nouvel entraîneur (Judie)

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Point de vu Judie:

En arrivant je me suis changé en vitesse, pour commencer je met mon pantalon d'escrime, après je met les chaussettes et les chaussures. Pour le buste je met la sous cuirasse pour me protéger puis la veste d'escrime et pour finir les gants.
Après je me penche pour prendre mon sabre et je sort des vestiaires.

Je m'avance dans la salle, et je ne vois personne, je ne me suis pourtant pas trompé d'heure, je suis certes en avance mais que de 10mins. Pas d'entraîneur et pas d'élèves.

- Bonjour Mademoiselle...Parker je présume.
Je fis volts face est vis un homme d'une 40 d'années. Je suppose qu'il s'agit de mon entraîneur.
- Bonjour M. Oui je suis bien Judie Parker. Est vous vous devez être mon entraîneur.
- Oui je suis ton nouvelle entraîneur, on m'a dit que tu avais étudié 2 ans avec les célébre Christian Bauer, en Italie et que malgré ton jeune âge tu a été sélectionnée pour les JO de Paris 2024.
- Oui c'est exacte. Il n'y a personne aujourd'hui ? Je me suis trompé de jour ? Ou même d'heure ?
- Non pas du tout c'est bien le bon jour et la bonne heure. J'ai juste annulé le cours pour les autres, je voulais m'entraîner seulement avec toi pour voir se que tu valais.

Je l'ai regardé avec une certaine intérogation, j'ai toujours eu du mal à déchiffrer les émotions des gens, mais je pourrais mettre ma main à couper qu'il y avait une forme de curiosité dans son regard.

- très bien si c'est se que vous souhaitez alors combattons.
Il souriait nous avons mis notre masque et nous avons commencé à combattre. Peut de temps après nous avons eu fini, j'ai gagné 15 à 9.
-très bien je sais se que tu vos, tu peux rentrer chez toi demain tu viendra à 10h pour ton premier vrais entraînement.
- oui M.
Je m'en suis retourné me changer, je ne discute jamais les ordres d'un entraîneur ils on leur raisons. Même si je dois l'admettre je ne comprends pas vraiment la décision de l'entraîneur.

Je suis sortie du gymnase et je me suis rendu à mon arrêt de bus pour rentrer chez moi. J'ai fini par passé le pas de la porte et j'entendais ma belle mère criée après la nounou pour je ne sais quelle raisons, quand se n'est pas moi qu'elle engueule c'est la nounou. Je me dirige dans la cuisine là d'où proviennent les cries ou plutôt les hurlements incessant de ma belle mère.
Avant de rentrer dans la pièces j'ai vu mon petit frère pleurer dans les escaliers, je me suis avancé vers lui et je lui est dit:
- tu vas bien il c'est passé quelques choses ?
- Oui la nounou à juste fait tomber un ve''e, et maman à commencé à c'ier su' elle.
- bon très bien vas dans ta chambre je vais régler le problème.
- Papa va bientôt 'ent'er ?
- Je sais pas papa travaille beaucoup en ce moment. Va jouer dans ta chambre, et surtout n'en sort pas, d'accord ?
- oui, mais tu vas pas avoir de problème ?
- ne t'en préoccupe pas d'accord, aller fil.
Je lui souri et il fini par courrie dans les escaliers pour rejoindre sa chambre.
Je prend une grande inspiration et passe la porte de la cuisine, bien sur entre temps les cries avaient cessé.
En entrant dans la pièce je vi ma belle mère tirer les cheveux de la nounou et la réprimander "calmement".
- Sylvie ?
Elle c'est tourner rapidement vers moi avec c'est yeux qui me donner des frissons dans le dos.
- Ah bah tu est enfin rentré, tu devais t'occuper de ton frère, ou était tu ?
Elle avait lâché les cheveux de la nounou qui en avait profité pour filer en douce, je pense, non je suis sur que nous ne la reverrons pas.
Elle s'approche de moi, moi je fait quelques pas en arrière.
- j'étais à l'université, et je suis allé à mon entraînement d'escrime.
- tu est vraiment égoïste, tu ne pense que à toi, l'université, ton cours d'escrime, et tu pense à nous qui travaillons tu pourrais faire des efforts et t'occuper de ton petit frère au lieu de le laisser à une parfaite étrangère.
- mais je ne peux pas manquer un entraînement, je dois m'entraîner pour les JO et de plus la nounou est faite pour ça.
Elle me gifle tellement violemment que je sens mes oreilles bourdonner.
- ne me répond pas espèce d'insolante.
Elle me donnait des coups de points dans le ventre, la douleur était telle que je me suis mise à genoux, grâce erreur car cela a permis à ma belle mère de me donner des coups de pieds sur tout le corps, puis elle m'a pris par le poignet pour me soulever
- j'ai raison tu as tort donc tu prendra plus de temps pour t'occuper de ton petit frère. De tout façon tu crois avoir le niveau pour gagner les Jo, tu est ridicule ma pauvre.
Puis elle m'a lâché. Et c'est dirigé vers sa chambre. J'ai fait de même mais avant je me suis rendu dans la salle de bain, et j'ai vu mon visage la gifle qu'elle m'avait donné à laissé une trace sur ma joue qui commence à devenir violette.
Je m'en suis retourné pour aller dans ma chambre je me suis couché sans manger je n'avait plus la force. J'ai fermer les yeux et plus rien.

Les ombres du cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant