Chapitre 5

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* POV Jordan*

Je remontas dans la voiture quand l'avion avait décoller.

Moi: Amener moi chez Chabrut.

Chauffeur: Il est a son bureau.

Moi: Allez là bas alors.

Il se mis directement en route, en arrivant au 114 rue Michel-Ange, je me dépêchas de monter dans le bureau du chef de la sécurité.

Moi: Alors c'est qui ?

JP: Un certains Thomas Compiègne. S'est l'ex petit ami de mademoiselle LEPEN. Il se sont séparé l'été dernier.

Moi: Faite le venir ici.

JP: Monsieur...

Moi: J'en ai rien a faire des démarches. Vous allez le chercher tous de suite se fils de pute. Je serais dans mon bureau.

Je parti dans mon bureau. Je retiras ma veste et ma cravate avant de déboutonner les deux premier boutons de ma chemise ainsi que les manches. Je me laissas tomber dans mon fauteuil, j'ouvris mon ordinateur et regardas les différents articles dans le journal. Entre les articles sur ma relation avec T/P et ceux sur les différent sujet politique j'avais le temps de m'occuper. On toquas à la porte de mon bureau. Je me redressas et les invitas a entré.

Moi: Entrez.

Je vis mes deux gardes du corps entré avec un homme blond au cheveux bouclé. Il était un peu plus petit que moi et du genre gringalet. Je me levas de mon siège et avanças vers lui.

Moi: Monsieur Compiègne.

Thomas: Monsieur Bardella. En quoi ai-je l'honneur d'être devant vous ?

Moi: Vous savez très bien pourquoi vous êtes la.

Thomas: Alors la. Pas du tout.

Moi: Se numéro ne vous appartient donc pas ?

Je fit glisser une feuille de papier sur mon bureau pour lui montré.

Thomas: Si c'est le miens.

Moi: C'est donc vous qui avez menacé T/P aujourd'hui.

Thomas: Et donc ?

Moi: Et donc ? Croyez vous que je laisse les gens impunie monsieur Compiègne ?

Thomas: Je-

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que je lui avait mis une gifle du revers de ma mains.

Moi: N'essayez pas de trouvé une excuse.

Thomas: Donc c'est vrai. Vous êtes ensemble.

Moi: Ma relation avec mademoiselle Lepen ne vous regarde en aucun cas. Par contre, le fait de menacer une de mes collaboratrices me regarde.

Thomas: Une si bonne collaboratrice qu'elle vous a taillé une pipe sur le canapé du salon.

Je l'attrapas par le col et le plaquas contre le mur juste derrière lui.

Moi: Vous ferriez mieux de faire attention à vos paroles. N'oubliez pas que vous n'êtes rien. Qu'un simple serveur de la place de la concorde. Qui vis dans un pauvre studio de 15m² et qui n'a pas eu le courage de rester accroché en politique.

Thomas: Même si j'ai une vie bien différente de la votre, sa ne m'empêche pas d'avoir tout autant de pouvoir que vous sur T/P. Je connais toutes ses faiblesses.

Je seras un peu plus mon étreinte autour de son col.

Moi: Je vous suggère de ne plus la contacté, ou bien cette fois. Je ne serais pas aussi gentil.

Is it me or is it you ? (Jordan Bardella x femreader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant