Chapitre 8 : Nuit enflammée.

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-Léo : Tu as vu la scène de jeudi ?

-Ezra : Oh, celle torse nu ? Moi ça me dérange pas, je sais que je suis magnifique, avec ou sans ma chemise.

Son égo, toujours son égo..

-Léo : Ça va les chevilles monsieur j'ai un club de fan girl hystérique et pas toi mouhaha je suis le meilleur ?

Il entra dans ma chambre. Et merde ce con viens de comprendre que la porte n'était pas verrouillé....

Il rigola, son sourire d'imbécile sur le visage.

-Ezra : Tu sais, les femmes m'adorent, les hommes aussi et ils deviendront fous de me voir torse nu devant la caméra. Quand à toi... Ça m'étonnerait.

-Léo : Est-ce que j'ai une tête à en avoir quelques choses à cirer de tes paroles narcissique ?

-Ezra : Tu es terrifié juste pour ça... Je veux dire, tu as toujours ce sweat à capuche ou un t-shirt surdimensionné qui te couvre, ça me fait me demander si tu n'essayerais pas de cacher quelque chose là-dessous.

Je vais pas me mettre à poils non plus... Il est malade lui. Bien sur que je m'habille, je ne suis pas nudiste.

-Léo : Ouais ouais ça doit être ça. Aller sors de ma chambre. Si tu espère me voir torse nu tu peux toujours attendre.

-Ezra : C'est juste une scène torse, c'est pas la mort non plus. Je retire ce que j'ai dis t'auras des fans hystérique. Mais pas autant que moi bien évidement.

-Léo : Dis-le si tu veux te rincer l'œil. Ça va plus vite, tu sais ?

-Ezra : Je n'ai jamais dit que je n'y trouvais pas un intérêt personnel. Je suis curieux, tu semble  clairement cacher quelque chose sous tous ces sweats à capuche surdimensionnés. Sinon pourquoi refuser de les enlevés ?

Il eût un sourire aux lèvres en disant cela. 

Que je cache quelque ou non qu'est ce que ça peut bien lui faire ?

-Léo : Bon dégage le pervers avant de recevoir mon poing dans ta sale tronche de cake. T'étais pas bien haut dans mon estime mais là tu touche le fond.

Il laissa échapper un soupir, clairement agacé. 

-Ezra : D'accord, d'accord, j'y vais. Mais ne viens pas pleurer vers moi quand tu commenceras à douter de toi-même et à souhaiter avoir quelqu'un d'aussi confiant que moi pour vous soutenir. Bonne nuit, my dear rival.

 Il se retourna et commença à sortir de ma chambre, toujours légèrement agacé.

Comme si j'avais besoin de toi pour ça...

-Léo : Bouffon, murmurais-je.

Il s'arrêta et se retourna, un sourire narquois sur le visage.

-Ezra : C'est drôle de la part du gars qui a trop peur d'enlever son t-shirt devant la caméra.

Mais faits toi putain !

-Léo : Vas te faire enc*ler !

-Ezra : Quel langage grossier. Je suppose que j'ai touché une corde sensible, hein ? Ce n'est pas grave, je comprends. Tout le monde ne supporte pas d'être en présence d'un acteur talentueux et séduisant comme moi.

Il dit cela en plaçant ça main de sorte de ce mettre en valeur.

-Léo : Finalement je pense que je vais vraiment t'empoisonné. Comme ça tu me ficheras la paix et t'arrêteras de dire des choses pour combler le vide.

-Ezra : Je me laisserais pas faire. Mais je dois admettre que je suis touché que tu réfléchisses autant à ma disparition. C'est presque mignon, d'une manière psychotique.

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