque coin est un symbole de la brutalité du cartel. Le sous-sol, là où tout se passe, est un champ de bataille constant.

"Démerdez-vous, bordel! Vous croyez que le cartel va attendre que vous finissiez de dormir pour bosser?" Je fais un tour, la rage dans chaque mot. Le bruit des téléphones, des pas précipités et des discussions sur le trafic est incessant.

Diego, avec ses doigts agiles sur les claviers, ne lève même pas les yeux. "Encore des soucis, Alejandro? Ils nous pressent de tous côtés."

"Quoi, tu fais la gueule parce que ça chauffe? On est pas là pour se balader! On doit bouger et régler ça tout de suite. Les flics, les espions, on les défonce tous, tu m'entends?" Ma voix est glaciale, impitoyable.

"Je gère ça," répond Diego, agacé mais résigné. "Mais fais gaffe, ça pourrait mal tourner."

"Tu crois que je m'en fais pour des rats comme eux? Fils de pute, ils sont tous à éliminer. Il faut que ce soit clair pour tout le monde : un traître, c'est un mort."

Je monte à l'étage pour vérifier que tout est en ordre. Mateo, armé jusqu'aux dents, s'entraîne dans la cour. Son regard est dur, il sait qu'il est question de vie ou de mort. "Mateo! T'es là pour tuer, pas pour faire joli. Tu exécutes sans poser de questions. Les traîtres, on les écrase."

"Oui, Alejandro," répond-il, déterminé.

La maison est toujours bruyante de l'activité frénétique de mes hommes. Chacun sait qu'il n'y a pas de place pour la faiblesse. Je fais face à Miguel, le regard sévère. "On a un problème avec une planque. Les gars sont dans la merde, ils attendent des renforts."

"Que je vais leur faire payer cher, ces enfoirés!" Je crache. "Envoie deux équipes, fais-leur comprendre que personne ne joue avec nous. On n'a pas de temps à perdre. Pas de clémence."

Je scrute les visages de mes hommes. "Vous savez ce que je veux, pas vrai? Pas de retour possible, pas de négociation. Vous êtes là pour obéir et tuer. Un traître ne mérite aucune pitié. Un traître est un cadavre."

Baba, mon père, entre avec une autorité naturelle. "On doit garder le contrôle, Alejandro. Chaque faux pas peut nous coûter cher."

"Je sais, Baba. C'est pourquoi je fais le ménage. On ne laisse aucune chance aux faibles," je répond froidement.

La nuit arrive, et l'opération est prête à commencer. Les hommes sont équipés, armés et prêts. Le silence avant l'assaut est pesant, mais les visages sont déterminés. Je fais une dernière vérification.

"On bouge," ordonne-je.

En route, je vois le regard de mes hommes, tous prêts à faire le sale boulot. Arrivés à la planque, la mission est claire : éradiquer tout ce qui se trouve là. Aucune chance de survie, aucun espace pour les erreurs. Les coups de feu éclatent, le bruit des corps tombant au sol est récurrent. C'est un massacre organisé.

"Les traîtres, c'est pas des êtres humains. Ce sont des déchets!" je hurle en pleine action. "Vous croyez pouvoir nous trahir et rester en vie? Vous rêvez. Vous avez choisi votre camp, maintenant vous payez."

Je fais le tour, observant le carnage. Les survivants sont rare. Chaque personne dans ce bâtiment comprend maintenant ce que signifie trahir Alejandro. Il n'y a pas de place pour les faibles, les traîtres ou les incapables.

La mission est une réussite sanglante. L'ordre est restauré, mais le message est clair : toute trahison est punie par la mort. Le pouvoir se maintient par la terreur et la violence. Chaque jour est un défi, chaque décision est une question de survie.

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Coucou je suis entrain de corriger les chapitres que j'ai déjà écrit donc je vais les poster !
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Bisous les chou ! 💕💋

Los Ángeles de la muerteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant