La prophétie

Démonstration de force

Après un appel de Klaus, je le rejoignis. Je regarda de nombreux tableaux.

Klaus : Isis. Merci d'être venue.
Isabella : pourquoi veux-tu me voir ici ?
Klaus : j'espérais pouvoir "bavarder" avec toi. Je me suis dit qu'une changement de décor serait le bienvenu. Je t'offre donc une visite privée de mon exposition.
Isabella : elles sont toutes à toi ?
Klaus : j'ai passé un millénaire à ne pas me faire remarquer pas mon père. Il est mort, à présent. Tous ceux qui s'opposaient à nous ont être vaincus. Les fruits de mon travail peuvent donc enfin être appréciés de tous.
Isabella : je ne suis pas venue admirer de l'art. C'est pas contre toi mais je dois m'occuper de Hope.
Klaus : tu sais que je peux t'aider ?
Isabella : je sais mais je veux m'occuper de ma fille.
Klaus : tu sais que tu peux compter sur moi. Mais si je t'ai fait venir c'est pour te demander d'être ma cavalière demain soir pour le vernissage.
Isabella : d'accord.

J'allais partir mais il m'attrapa et m'embrassa. Il me posa sur le comptoir...
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Je reçu un appel de Vincent.
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Vincent : je suis resté en contact avec la police de la ville depuis l'affaire de mon ex-femme. Je suis leur expert pour tout ce qui a l'air occulte. Quand ils tombent sur des traces de magie noire, ils m'appellent.

On arriva vers une scène de crime. Un homme arriva.

??? : c'est ta copine spécialiste en surnaturelle ?

Vincent hocha la tête.

??? : génial. Will Kinney, inspecteur à la criminelle.
Isabella : Isabella Mikaelson, maman et spécialiste en surnaturelle. Qu'est-ce que je fais là ?
Kinney : montre-lui le corps. Voyons si elle fait ce que tu as promis.

Il partit.

Vincent : ils veulent un profil psychologique. T'es une sorcière et un vampire, t'as peut-être déjà vu ça. Et vu ce qu'on a trouvé, je dirais que c'est bien dans tes cordes.

On arriva devant un corps, suspendus par des ficelles. Ouvert sur les côtés de la bouche.

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Klaus :

Elijah : tu mérites une soirée de congé.
Klaus : je proposerais de t'accompagner si mon ego si fragile était capable d'encaisser la litanie d'insultes qu'Hayley réserve pour moi mais surtout Isis.

J'entra dans la pièce.

Elijah : je doute que vous soyez les bienvenu où que ce soit.
Klaus : tant de dédain, venant de mon propre frère. Qu'en dis-tu, Freya ? M'en veut-il encore d'avoir aidé Isabella pour ce qu'elle a fait à Hayley ? Dois-je rappeler que c'est ce qui l'a sauvée de la mort ?
Elijah : bien sûr. Pardon. Vous osez vois faire passer pour des héros tout en vous délectant de son calvaire ?
Klaus : on compatirait peut-être si elle s'excusait. C'est elle qui a voulu s'enfuit avec ma fille et celle d'Isabella.
Freya : si vraiment vous devez vous asticoter, faites-le ailleurs, au moins.

Elijah regarda Hope et partit.

Freya : bien joué. A ce rythme, tu auras bientôt fait fuir toute la famille.

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Isabella :

Je regarda le corps.

Isabella : je ne suis pas experte en criminologie, mais le tueur a pris son temps. La victime a beaucoup saigné, donc il était en vie. Pourtant, il est resté immobile. Les cordes, c'est la mise en scène. Il n'a pas été attaché. Ses poignets sont nickels, aucune trace de lutte, aucune griffure.
Vincent : il a été envoûté.