La prophétie

La rage au cœur

Klaus :

J'arriva dans la chambre et vu une poche de sang sur le lit. Mais la personne qui l'a prit n'est pas là. J'arriva dans le bureau.

Klaus : où est-elle, bon sang ?
Elijah : tu parles d'Izzy, je présume ? Rafraîchis ma mémoire, Niklaus. Qui l'a laissé vagabonder comme bon lui semble ? Moi ? Non. C'était bien toi.
Klaus : elle a encore filé ?
Elijah : comme depuis quelques jours. Oui, pourquoi n'irais-tu pas la chercher ? Je m'occupe de gérer l'extinction éventuelle de notre famille.
Klaus : tu restes vaillamment mobilisé alors même que la menace s'éloigne. Puisque Isaac et Tristan de Martel dorment avec les poisons.
Elijah : une menace plus grave demeure. S'il existe une chose pouvant nous tuer, il faut la trouver.
Klaus : j'aimerais bien. Mais je dois m'occuper d'Isis.

Hayley rentra avec Hope dans les bras.

Hayley : elle est partie à l'aube. Elle devait avoir besoin d'air. Je ne dormais pas. Je l'ai vu sortir, depuis mon balcon. Alors... je me demandais si vous accepteriez que je reste quelques jours.
Elijah : bien entendu.

Le téléphone d'Elijah sonna.

Elijah : excuse-moi.

Il quitta la pièce.

Klaus : Hayley, cette famille apporte son lot de souffrances. Mais il y a un avantage, au moins. Tu seras toujours ici chez toi.

Je quitta également le bureau.

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Isabella :

Je rentra dans le Rousseau. J'enlèva ma veste. J'arriva au comptoir. Cami est là.

Cami : Isabella. La vache, tu as bonne mine.
Isabella : je me sens super bien, oui.

Un homme arriva.

??? : envoie quatre shots de tequila. Bouge ton petit cul.

Cami partit les faire.

Isabella : la classe. Elle travaille dur.
??? : ah oui ? Et toi, beauté ? Tu bosses dur ?
Isabella : oui.

Je m'approcha de lui.

Isabella : justement, à cet instant précis,

Je mis ma main sur son épaule.

Isabella : ça me demande beaucoup d'efforts de ne pas t'égorger.

Je l'hypnotisa.

Isabella : trouve un distributeur. Retire tout ce que tu peux et laisse à cette gentille barmaid le plus gros pourboire de sa vie. Ensuite, retrouve-moi derrière le bar, qu'on s'éclate tous les deux. Et retourne ta casquette. Tu n'es plus un ado.

Je tapa sur mon torse. Cami arriva et me donne un verre.

Cami : pour toi, de la part du mec au bout du bar. Il a lourdement insisté mais ça tu le savais.

Cami se décala et je vis Klaus. Il me fit un signe de main.
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J'alla à une table avec lui.

Isabella : merci pour le verre.
Klaus : tu avais l'air morte de soif.

Je le regarda.

Klaus : tu l'aurais mis en chapie, volontairement ou non. Certes, ça n'aurait pas été une grande perte.
Isabella : je suis de nouveau un vampire. Ce n'est pas notre job ? On chasse, on boit, on tue.
Klaus : mieux vaudrait ne pas le crier sur les toits, Isis.
Isabella : pourquoi ? On pourra envoûter les gens pour qu'ils obéissent. Tu le fais sans arrêt, non ?
Klaus : ne te compare pas à moi, mon amour. Nos bavardages te donnent l'illusion d'être experte. Mais tu n'as plus les outils pour vivre dans ce monde.